Skip to main content

Si, comme moi, vous avez l’esprit scientifique, la méthode du Professeur Sarno contre les douleurs risque de vous secouer.

Mal de dos, douleur au cou, aux bras, aux jambes et même fibromyalgie : aussi ancrées soient-elles, le Pr Sarno prétend guérir toutes ces douleurs définitivement, en quelques heures, quelques mois au plus.

Le plus incroyable est que vous n’avez pas besoin de le consulter : sa « thérapie » fonctionne à distance, vous pouvez la pratiquer chez vous, gratuitement, sans effort ni matériel.

J’ai conscience que cela paraît peu vraisemblable. Et comme vous, j’étais sceptique quand j’ai entendu parler de cette méthode.

Mais voici pourquoi j’ai changé d’avis :

88 % de patients totalement guéris

Le Pr John Sarno n’est pas un médecin isolé, quasi-clandestin ou en marge du système de santé conventionnel. Non : John Sarno est professeur de médecine orthopédique et de rééducation à la prestigieuse Université de New York.

En plus de 40 ans de carrière, il a obtenu des résultats objectivement époustouflants auprès de ses patients, tout particulièrement dans le traitement du mal de dos.

Il y a déjà presque trente ans, en 1987, il a réalisé une étude en sélectionnant les cas les plus lourds parmi ses patients, ceux qui avaient une hernie discale avérée par un scanner. Dans beaucoup de cas, ces patients avaient déjà consulté de nombreux médecins, sans résultat. Le verdict est éloquent :

« Nous avons ainsi interrogé 109 de ces patients choisis au hasard. Un à trois ans après le traitement, 96 (soit 88 %) n’avaient plus mal et menaient une vie normale, onze allaient mieux et seuls deux n’avaient pas été soulagés » [1]

Cela signifie que 107 sur 109 de ses patients allaient mieux ou n’avaient plus mal du tout, un taux de succès inimaginable de 98 % !

Et ses patients le confirment :

« Le meilleur médecin des États-Unis » (Forbes)

Il suffit de passer quelques minutes sur Internet pour se rendre compte de l’ampleur du « phénomène Sarno ».

On y trouve d’innombrables témoignages de personnes qui disent avoir été totalement guéries par le Pr Sarno, après des années de souffrance et d’errance médicale.

Un site Internet entier, ThankYourDrSarno.org, regorge de lettres touchantes de patients rendant hommage au Pr Sarno. « Merci de nous avoir rendu notre vie » est placé en exergue de ce site.

Sur Amazon.com, son premier livre, Guérir le mal de dos, compte pas moins de 1 226 critiques, avec une note moyenne de 4,5/5 ! Je vous encourage à aller les parcourir si vous lisez l’anglais. Quelques titres vous donneront une idée de l’ambiance générale :

– « Ce livre a changé ma vie »
– « Plus de douleurs depuis 12 ans »
– « Sarno est notre Galilée »
– « Cette approche a marché là où toutes les autres ont échoué »
– « Mon héros »
– « S’il vous plaît, s’il vous plaît, lisez ce livre »
– « 5 ans avec des douleurs de dos, plus de douleur depuis 6 ans »
– « Guéri par un miracle »

Je pourrais continuer sur des pages et des pages : toutes les histoires sont longues, détaillées, crédibles. Et je vous rassure, il n’y a aucun phénomène sectaire dans cette histoire. Le Pr Sarno est un médecin discret, l’opposé d’un gourou.

Plusieurs personnalités du spectacle (acteurs hollywoodiens, scénaristes, présentateurs TV) ont témoigné qu’ils devaient leur guérison au Pr Sarno.

Howard Stern, qui est sans doute le présentateur radio le plus connu en Amérique, a dédié son premier livre au Pr Sarno, tant il lui était reconnaissant d’avoir mis fin à ses douleurs.

En 2012, le magazine Forbes a déclaré que le Pr Sarno était « le meilleur médecin des États-Unis ». L’article qui lui est dédié vaut le détour, mais voici l’extrait qui m’a le plus frappé :

« Il relève du mystère qu’un médecin qui obtienne des résultats si bénéfiques pour ses patients, à un coût nul ou quasi-nul, puisse être considéré comme « controversé » alors que ceux qui pratiquent la médecine soi-disant conventionnelle, coûteuse et inefficace, sont, d’une certaine manière, considérés comme plus légitimes. »

Pas de méthode d’évaluation scientifique, mais…

L’idéal, dans un cas comme celui-là, serait de réaliser une étude dite « randomisée, contre placebo ».

Le principe est simple : vous prenez un groupe de patient, vous les divisez en deux groupes aléatoires (au hasard), et vous donnez à l’un de ces deux groupes le « vrai » traitement, tandis que l’autre ne reçoit qu’un placebo (un faux médicament).

Puis vous observez les résultats. Si le groupe réellement traité va mieux que le groupe sous placebo, on peut être certain que c’est grâce au traitement.

Cette méthode est le Graal de la rigueur scientifique. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut rester les bras croisés, sans rien faire, lorsqu’ aucune étude de ce niveau n’a pu être conduite.

Car le traitement du Pr a beau ne pas avoir été validé avec ce niveau d’exigence, il présente l’immense avantage :

– De ne pas avoir le moindre effet secondaire ou indésirable ;

– D’être gratuit ou quasiment gratuit, pour le patient comme pour la société ;

– Et de traiter des douleurs chroniques face auxquelles la médecine conventionnelle reste souvent impuissante (la plupart des médecins se contentent de donner des anti-douleurs, dont les effets secondaires à long terme sont problématiques).

En fait, la méthode du Dr Sarno est tellement simple que ceux qui souffrent depuis longtemps ont tout à gagner à l’essayer. Au pire, c’est un peu de temps perdu.

Et vous pouvez vous-même essayer maintenant ! Prêt ? Alors allons-y :

Un seul accessoire, un seul médicament : votre cerveau

Le Dr Sarno explique : dans de très nombreux cas, les douleurs chroniques ne sont pas causées par un problème corporel, elles sont produites par notre cerveau.

Attention : il ne dit pas que les douleurs ne sont pas réelles. Elles s’incarnent bien dans notre corps, dans notre chair.

Mais selon lui, elles sont produites non pas par un dysfonctionnement physique (anomalies structurelle de la colonne vertébrale, disque déformé, musculature déficiente etc.) mais par un souci psychologique que le cerveau « répercute » sur le corps via une douleur physique.

Voici comment il formule sa thèse :

« Vers 1975, j’ai abouti à la conclusion que la majorité des syndromes douloureux au cou, à l’épaule et au dos, tout comme la douleur associée fréquente dans les jambes et les bras, étaient d’ordre psychologique. Concrètement, des facteurs émotionnels déclenchaient une réaction dans certains tissus du corps qui se manifestaient sous la forme de douleur ou d’autres symptômes neurologiques. » [2]

Et cette thèse serait valide même si vous avez une anomalie structurelle avérée. Car de nombreuses études ont en effet montré que certains patients ayant des déformations graves ne souffrent d’aucune douleur.

L’une d’entre elles, parue dans le New England Journal of Medicine, est particulièrement troublante : les chercheurs ont fait passer des IRM lombaires à 98 personnes n’ayant jamais eu mal au bas du dos ou à la jambe.
Et ils ont découvert que 74 d’entre eux présentaient une déformation ou une saillie de disques lombaires. [3]

Conclusion logique : ce n’est pas parce que l’on a mal qu’on a forcément une déformation, et ce n’est pas parce qu’on a déformation qu’on a forcément mal.

Pour guérir : abandonner la croyance en une cause « physique » de la douleur

La première étape du « traitement » du Pr Sarno consiste à se persuader que votre douleur chronique a une origine psychologique :

« La douleur ne cessera pas tant que vous ne serez pas capable de vous dire : ‘mon dos est normal, je sais désormais que la douleur est due à un problème somme toute anodin initié par mon cerveau (…) et que les anomalies structurelles trouvées sur une radio, un scanner ou une IRM sont des modifications normales liées à mes activités ou au vieillissement ».

Il est vrai que ce n’est pas évident, surtout lorsqu’on découvre effectivement une anomalie, révélée par un scanner ou une IRM. Difficile, dans ce cas, de se dire qu’il ne s’agit que d’une coïncidence…

Mais le jeu en vaut la chandelle.

Pour ceux qui y parviennent, la guérison est souvent à portée de main. Chez certains patients, l’effet est même immédiat : « Souvent, il suffit de reconnaître qu’un symptôme est d’origine émotionnelle pour qu’il disparaisse », nous dit le Pr Sarno.

Et il le prouve, en publiant le témoignage de nombreuses personnes ayant vu leur douleur s’arrêter, à peine avaient-ils achevé l’un de ses livres.

Mais dans la plupart des cas, cela prend un peu plus de temps, avec un travail d’introspection.

Trouver la rage refoulée

Le Dr Sarno recommande ainsi à ses patients de réfléchir aux « rages refoulées » qui pourraient causer leurs douleurs. Celles-ci peuvent être de plusieurs sortes :

– Colère, blessure émotionnelle ou traumatisme pouvant remonter à l’enfance ;
– Colère provenant de la pression qu’on s’impose à soi-même pour être « parfait » (le perfectionnisme exacerbé est un trait de personnalité qui revient souvent chez ses patients) ;
– Colère engendré par les pressions de la vie ;
– Culpabilité, honte, peur, insécurité, vulnérabilité.

En pratique, il recommande de faire une liste, très longue s’il le faut, de toutes les pressions ou contraintes que l’on a subies au cours de notre vie et qui pourraient susciter une forme de rage au fond de nous-mêmes.

Plus étonnant, le Dr Sarno conseille également de « parler à son cerveau » : « Des patients soignés avec succès disent que lorsqu’ils sentaient le signe annonciateur d’une crise, un élancement de douleur, ils se parlaient ou même se criaient dessus et la douleur disparaissait ».

Le cœur de sa stratégie est simple : penser « émotionnel » et pas « physique » ; ne plus se focaliser sur la douleur mais sur son origine potentiellement psychologique.

Et en accompagnement de ce « traitement », le Dr Sarno conseille de se préserver, chaque jour, une période de méditation. Il insiste enfin pour maintenir un bon niveau d’activité physique, en essayant d’oublier la douleur et de ne pas craindre de malmener un « dos fragile ».

Je crois avoir résumé l’essentiel de la méthode du Dr Sarno, mais si vous voulez l’essayer sérieusement, il est à mon avis indispensable de se procurer son livre, Le Meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau.

Seul son récit complet, les cas cliniques qu’il décrit ou les détails qu’il offre vous donneront toutes les chances de guérir – et vous permettront de surmonter des doutes bien naturels.

PS : J’ai beau recommander chaudement la méthode Sarno à tous ceux qui souffrent de douleurs chroniques, je précise que je ne le suis pas dans toutes ses affirmations pour autant.

Il est indiscutable que son « traitement » marche pour certains, là où tous les autres ont échoué.

Mais les raisons pour lesquelles il fonctionne nous sont largement inconnues. Le Pr Sarno reconnaît d’ailleurs que sa méthode lui a été dictée par son expérience uniquement.

Toutefois, après avoir vu que son approche fonctionnait, le Pr Sarno a essayé de l’expliquer.

Il pense, avec Freud, que le refoulement, par notre inconscient, de certaines émotions, conduit le cerveau à créer des douleurs, comme une forme de diversion pour éviter que notre moi conscient ne puisse accéder à ces émotions refoulées.

Mais ne vous sentez surtout pas obligé d’adhérer à cette thèse.

Certes, l’importance de l’interaction corps-esprit pour notre santé est considérable. Chaque semaine, de nouvelles études scientifiques montrent l’efficacité étonnante des techniques faisant appel à l’équilibre émotionnel comme la méditation, la cohérence cardiaque ou l’hypnose.

La méditation en pleine conscience, par exemple, aide à se débarrasser de douleurs de nature très diverses : douleurs abdominales , douleurs de l’arthrose , etc. [4] [5]

Mais nous sommes encore loin de comprendre le mécanisme par lequel cela fonctionne. La tentative d’explication du Pr Sarno est une hypothèse intéressante, mais seulement une hypothèse.

Plus ennuyeux, le Pr Sarno est affecté d’une forme d’intransigeance. Plutôt que de proposer sa méthode comme un complément utile des autres traitements naturels de gestion de la douleur, il les balaie tous d’un revers de la main.

Or l’apparition de douleurs chroniques justifient toujours une approche globale comportant notamment :

– une alimentation saine et anti-inflammatoire (moins de sucre et de produits industriels, plus de végétaux),
– des compléments alimentaires ciblés (omégas 3 et vitamine D),
– des plantes (curcuma et boswellia),
– des exercices physiques (yoga, pilates) et émotionnels (EFT, méditation, etc.).

Le Pr Sarno refuse même de reconnaître que notre mode de vie peut être une cause directe du mal de dos. Dans le cas de la position assise, c’est pourtant difficilement contestable. Il est clair que notre corps d’homo sapiens n’est pas bâti pour rester assis pendant 10 heures par jour.

Autrement dit, ce n’est pas parce que l’on reconnaît le rôle décisif de notre esprit qu’il faudrait s’empêcher de prendre soin de notre corps.

Un bienfaiteur de l’humanité

Malgré tout, le Dr Sarno reste un bienfaiteur de l’humanité, ne serait-ce que pour tous les patients qu’il a guéris.

La médecine conventionnelle est d’ailleurs en train de lui donner raison sur un point qu’il n’a pas cessé de marteler au fil des ans : l’inutilité de l’imagerie médicale, et plus encore de la chirurgie, dans la majorité des cas de douleurs lombaires.

Il est donc inutile de vous précipiter chez le radiologue, sauf dans deux cas : 1) un traumatisme avéré de la colonne et 2) des douleurs associées à d’autres symptômes inquiétants (qui peuvent signaler un cancer).

Gardez bien en tête que le vieillissement ou le tassement des vertèbres ne causent pas en eux-mêmes de douleurs lombaires. C’est pourquoi la chirurgie du dos est inutile et dangereuse dans la plupart des cas. Malheureusement, chaque année, des centaines de milliers de patients dans le monde subissent une opération de « soudure de leurs vertèbres » (arthrodèse) pour leurs douleurs lombaires, avec un taux d’échec de plus de 75 %. [6]

Quoi que l’on pense du Pr Sarno, il est donc essentiel, en cas de douleur chronique, de se tourner en priorité vers les approches naturelles.

Sources :

[1] Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau, Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015, page 25.

[2] Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau, Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015, page 19.

[3]  « Magnetic resonance imaging of the lumbar spine in people without back pain », Jensen M.C. et al., New England Journal of Medicine, 331, 1994, p. 69-73

[4]  Genomic and clinical effects associated with a relaxation response mind-body intervention in patients with irritable bowel syndrome and inflammatory bowel disease Kuo B, Bhasin M, Jacquart J, Scult MA, Slipp L, Riklin EI, Lepoutre V, Comosa N, Norton BA, Dassatti A, Rosenblum J, Thurler AH, Surjanhata BC, Hasheminejad NN, Kagan L, Slawsby E, Rao SR, Macklin EA, Fricchione GL, Benson H, Libermann TA, Korzenik J, Denninger JW. PLoS One. 2015 Apr 30;10(4):e0123861. doi: 10.1371/journal.pone.0123861.

[5] A comparison of mindfulness-based stress reduction and an active control in modulation of neurogenic inflammation, Melissa A. Rosenkranz, Richard J. Davidson, Donal G. MacCoon, John F. Sheridan, Ned H. Kalin, Antoine Lutz, Brain, Behavior, and Immunity, Volume 27, January 2013, Pages 174-184, ISSN 0889-1591, 10.1016/j.bbi.2012.10.013.

[6] Back Pain Treatments — What Works and What Doesn’t, Dr Mercola, in Peak Fitness

402 commentaires

  • Jeannine Tebbani dit :

    D’abord un grand merci à toute l’équipe de Xavier Bazin.
    Moi aussi j’ai la faculté inné de m’hypnotiser instantanément pour ne ressentir aucune douleur traumatique ni post-opératoire ni d’accouchement d’ailleurs. Quand je me brûle je ressens tout de même la douleur qui me fait enlever le doigt par exemple mais cette dernière disparaît aussitôt. En fait j’ai l’impression que ces douleurs ne m’appartiennent pas, dans le cas où elles viennent. Un autre exemple, j’ai toujours été adepte de foulures sévères de la cheville en faisant du sport, même du genou au ski. Là la douleur est fu
    lgurante, mais je continue à bouger comme si de rien était. Toute douleur disparaît en 5mn max et je continue comme ci de rien n’était. Bien sûr personne ne croit dans mon entourage que tout ça est possible, mais moi je sais ce qui est.
    De même pour les décisions importantes, il suffit que je pense pour que ça se réalise…..
    Alors le Dr Sarno est dans le vrai….
    Bonne journée

  • michel angelosanto dit :

    La on touche un problème délicat et três dur a comprendre chez la plupart des gens. Non seulement le cerveau peut générer de la douleur mais aussi le mal. Voici mon exemple, j’ai eu un enorme stress et suite a cela, j’ai en quelques mois attrape deux glaucomes, des acouphènes qui me rendent sourd et une tumeur au poumon de la taille d’un ballon de rugby. Ma tension oculaire avait été prise quelques mois avant et était normale mon ophtalmo, un ami, persistait a me dire qu’il était impossible d’avoir des glaucomes aussi avances en quelques mois pourtant ce n’était pas une illusion ils étaient bien la. Donc dans cet exemple, le cerveau avait induit le mal physique (et les douleurs qui vont avec) Vous allez me dire pourquoi tu nous parles de cela vu que le sujet est l’inverse? Et bien pour la tumeur il a fallu opérer mais pour les yeux j’ai découvert que l’inverse fonctionnait aussi. J’ai pu retrouver la vue normale 10/10 aux deux yeux et donc arrêter les lunettes totalement (j’ecris ce texte sans lunettes) bien sur adieu les douleurs oculaires tout cela uniquement en comprenant les mécanismes et avec une bonne gestion du cerveau. Je ne prends jamais d’antidouleurs (ni aucun médicament)

  • eOle dit :

    Merci Soyez le plus bref possible car la longueur de vos lettres en décourage préalablement la lecture
    Hors elles sont intéressants .

    Voici mon témoignage
    Jeune mariée, je suis retrouvée avec de très violentes crises de spasmes au niveau du thorax et des douleurs dans les mâchoires, qui ressemblaient aux signes des crises cardiaques.Le temps d’aller consulter la crise était passée, elle m’avait épuisée mais à tous les examens réalisés y compris l’ablation de l’appendice on n’a rien trouvé .Sur les conseils de ma mère je suis allée consulter le Dr Pescarollo qui m’a demandé de parler de ces malaises et de ma vie au cours de la visite . Il m’a invitée à réfléchir sur ma vie : Voulais-je ou non y changer quelque chose. J’attendais un enfant mais j’étais insatisfaite de ma vie de couple, j’ai décidé de ne rien changer .Suite à cet entretien, Je n’ai plus eu de spasme pendant des années.
    En cas de gros stress ils sont de retour Je les stoppe et me calme et buvant un très grand verre d’eau .
    Cordialement
    eOle

    Je suis artiste ce sont mes liens avec l’Univers et la musique qui me stabilisent et m’épanouissent. J’ai besoin de participer à l’Harmonie de la vie en donnant le meilleur de moi-même.

    Préoccupés et cloisonnés dans la vie quotidienne, dans des conflits, la plupart des humains ne se situent plus dans leur rapport simple à l’Univers.
    Nous foulons sans respect la vie qui nous est donnée, comme l’herbe sur laquelle nous marchons. Nous rêvons d’un monde meilleur , de richesses…nous ne savons pas voir.
    Vivre est une chance extraordinaire et unique dont tout un chacun devrait pouvoir s’ émerveiller et partager le bonheur en apportant aux autres sa part d’originalité.
    C’est en modelant de la terre et en polissant des petits cailloux ramassés en chemin que j’ai repris racines
    eOle

    Je souhaiterais participer à un groupe de réflexion

    • mapi dit :

      Bonjour,
      Pouvez vous me dire qui est le docteur Pescarollo et dans quelle région il consulte ? Merci

  • Amandine dit :

    Bonjour ! Je viens de lire votre lettre. Je trouve ce sujet très intéressant d’autant que je suis très concernée par tout ça dans ma pratique au quotidien je suis ostéopathe et il est clair que bon nombre de douleurs viennent de la sommatisation des émotions refoulées . Je travaille moi-même beaucoup en émotionnel et il est vrai que les résultats sont stupéfiants sur les douleurs. Maintenant il n’est pas toujours facile de mettre le doigt sur l’émotion précise qui a déclenché la douleur. Car c’est uniquement en mettant le mot juste et l’émotion précise que la douleur disparaît .. Bonne journée Amandine

  • mapi dit :

    Bonjour,

    Est ce que cela fonctionne aussi sur la spondylarthrite et l’arthrose ? je souffre des 2 ! et en période de crise, je prends anti douleurs + anti inflammatoires…. j’aimerai tellement vivre normalement !

    Merci de me répondre et très belle journée à vous

    • TERRISSE Jean-Yves dit :

      Je me permets de vous répondre en tant que Médecin ayant évolué vers les Médecines douces. Pour ces deux pathologies (l’une Mécanique et l’autre inflammatoire), sur le plan thérapeutique simple, orientez vous vers un Posturologue (pour gérer les probables déséquilibres physiques à l’origine de votre arthrose) et des conseils alimentaires pour réduire les phénomènes inflammatoires (la méthode la plus performante à mes yeux: Médecine des Groupes sanguins du Dr D’Adamo).

  • Alain dit :

    Il y a une grande sagesse dans les propos du Pr. Sarno. J’ai remarqué aussi que mes maux de dos occasionnels étaient reliés à des états de refoulement émotionnels. Cependant comme vous le remarquez, il est important de ne pas être extremiste et de savoir concilier d’autres méthodes. Je pense en ce moment à la thèse du Dr Hamer (« la nouvelle médecine germanique ») concernant le cancer qui le considère lui aussi comme un refoulement d’une situation émotive. Malheureusement il est lui aussi extremiste dans son attitude et n’accepte aucune autre thérapie supplémentaire !
    De parler à nos cellules est aussi une recommandation très importante, car celles-ci nous écoutent !

  • Patrick dit :

    Bonjour,
    Au travers de ce que je lis dans votre article, il me semble simplement reconnaître la méthode Coué qui pourrait soi-disant s’appliquer à tout obligeant le cerveau à s’ exécuter et même à « provoquer » la situation recherchée… et donc pour les douleurs également, enfin certaines douleurs…. Méthode Coué qui me semble un peu plus vieille que celle de Sarno… là, je me pose question… A chacun d’en tirer ses conclusions…

  • chapat dit :

    Oui et oui, cela fonctionne, je pratique moi même l’EFT sur plein de douleurs physiques et mentale, je vis des choses compliquées et grâce à 10mn chaque jour en periode très difficile et 1 meditation chaque soir sur la pleine conscience, adieu medecins et medocs, je vous invite tous à tester l’EFT, je me suis achetée 1 bouquin et j’ai travaillé seule la technique, inutile de voir 1 specialiste sauf pour des personnes qui ne sont pas proches de tout ce qui est holistique.
    Bon courage et prenez vous en main , la secu s’en portera mieux.
    Anna

    • boukrra dit :

      bonsoir peut tu me dire le nom du livre je passe moi meme des moments tres tres difficiles et je suis dans une grande detresse merci pour la réponse au plaisir d’avoir une réponse merci beaucoup

  • DELANGE dit :

    L’an dernier j’ai eu une arthrose du genou sévère, qui me faisait souffrir malgré un traitement à l’acide hyaluronique. J’ai eu connaissance du livre du Pr SARNO que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt
    et j’ai soudain compris la cause psychologique de la douleur : quelques mois auparavant j’avais décidé de me séparer de mon compagnon car je n’arrivais plus à avancer dans la vie avec lui. Dans les heures qui ont suivi, la douleur a commencé à s’estomper puis disparaître. J’ai acheté un ouvrage ‘dictionnaire des maux et malaises) qui fait le lien entre psychisme et maladie. Il y a un mois, je souffrais d’un gros point de côté, en permanence, qui ne cédait pas. J’ai consulté mon livre qui me disait de ralentir… Ce que j’ai fait. Au bout de deux jours, je n’avais plus mal… Dès que je sens une douleur, je parle à mon cerveau, et ça fonctionne. J’en ai parlé à mon médecin qui m’a dit que c’était la meilleure médecine !! Autour de moi je encontre des personnes qui vivent la même expérience.. et d’autres qui me regardent d’un air bizarre.. Merci Pr SARNO.

    • Gérard Hess dit :

      merci pour votre info!
      Je souhaite vous indiquer (en plus?) le livre de Michel Odoul: »Dis-moi où tu as mal – je te dirai pourquoi- Les cris du corps sont les messages de l’âme »:il fourni des explications et des pistes comme vous le décrivez!

  • Barbée dit :

    Je suis conscient et sur que cela marche, j’expérimente une méthode similaire depuis quelques mois avec succès . Moi je me traite par l’hypnose intégrale, qui ressemble assez bien a la méthode du Dr Sarno, le seul problème savoir faire le vide dans son cerveau, après c’est facile et ca ne m’a couté que le modeste prix de livres et quelques heures de lectures.
    A votre disposition pour des renseignements complémentaires sur mes résultats.
    josé Barbée.

Laisser un commentaire