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Si vous suivez les informations des grands médias, vous savez que :

  • Le cancer est désormais la première cause de mortalité prématurée en France, avec 400 000 nouveaux cas en 2017, un record absolu ;
  • De plus en plus de pesticides dangereux sont aspergés sur nos terres (+ 12% en France entre 2014 et 2016) ;
  • Les infections attrapées à l’hôpital ne cessent d’augmenter, avec de plus en plus de morts causées par des bactéries résistantes aux antibiotiques[1].

Peut-être avez-vous entendu parler, aussi, des prix « records » des nouveaux médicaments :

Une simple pilule contre la migraine, l’Aimovig coûtera 6 000 euros par an à la Sécurité Sociale, pour une seule personne[2].

Les traitements classiques contre le cancer coûtent désormais jusqu’à 20 000 euros par mois : c’est 10 fois plus qu’il y a 20 ans, alors qu’ils ne sont pas vraiment plus efficaces !

Un médicament récent contre la cécité sera même vendu 425 000 euros… pour chaque œil ! Donc 850 000 euros au total[3] !

Évidemment, la Sécurité Sociale ne pourra jamais survivre à cette explosion infernale des prix.

Notre système de santé est un peu comme un avion sans pilote : si personne ne redresse la barre, il va bientôt s’écraser en flamme.

La seule solution pour éviter un atterrissage trop brutal, c’est que les citoyens se réveillent.

Qu’ils ouvrent les yeux sur la dérive du système médical et agro-alimentaire, pris en otage par les lobbys du « tout chimique ».

Et c’est pourquoi je voudrais partager avec vous 3 « news », passées totalement inaperçues :

70% des chimiothérapies sont INUTILES pour les cancers du sein

Cette information n’a pas fait la Une des médias, car elle est très embarrassante pour notre système de santé.

D’après une étude publiée dans le The England Journal of Medicine, des millions de femmes atteintes d’un cancer du sein ont subi des chimiothérapies inutiles[4].

D’après l’étude, 70% des patientes pourraient se contenter d’une simple « hormonothérapie » et éviter totalement la chimio !

C’est ce qu’a déclaré le Dr Kathy Albain, oncologue à Loyola, aux Etats-Unis :

« Avec les résultats de cette étude révolutionnaire, nous pouvons maintenant éviter la chimiothérapie en toute sécurité chez environ 70% des patientes chez qui il a été diagnostiqué le cancer du sein le plus répandu. »

Rendez-vous compte : cela veut dire que 7 patientes sur 10 pourraient échapper à ces médicaments aux effets extrêmement indésirables !

Pour le prouver, les chercheurs ont recruté près de 10 000 femmes atteintes d’un cancer du sein à un stade assez précoce, sensible aux œstrogènes.

Puis, ils se sont intéressés aux 6 700 patientes (70%) qui avaient un risque de récidive « intermédiaire ».

Leur risque de récidive n’était ni très inquiétant, ni très rassurant. Ce sont les cas où les cancérologues ont tendance à prescrire une chimiothérapie « dans le doute ».

Les chercheurs ont alors séparé ces femmes en deux groupes : un groupe a reçu une chimiothérapie + hormonothérapie, tandis que l’autre groupe a seulement suivi une hormonothérapie.

Eh bien après 10 ans, le taux de survie des deux groupes était parfaitement identique !

Et quand on connaît l’impact de la chimio sur la qualité de vie, cela veut dire que les femmes ont tout à gagner à l’éviter !

Voilà une preuve de plus qu’il faut limiter les traitements lourds au strict nécessaire !

Un régime aux résultats incroyables sur le diabète de type 1

Autre nouvelle capitale : on commence à admettre qu’il est possible d’améliorer le diabète de type I naturellement !

Déjà, pour le diabète de type II, une maladie moins grave, il a fallu des années pour que les médecins acceptent que c’est une maladie réversible, que l’on peut guérir par l’alimentation.

Et figurez-vous que ce qui est vrai pour le diabète de type II l’est peut-être AUSSI pour le diabète de type I, qui touche des milliers d’enfants chaque année.

C’est une avancée révolutionnaire car le diabète de type I est théoriquement une maladie grave et incurable.

Si vous êtes touché, vous n’avez pas d’autre choix que de vous injecter de l’insuline tous les jours, ce qui réduit votre espérance de vie et cause des effets indésirables.

Mais une étude récente[5] a montré qu’un simple régime alimentaire a le pouvoir :

  • D’améliorer considérablement la glycémie des malades ;
  • Et de leur permettre de réduire les doses d’insuline à injecter !

Ce régime, c’est le régime cétogène, dont je vous reparlerai dans de prochaines lettres[6].

Il ne consiste pas à réduire les calories – ce qui serait dangereux pour les enfants !

Il consiste simplement à avaler moins de 36 grammes de glucides par jour (5% des apports caloriques) et compenser par des apports énormes d’aliments gras.

Et les résultats sont là pour les diabétiques !

Encore plus fort : un médecin hongrois a placé un enfant diabétique (de type I) sous un régime cétogène ET paléo (sans lait et sans gluten).

…et cet enfant a pu se passer purement et simplement d’insuline pendant 24 mois[7] !

C’est une véritable révolution, car personne ne pensait que c’était possible !

Et cela veut dire qu’il serait possible d’inverser le diabète de type I… juste après le diagnostic… non pas par des médicaments, mais par l’alimentation !

Oui, il est temps d’ouvrir les yeux sur la puissance des approches naturelles…

…mais aussi de réaliser les catastrophes causées par le « tout chimique » !

L’eau du robinet pleine de produits chimiques dangereux !

Cette nouvelle-là, je suis SÛR que vous n’en avez pas entendu parler.

Peut-être saviez-vous déjà que l’eau du robinet contient des micro-doses :

  • De chlore – utilisé par les stations d’épuration pour tuer les bactéries ;
  • D’aluminium (utilisé aussi pour le traitement de l’eau) ;
  • De pilules contraceptives (qui viennent de l’eau des toilettes et ne peuvent être éliminées par les méthodes de traitement des eaux) ;
  • De médicaments comme les anti-dépresseurs ;
  • De pesticides (issus des nappes phréatiques) ;
  • Et d’antibiotiques (issus des élevages intensifs).

Les autorités vous disent qu’il n’y a « rien à craindre », car les doses seraient trop faibles pour nuire à la santé.

Mais la vérité est qu’elles n’en savent rien. Il est impossible d’évaluer scientifiquement l’effet à long terme de toutes ces substances dangereuses, prises ensemble, tous les jours.

Et plus la science avance, plus on se rend compte que des micro-doses peuvent être dangereuses !

Un rapport américain explosif vient d’en apporter une nouvelle preuve[8].

Ce document officiel reconnaît que certaines substances chimiques que l’on trouve parfois dans l’eau du robinet aux Etats-Unis sont dangereuses à des doses 10 fois inférieures à ce qu’on croyait[9] !

Ces substances (perfluoroalkyles et polyfluoroalkyles) sont de redoutables perturbateurs endocriniens, qui peuvent provoquer des cancers graves.

Vous voyez : un jour, les autorités vous disent qu’elles ne sont pas dangereuses à un certain seuil… et le lendemain, elles réalisent qu’il en faut 10 fois moins pour vous mettre en péril !

Et vous pensez qu’on peut croire nos autorités quand elles nous disent que « tout va bien » ?

En réalité, la prudence élémentaire exige d’éviter au maximum d’ingérer des substances chimiques dangereuses, quelle que soit la dose !

Mais pour cela, il faut revoir notre système de fond en comble.

Ce n’est pas un hasard si j’ai commencé cette lettre en vous parlant de l’explosion du nombre de cancers, de la hausse de l’utilisation des pesticides, et du développement des bactéries résistantes aux antibiotiques.

En réalité, tout est lié :

  • l’utilisation massive d’antibiotiques dans les élevages intensifs est la cause majeure du développement des bactéries résistantes ultra-dangereuses ;
  • et les pesticides, comme beaucoup de substances chimiques dangereuses, participent à la hausse du nombre de cancers.

On ne s’en sortira pas sans un changement global :

Plus de prévention, moins de substances chimiques, plus de précautions, moins de médicaments, et plus de remèdes naturels.

La voie est claire et nette… mais pour y parvenir, il faut surmonter le poids des lobbys… et le silence complice des médias !

Et pour cela, notre arme principale est celle de l’information… alors n’hésitez pas à transférer cette lettre autour de vous !

58 commentaires

  • dento dit :

    je rejoins les commentaires de beaucoup de personnes quoi choisir entre eau des bouteilles plastiques qui polluent et eau du robinet polluante aussi.
    merci de nous aider !!

  • STACHE dit :

    Bonjour, connaissez-vous les systèmes de filtration d’eau en inox Berkey ? Qu’en pensez-vous ? Ils sont agréés par l’état de Californie, qui, à priori, a les normes les plus draconiennes dans ce domaine. Il est en inox filtre l’ensemble des susbtances toxiques contenues dans l’eau du robinet. Chaque filtre permet de filtrer 22000 litres d’eau.J’en ai acheté un récemment, mon eau a maintenant une saveur et je n’achète plus d’eau en bouteilles. Il est très facile à installer. Je l’ai acheté auprès du distributeur français Aponio dont je recommande le sérieux. Il existe même un système de filtration portable pour filtrer l’eau lors de randonnées par exemple.

  • jan dit :

    Bonjour, je fais partie des femmes au cancer du sein qui ont eu une chimio inutile qui de plus a faillie me tuer. j’ai en effet en plus de tous les desagrements et journées au lit eu une diverticulite puis septicemie et enfin un pneumothorax! . je reste avec un intestin permeable et tous les desagrements et regimes qui vont avec .
    Vous parlez de l’eau du robinet , que pensez vous de l’eau kangen en purete et en bienfait. Merci de répondre

  • Odile VILLALBA dit :

    Merci pour vos informations. Une seule difficulté parfois est la longueur des textes. Le temps manque , parfois, pour aller jusqu’au bout. Pour les vidéo, il serait bon d’avoir une ligne ” rouge” de repère pour pouvoir reprendre la vidéo là où on s’est arrêté…et pouvoir lire la vidéo en entier. Eviter aussi le suspens facile, aller rapidement à l’idée importante. Mais merci de vos informations.

  • Dejos dit :

    Bonjour
    En effet des chimiothérapies pourraient être évitées. C’est ce qui est arrivé à ma fille qui a eu un cancer du sein l’année dernière à 30 ans mais heureusement son chirurgien a demandé un oncotype qui s’est révélé avec un faible risque de récidive elle a refusé la chimio mais n’a pas échappé à la radiothérapie elle est sous hormonothérapie et va aujourd’hui très bien. C’est une battante merci à vous

  • Merci pour ces informations et merci pour tous vos courriers d’un intérêt capital .
    Si on veut un changement il faudra faire vite car les dégâts sont immenses .
    Merci, merci mille fois. C’est un bonheur de vous lire.

  • Astrid dit :

    J’ai récidivé d’un cancer du sein avec métastases aux poumons, donc chimio et thérapie ciblée pendant 6 mois
    Au bout de 3 mois amélioration et 6 mois après, le scanner ne révèle plus rien et depuis 2 ans et plusieurs examens de contrôle tout est normal
    Apparemment, cela a marché pour moi
    Quelle autre alternative pour moi, à part la chimio il y a 2 ans ? je n’en sais rien

  • Magali dit :

    Bonjour,
    L’eau du robinet est polluée, ça, je m’en doutais bien, mais l’eau en bouteille n’est pas mieux.
    Alors que choisir ? Le diable ou le diable ?
    Les filtre type britax sont ils efficaces pour ces polluant ?
    Que faire ?
    Merci à vous.

  • GAMARRA dit :

    Honnêtement entre chimiothérapie et hormonothérapie, je ne sais laquelle est pire. L’hormonotherape dure jute beaucoup plus longtemps. Les effets secondaires de l’hormonotherapie ont été sur moi, 71 ans, atteinte de Fibromyalgie, moins spectaculaires mais plus dévastateurs (douleurs insupportables, pertes de mémoire, impossibilité de marcher). La, je m’en remets à la divine providence …

  • Alex dit :

    Bonjour , j’ai une question à vous poser par rapport à l’eau et au fait qu’elle soit contaminée avec toutes sortes de produits dangereux. Je bois et surtout je fais boire à mes enfants de l’eau filtrée ( brita ) afin d’eviter La pollution en achetant des bouteilles en plastique. Pensez vous que le filtre de ces carafes suffisent à éliminer tous ça ?

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