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Je ne suis pas adepte de la théorie du complot, mais il n’y a pas d’autre manière de le dire : on vous ment sur le diabète de type II (le plus fréquent).

Et ce n’est pas un petit mensonge, de ceux que l’on pardonne facilement. C’est un mensonge grave et de grande ampleur :

– D’abord, on vous dit que c’est une maladie incurable – alors que c’est faux ;

– Ensuite, on vous conseille un régime alimentaire qui amplifie votre diabète au lieu de l’améliorer ;

– Et enfin, on minimise le danger des médicaments que l’on vous prescrit… et dont vous pourriez vous passer si l’on vous donnait de bons conseils !

En France, cette désinformation enferme 3 millions de diabétiques dans une triste situation : ils sont assistés à vie par des traitements médicaux, et condamnés à subir une dégradation lente et continue de leur état de santé… en risquant l’infarctus, l’amputation ou la cécité, trois complications courantes du diabète.

Et pourtant, le diabète n’a rien d’une fatalité.

La preuve : il arrive qu’il disparaisse… après une simple opération chirurgicale !

Passer sur le billard… et ressortir sans diabète

Vous avez peut-être déjà entendu parler des opérations de chirurgie « bariatrique ». Elles consistent à réduire la taille de l’estomac, ce qui force à manger moins.

Ces opérations sont risquées. Je ne les recommande évidemment pas… sauf dans des cas très particuliers : lorsque quelqu’un souffre « d’obésité morbide » (50 ou 100 kilos en trop) et qu’il a déjà vraiment tout essayé pour maigrir, sans succès.

Car les médecins se sont aperçus que ces opérations ont des résultats spectaculaires contre le diabète de type 2 – une maladie que l’on disait incurable.

Au bout de trois ans, un tiers des diabétiques opérés n’ont plus le diabète, contre 5 % chez ceux qui suivent les traitements classiques. [1]

Et ce n’est pas tout : tous les patients opérés voient leur état s’améliorer de façon spectaculaire. Seuls 5 à 10% prennent encore de l’insuline (le traitement le plus violent) 3 ans après, contre 55 % des autres patients.

C’est bien la preuve que le diabète n’est pas incurable ! Et la bonne nouvelle est que vous n’avez pas besoin du bistouri pour y arriver.

Car si les patients opérés ont eu de tels résultats, c’est simplement parce qu’ils ont perdu 5 fois plus de poids que les autres.

Perdre du poids est bien sûr plus facile à dire qu’à faire… mais c’est toujours possible, même sans opération !

Un simple régime peut guérir le diabète de type II

C’est ce qu’ont prouvé à deux reprises des chercheurs de l’université de Newcastle, dirigés par un médecin visionnaire, le Professeur Roy Taylor.

En 2011, il avait déjà montré qu’un régime très restrictif (600 calories par jour) permettait d’inverser le diabète chez 11 malades en seulement 8 semaines. [2]

Trois mois après la fin du régime, 64 % des participants ne présentaient toujours aucun symptôme de la maladie. Leur glycémie à jeun (taux de sucre dans le sang avant un repas) était revenue dans les normes.

Cette étude publiée dans la revue médicale Diabetologia avait suscité beaucoup d’excitation… mais il restait à prouver que cette guérison apparente pouvait durer plus de trois mois.

C’est chose faite depuis mars 2016 et la publication d’une nouvelle étude, par la même équipe. [3]

Elle a fait suivre à nouveau ce régime restrictif à 30 diabétiques pendant 8 semaines. Mais cette fois, ils ont enchaîné avec une phase de « stabilisation » pendant 6 mois, conçue pour éviter qu’ils ne reprennent du poids (pauvre en glucides).

Pendant toute cette période, ils ont totalement arrêté leurs médicaments ou leurs injections d’insuline (mais attention : ils étaient sous surveillance médicale constante, en aucun cas vous ne devez arrêter votre traitement sans l’accord de votre médecin).

Les résultats ont dépassé les espérances : 40 % des patients ont retrouvé une glycémie à jeun inférieure à 1,26 g/L. Cela signifie que, médicalement parlant, ils n’étaient plus considérés comme diabétiques. Ils avaient vaincu la maladie !

C’est la preuve qu’il est possible d’inverser le diabète en modifiant son alimentation.

Je dis bien modifier, car manger mieux est selon moi plus important que manger moins.

Changer d’alimentation fonctionne aussi !

Car contrairement à ce que l’on vous raconte, il existe bien une catégorie d’aliments qui entretient et aggrave votre diabète… et ce n’est pas du tout ceux qui sont « gras » !

Ce sont les sucres de toutes sortes, et en particulier ceux qui font monter trop rapidement votre taux de sucre sanguin (on dit qu’ils ont un « indice glycémique » élevé). C’est le cas du sucre de table, bien sûr, mais aussi de la plupart des féculents comme le pain ou les pommes de terre.

Quand vous savez comment fonctionne le diabète, l’intérêt de réduire les glucides relève du bon sens. La définition même de cette maladie est d’avoir un taux de sucre dans le sang anormalement élevé.

Mais c’est aussi ce que prouvent d’innombrables études scientifiques depuis des années. [4]

Je vais vous en détailler deux – les plus récentes – pour que vous mesuriez à quel point le discours « officiel » sur le diabète est dépassé.

Plus de bonnes graisses, moins de glucides (sucres et féculents)

En 2014, des chercheurs de l’Université de Californie de San Francisco [5] ont sélectionné 34 patients obèses, pré-diabétiques ou diabétiques. Ils les ont divisés en deux groupes :

– Le premier groupe devait suivre les recommandations officielles américaines : un régime limité en calories, riche en glucides (165 grammes par jour, soit 45 à 50 % des calories) et pauvre en graisse ;

– Le second groupe devait suivre une alimentation riche en graisse et très pauvre en glucides, avec environ 20 à 50 g de glucides par jour. Contrairement à ceux du premier groupe, les participants avaient le droit de manger autant qu’ils le voulaient.

Après trois mois, le groupe suivant un régime pauvre en glucides (appelons-le « le groupe graisse ») a battu à plate couture le groupe qui suivait le régime officiel (appelons le « groupe glucide ») :

Perte de poids : le groupe « graisse » a perdu deux fois plus de poids que le groupe « glucide », alors que ses participants n’avaient pas pour consigne de manger moins de calories ;

Sucre dans le sang : le glucose sanguin avait diminué dans le groupe « graisse », alors qu’il n’avait pas bougé d’un pouce dans le groupe « glucide » ;

Traitements médicaux : 44 % des personnes du groupe « graisse » ont pu arrêter un ou plusieurs de leurs médicaments, contre 11 % seulement dans le groupe « glucide ».

Ces résultats sont impressionnants. Le seul bémol est que le régime « graisse » en question est très contraignant, puisqu’il exclut même les fruits les plus sucrés.

Faites comme nos ancêtres chasseurs cueilleurs

Heureusement, il existe un régime alimentaire plus simple, qui fait lui aussi des merveilles contre le diabète… et que vous pouvez facilement tenir toute votre vie.

Il consiste à manger comme nos ancêtres chasseurs cueilleurs : légumes, fruits, noix, œufs, viande, poisson, coquillages, etc. Seuls les aliments apparus avec l’agriculture, il y a 10 000 ans, sont interdits, en particulier les céréales et les laitages.

C’est le délicieux régime « paléo ». Il supprime par définition les aliments à indice glycémique très élevé que sont les produits céréaliers (pain, céréales du petit-déjeuner, pâtes, pizza, etc.).

C’est la raison pour laquelle il est particulièrement bénéfique aux diabétiques, comme l’ont montré plusieurs études. [6]

La dernière en date, publiée en 2015 a montré qu’il suffisait de seulement deux semaines de cette alimentation pour améliorer la totalité des marqueurs sanguins du diabète. [7]

Là encore, ces résultats étaient largement supérieurs à ceux du « groupe de comparaison », qui, lui, devait suivre à la lettre le régime « officiel », incluant des céréales complètes, des légumes secs et des produits laitiers maigres.

Les autorités françaises sont en retard sur la science

Pourtant, malgré l’accumulation des preuves scientifiques, les autorités françaises continuent de recommander aux diabétiques :

– De consommer une quantité énorme de glucides (plus de 50 % des apports énergétiques journaliers), ce qui est manifestement contre-productif ;

– De consommer des féculents (pain, pâtes, patates) à chaque repas, alors que ces aliments font augmenter fortement le sucre sanguin et sont directement impliqués dans l’épidémie de diabète et de surpoids que les pays occidentaux connaissent depuis 30 ans !

Vous comprenez pourquoi je parle de mensonge.

Avec un régime pareil, perdre du poids sera un parcours du combattant… et vous n’avez quasiment aucune chance de guérir votre diabète.

Et pourtant, ce sont bien les recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS). Vous les retrouvez même sur le site de la Fédération Française des Diabétiques, sur la page « Le régime anti-diabète ». [8]

Le triste poids des conflits d’intérêt

Une désinformation de cette ampleur est difficile à comprendre.

Sauf si l’on prend en compte les lobbys de l’industrie agro-alimentaire et de l’industrie pharmaceutique.

Les premiers ont intérêt à ce que les gens mangent du lait, des céréales, du sucre, dont le secteur agricole français est en surproduction permanente (d’où les prix qui chutent).

Les seconds ont intérêt à ce que les diabétiques n’arrêtent pas de prendre leurs médicaments.

Leurs intérêts sont donc les mêmes, maintenir en l’état les recommandations officielles sur le diabète.

Je n’ai pas de preuves directes, mais voici deux coïncidences plus que troublantes :

– Parmi les experts du PNNS, la plupart ont eu des liens d’intérêt avec les industriels du blé ou du lait… qui perdraient beaucoup d’agent si la population se mettait à adopter un régime « paléo » ;

– La Fédération Française des Diabétiques reçoit chaque année des centaines de milliers d’euros des laboratoires pharmaceutiques, comme Lily ou Merck. [9] Les médicaments contre le diabète se prennent à vie… imaginez le manque à gagner pour les labos si l’efficacité du régime se savait !

Et le plus grave, c’est que ces médicaments contre le diabète sont beaucoup moins anodins que ce qu’on essaie de vous faire croire.

Des médicaments anti-diabète tout sauf inoffensifs

Il faut bien comprendre une chose : trouver une molécule qui réduit le taux de sucre dans le sang n’est pas compliqué. Beaucoup de laboratoires y parviennent.

Ce qui est difficile, c’est d’obtenir ce résultat sans détraquer l’organisme.

Car ce n’est pas pour nous embêter que notre corps se met à maintenir un taux de sucre sanguin élevé. On ne sait pas exactement pourquoi, mais c’est la meilleure « solution » qu’il a trouvé pour faire face aux agressions qu’il subit, notamment l’ingestion d’aliments trop riches en sucre, amidon et fructose.

N’oubliez pas que notre corps est d’une grande intelligence. Il sait mieux que personne comment produire le meilleur état de santé, y compris dans l’adversité.

La régulation du sucre sanguin est un équilibre sophistiqué, qu’il est quasiment impossible de modifier à un point de la chaîne sans créer des dégâts à un autre endroit.

Les laboratoires pharmaceutiques en sont donc réduits à essayer des molécules, souvent un peu au hasard, et à prier pour qu’elles produisent plus de bienfaits que de catastrophes.

Inévitablement, dans la plupart des cas, cela se termine mal :

– Les médicaments « sulfonylurées » (les sulfamides hypoglycémiant) couramment utilisés contre le diabète, augmentent de 58 % le risque de décès par rapport au médicament de référence (ils risquent aussi de vous plonger dans le coma) ; [10]

– L’Avandia, un antidiabétique lancé en fanfare en 2002, a été retiré en catastrophe du marché en 2010 par l’Agence Européenne du médicament parce qu’on s’est aperçu (un peu tard) qu’il augmentait considérablement le risque d’infarctus ;

– Les injections d’insuline, difficilement évitables lorsque le diabète est très avancé, ont de graves effets indésirables, dont celui… de faire grossir, un comble lorsqu’on souffre déjà de diabète ! [11]

Quant au médicament de référence, le Glucophage (Metformine), il a beau être de très loin le plus recommandable, il n’est pas sans risque.

Même s’il a été isolé à partir d’une plante médicinale, la Galega Officinalis, lui aussi comporte des effets secondaires non négligeables.

Il crée des carences en vitamine B12, une vitamine dont votre cerveau a grandement besoin pour fonctionner. [12] Il provoque aussi des troubles digestifs permanents, très désagréables. Et dans de très rares cas, il tue le patient en provoquant une acidose lactique.

Même un médicament 100 % efficace et sans risque devrait être évité

Tous ces effets secondaires sont connus et répertoriés. Mais le plus inquiétant dans ce médicament, c’est que personne ne comprend vraiment pourquoi et comment il parvient à réguler le sucre dans le sang.

Ce n’est pas très rassurant : qui sait si l’on ne découvrira pas de nouveaux effets indésirables dans quelques années ?

Mais au fond, les effets secondaires ne sont même pas le plus gros problème.

Même si l’on trouvait une molécule « miracle » qui parvenait à stabiliser le sucre sanguin des diabétiques sans désagrément, il faudrait tout de même éviter de succomber à la facilité.

Parce que le diabète n’apparaît jamais par hasard.

C’est la conséquence d’une hygiène de vie problématique (stress, manque de sommeil, manque d’activité physique) et d’une mauvaise alimentation (trop de sucre, de fructose, de féculents, de produits industriels et d’huiles riches en oméga-6) qui produisent une inflammation de l’organisme.

Le diabète n’est qu’une des manifestations de cette inflammation – la plus visible. Mais ses effets délétères sur votre santé vont bien au-delà.

Par conséquent, si vous vous contentez de stabiliser votre excès de sucre sanguin par une pilule magique, vous ne résoudrez pas le problème de fond qui vous a mené au diabète… vous continuerez à malmener votre organisme… et donc à ruiner votre santé !

« Je n’y peux rien, le patient ne veut pas changer »

Beaucoup de médecins savent bien tout cela.

Mais ils disent qu’ils n’ont pas le choix… qu’ils sont obligés de prescrire la Metformine car ils sont confrontés à des patients qui refusent de changer leurs habitudes.

Cela arrive fréquemment, en effet. Et dans ce cas, le médicament est précieux et inévitable.

Mais je prétends qu’un nombre beaucoup plus grand de patients serait prêt à faire les efforts nécessaires si on leur tenait ce discours de vérité :

– Ne croyez pas que le diabète est incurable. Il est possible de le vaincre naturellement, et les habitudes que vous prendrez pour y parvenir amélioreront aussi votre forme, votre énergie et votre santé ;

– Ne suivez pas les recommandations nutritionnelles officielles. Elles sont datées. Les dernières études scientifiques montrent qu’il est possible de perdre du poids et de stabiliser votre sucre sanguin avec beaucoup moins de sacrifices que vous ne l’imaginez ;

– Essayez à tout prix de vous passer de médicaments : même les pilules les moins dangereuses ont des effets secondaires sérieux et ne s’attaquent pas aux causes réelles de la maladie.

Sources :

[1] Bariatric surgery versus intensive medical therapy for diabetes–3-year outcomes, Schauer PR, N Engl J Med. 2014 May

[2] Reversal of type 2 diabetes: normalisation of beta cell function in association with decreased pancreas and liver triacylglycerol, E. L. Lim et al. Diabetologia, 2011 Oct

[3] Very Low-Calorie Diet and 6 Months of Weight Stability in Type 2 Diabetes: Pathophysiological Changes in Responders and Nonresponders. Steven S et al, Diabetes Care,  2016 May

[4] Comparison of low- and high-carbohydrate diets for type 2 diabetes management: a randomized trial, Jeannie Tay et al, The American Journal of Clininal Nutrition, 2015

[5] A Randomized Pilot Trial of a Moderate Carbohydrate Diet Compared to a Very Low Carbohydrate Diet in Overweight or Obese Individuals with Type 2 Diabetes Mellitus or Prediabetes, Laura R. Saslow et al, PLoS One, 2014

[6]  A Palaeolithic diet improves glucose tolerance more than a Mediterranean-like diet in individuals with ischaemic heart disease. Lindeberg S. and al. Diabetologia. 2007 Sep;50(9):1795-807. Epub 2007 Jun 22.

     Effects of a short-term intervention with a paleolithic diet in healthy volunteers. Oesterdahl M. and al, Eur J Clin Nutr. 2008 May;62(5):682-5. Epub 2007 May 16.

    Beneficial effects of a Paleolithic diet on cardiovascular risk factors in type 2 diabetes: a randomized cross-over pilot study. Jönsson T. and al, Cardiovasc Diabetol. 2009 Jul 16;8:35.

    Metabolic and physiologic improvements from consuming a paleolithic, hunter-gatherer type diet. Frassetto L. A. and al. Eur J Clin Nutr.2009 Aug;63(8):947-55. Epub 2009 Feb 11.

[7] Metabolic and physiologic effects from consuming a hunter-gatherer (Paleolithic)-type diet in type 2 diabetes, Masharani U et al, Eur J Clin Nutr. 2015 Aug

[8] Voir le « Le régime anti-diabète » sur le site web de la Fédération Française des Diabétiques

[9] Voir l’article du site Dur à Avaler qui traite des liens entre la Fédération Française des Diabétiques et l’entreprise Coca-Cola

[10] European Association for the Study of Diabetes. Abstracts 200 and 201, presented Thursday, September 26, 2013

[11] Effect of patients’ risks and preferences on health gains with plasma glucose level lowering in type 2 diabetes mellitus, Vijan S et al, JAMA Intern Med, 2014 Aug

[12] Increased risk of cognitive impairment in patients with diabetes is associated with metformin, Moore EM et al, Diabetes Care, 2013 Oct

209 commentaires

  • Elisabeth De Grauwe dit :

    Merci infiniment de tous ces bons conseils, qui renforcent mes convictions qu’ils faut changer ses habitudes alimentaires pour être en bonne santé et/ou la retrouver!

  • Joelle dit :

    Bonjour
    Seuls médicaments : Lantus (30 ui/jour) et granulés homeopathiques pour traiter le foie. Depuis que je prends du chardon marie et desmodium pour detoxifier le foie j’ai réduit mon insuline et surtout 4kg en 2 mois.
    Je suis surprise que malgré les mauvaises analyses de mon foie le Pr chef du service hépatologie de l’hôpital que j’ai vu ne m’ait donné aucun traitement pour régénérer mon foie.
    Je précise que j’ai refusé les statines malgré que le chef du service diabetologie de l’hôpital m’ait affirmé que  » j’avais tort car c’est pour dans 20 ans.  » je précise que j’ai 70 ans. Et ne riez pas car c’est la triste vérité puisque mes dopplers et autres echographies sont impeccables

  • zingarelli dit :

    bonjour
    j’ai essayé l’acuponcture et ça marche,bien sûr il faut impérativement d’éviter le sucre,pomme de terre,pas trop de pâtes,de pain blanc,les jus de fruits industriel, etc etc consommer de la patate douce,jus de fruit avec pulpe que l’on presse soit même et remplacer les médicaments par la BERBERINE,que j’ai trouvé en vente sur la toile…n’étant pas un médicament,pas remboursé par la sécu ….il existe un complément alimentaire qui maintien une glycémie normale « les granions de chrome en ampoule buvable » vendu en pharmacie non remboursé par la sécu

  • Benedicte francois dit :

    Bonjour. Fidèle lectrice merci pour ces attentions envers nous les moutons….. experimention qui ne servent que les laboratoires. Diabétiques depuis 10ans. Type 2
    Météorite 850 par deux prises. J en ai marre et désire faire le régime de 8 semaines
    Je soutiendrais toujours vos actions et préventions. Bravo pour votre courage et détermination.
    Merci

  • paul S dit :

    Entièrement d’accord avec votre approche concernant le diabète. J’étais moi même diabétique, avec un poids de 135 kg. J’ai décidé de subir une intervention chirurgicale bariatrique et 48 h après, le diabète avait totalement disparu ! J’ai été opéré il y a maintenant 3 ans, j’ai perdu 47 kilos en 20 mois environ et mon indice glycémique à jeun tourne à ce jour entre 8.0 et 8.9 avec une hémoglobine glyckée à 5.0. Je ne prends plus de médicament antidiabétique depuis 3 ans et je m’en trouve fort aise, ayant même retrouvé une certaine jeunesse aux dires de mes connaissances. Oui, le diabète n’est pas invincible, j’en suis une preuve !

  • Monique R dit :

    j’ai lu votre article avec intérêt. Mais vous ne parlez que des malades en surpoids, et là j’adhère au fait qu’il faille maigrir. Mais que peut faire un diabètique type II qui n’est absolument pas en surpoids? (IMC 22)?
    Nourriture saine équilibrée et faite maison avec des produits Bio OK. Marcher, bouger, oui, avec des problèmes de mobilité, dus à l’arthrose, ce n’est pas toujours évident.
    et le diabète est toujours présent…

  • carmen esteban dit :

    Je lis tous vos articles avec intérêt .Je suis assez troublée par cette lecture SUR LE DIABETE:mon diabète a été décelé il y a 35 ans pendant une séance de gym…(49 Kg pour 1,68M à l’époque) J’ai eu une forte corticothérapie à mon adolescence,risques de néphrite etc ;donc souvent pris mes repas sans sel et presque toujours sans pâtisseries,et sans sucres……..et je ne suis pas la seule!!!
    Insulinée lente et rapide (que j’adapte moi-même) c’est alors que j’ai pris du poids!( j’ai+71 ans) Impossible de régler les glycémies sans féculents aux repas à heures régulières et je marche tous les jours.Beaucoup de personnes de mon entourage sont plus « fortes » que moi,mangent avec fantaisie et ne sont pas diabétiques.
    Je ne consomme pas de produits transformés-ni avant- je fais tous mes repas moi-même mais l’agro-alimentaire ne facilite pas ma tâche.!!! Vous l’avez compris ,je suis un peu « démoralisée » ce jour par ce couple »diabète= malbouffe trop de bouffe »
    Par contre,oui les effets du stress (comme ceux de la culpabilisation) déséquilibrent la glycémie!!!
    Que pouvons- nous faire concrètement contre les dérives de l’agro-alimentaire et pharmaceutiques aux intérêts liés??? Tous les malades n’ont pas les moyens d’aller à l’étranger se ressourcer à d’autres méthodes!
    Que me conseillez-vous et que puis-je demander à mon diabétologue de concret possible pour arrêter les insulines et cortèges d’hyper-tenseurs,anti-cholestérols etc?
    Merci;

  • Dalila dit :

    Bonjour,

    Tout d’abord, je souhaite vous remercier pour tous les efforts que vous faites pour nous apporter vos lumières, vos pistes de reflexions…
    Ce que je trouverai intéressant d’explorer, ce serait la piste du travail psychologique en plus des précieux conseils diététiques apportés, car pour beaucoup d’entre nous, finalement, savons ce qui est bon à manger et ce qui ne l’est pas… Le travail psy accompagné notamment en thérapie brève tel que l’hypnose, l’IMO/EMDR, permettrait également de perdurer dans sa façon de manger, de prendre conscience de soi, de son corps pour en prendre soin le plus longtemps possible en alliant plaisir à sa démarche.
    Pour se réconcilier avec son corps, on reconnecte l’esprit à son corps et à son coeur. Lorsque ces 3 éléments sont reliés alors, la façon de s’alimenter et d’être aligné avec soi devient un plaisir et non pas une corvée :-))
    L’idée est de retrouver un équilibre qui repasse par l’émotionnel, pour retrouver du calme et de l’apaisement interne dans tous les compartiments de sa vie.

    Au plaisir de vous lire
    Dalila

  • Jahl Corrine dit :

    Merci pour ce dossier ainsi que les autres rempli d’informations de qualité : claires, cohérentes, précises et concises. Cette qualité de communication nous offre des explications accessibles pour comprendre la cohérence de fonctionnement de notre corps ainsi que le lien direct existant entre l’hygiène alimentaire, le style de vie et l’état de santé avec ce qui le maintien ou ce qui l’affecte. Ces propos honorent le lecteur et restitue au centre du débat la responsabilité de chacun dans la gestion et la prise en main de sa propre santé. Ceci par contraste avec le langage médical officiel qui traite le public et le patient comme un ignorant irresponsables, se gardant bien de lui donner les clés pour prendre en main sa propre santé et de son corps. Merci aussi de jeter quelques lumières en informant le public sur les conflits d’interets qui existent au sein de ceux en place qui détiennent l’autorité et décident des politiques sanitaires. Des conflits d’intérêts qui faussent complètement l’orientation du système de santé officiel actuel dans l’ensemble de son fonctionnement. C’est donc doublement un intérêt vital pour le public et le patients de prendre en main leur santé.

  • GEGE dit :

    Bonjour,
    vouloir améliorer la santé de nos contemporains est un but élogieux, et vous avez raison de dénoncer tout ces mensonges qu’on essaie de nous faire avaler. Au « paléo » ou du temps des cueilleurs-pécheur on vivait tellement mieux.
    A l’inverse de ces « mauvais » médecins, de l’industrie pharmaceutique , des fabricants de compléments alimentaires et d’autres charlatans qui ne s’intéressent qu’à notre portefeuille, vous, au moins, ne vous intéressez qu’au vôtre…..

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