C’est un secret de polichinelle : les personnes âgées en maison de retraite prennent un nombre hallucinant de médicaments.
Et le problème, c’est que tous ces médicaments leurs causent de très lourds effets secondaires.
En août 2014, c’est le journal Le Point qui tirait la sonnette d’alarme. Le gros titre :
Des médicaments courants entraîneraient le déclin cognitif et physique des seniors
Antidépresseurs, somnifères, antihypertenseurs… Une étude mondiale met en garde contre les risques cachés de médicaments prescrits aux personnes âgées.
Ces médicaments particulièrement dangereux sont ceux qui contiennent des « anticholinergiques ».
Et figurez-vous qu’ils sont partout : médicaments contre l’insomnie, l’anxiété, l’asthme, l’hypertension artérielle, la diarrhée, l’incontinence urinaire ou les glaucomes.
Le directeur de l’étude, cité par le Point, est formel :
« À cause de ces médicaments [les anticholinergiques, NDLR], ces patients pourraient devenir de moins en moins capables de mener des activités quotidiennes simples comme marcher, manger, se laver ou s’habiller ».
Et le pire, c’est que ces médicaments-là ne sont que la face émergée de l’iceberg.
Par exemple, on continue de prescrire aux seniors des médicaments pour faire « baisser leur cholestérol », alors qu’ils sont toxiques pour les muscles, le cerveau… et totalement inutiles. Une étude récente a encore démontré que plus on avait de « mauvais cholestérol » après 60 ans… plus on vivait vieux !!! [1]
Et puis on leur prescrit à la pelle des anxiolytiques ou des somnifères, probablement pour les soulager, mais peut-être aussi pour avoir la paix… alors que l’on sait aujourd’hui que les benzodiazépines sont directement responsables de la maladie d’Alzheimer. [2]
Et ce n’est pas tout. Pour leur « remonter le moral », on leur distribue du Prozac, comme s’il s’agissait de bonbons. D’après une étude récente, le nombre de patients sous antidépresseurs atteint 90 % dans certaines maisons de retraite belges ! [3]
Pour de nombreux patients, ce sont plus de dix pilules par jour à prendre, avec tous les risques d’interaction dangereuse que vous pouvez imaginer, sur des organismes vulnérables !
Alors je voudrais partager avec vous une idée qui pourrait changer la vie de tous nos aînés en maison de retraite.
Une idée simple, peu coûteuse et applicable immédiatement
Cette idée m’est venue en lisant la thèse de doctorat de pharmacie de Charles Pierron, intitulée :
Les huiles essentielles et leurs expérimentations dans les services hospitaliers de France [4]
Je tiens à partager avec vous un extrait assez bluffant.
Nous sommes à l’hôpital Georges Clémenceau de Champcueil, au sein d’un service qui accueille des patients atteints de dégénérescences diverses telles que la maladie d’Alzheimer.
Grâce à l’initiative courageuse d’une infirmière, l’aromathérapie y a été introduite il y a quelques années, en diffusion atmosphérique.
Voici ce qui se produit avec ou sans diffusion d’un mélange d’huiles essentielles apaisantes. C’est le pharmacien qui décrit la scène :
« 9h20 – Arrêt de la diffusion
9h45 – Agitation d’une résidente (cri, déambulation)
9h50 – Je constate qu’un résident se lève de sa chaise, déambule et se rassoit très fréquemment. Un autre résident en fauteuil roulant tente de se lever sans précaution et de manière agitée (il semble plus énervé).
9h55 – Une résidente tire les oreilles de son voisin et tente de le faire tomber. Ce dernier gémissait en ayant l’air angoissé depuis quelques minutes.
10h – Reprise de la diffusion
L’odeur redevient immédiatement perceptible car elle s’était estompée progressivement après la précédente diffusion.
La première patiente qui criait auparavant ne crie plus. Celui en fauteuil roulant n’essaye plus de se lever mais circule paisiblement. Le résident angoissé s’est calmé ainsi que sa voisine.
Celui qui se levait et se rasseyait sans cesse le fait désormais beaucoup moins fréquemment et surtout, lorsqu’il déambule, il passe devant une résidente et lui caresse le visage. Cette dernière sourit.
Je remarque aussi que plusieurs résidents viennent me voir pour parler. Des souvenirs sont très souvent évoqués (souvenir d’enfance, la famille, les fêtes, les voyages, le travail). D’autres parlent entre eux.
10h20 – Arrêt de la diffusion
Retour progressif à une ambiance générale plus agitée.
10h45 – Arrivée d’une résidente en fauteuil roulant, en pleurs, angoissée, réclamant ses parents, voulant sortir (« Pitié monsieur, emmenez-moi »), et craignant la mort. Elle crie, bouscule les chaises pour passer, jette son verre par terre.
11h – Reprise de la diffusion Retour au calme quasi immédiat. La patiente en fauteuil roulant ne pleure plus, crie moins, mais reste un peu angoissée, se dirige face à la fenêtre et se calme. Elle vient ensuite à côté de moi et tente de discuter. Elle parait plus attentive à ce que je lui disais qu’à son arrivée dans la pièce principale. »
Conclusion du pharmacien :
« Il parait évident que la diffusion aromatique a un effet bénéfique sur l’ensemble des résidents ainsi que sur le personnel soignant. On a bien un effet sur le stress, l’agressivité, et l’angoisse. On a aussi les effets stimulants (lien social entre les résidents, stimulation de la parole, conversation, souvenirs).
Pour confirmer cette découverte, le service a même mis en place une petite étude clinique… qui a confirmé l’effet positif sur l’agitation et l’anxiété, réduite de moitié grâce à la diffusion d’huiles essentielles !
La magie des odeurs pour mieux vivre
Ces résultats formidables n’ont rien de magiques.
Lorsque vous respirez les huiles essentielles, vos poumons absorbent leurs molécules bienfaitrices, et les redistribuent dans tout l’organisme, via la circulation sanguine.
C’est la voie sanguine, « classique ».
Et c’est rudement efficace : des chercheurs ont montré que 80 mg d’huile essentielle de lavande fine en capsule font aussi bien que les somnifères et les anxiolytiques chimiques, sans effet secondaire. [5]
Mais la diffusion de molécules aromatiques a aussi un pouvoir qu’aucune autre substance ne peut avoir.
Une fois entrées dans le nez, elles parviennent directement à notre cerveau émotionnel (limbique), sans passer par notre cerveau rationnel (néocortex) !
Et c’est ainsi qu’elles stimulent directement notre inconscient. Elles abolissent toutes les frontières rationnelles de temps et stimulent un monde d’images, de souvenirs et d’émotions enfouis au fond de notre mémoire.
Un essai clinique a prouvé son effet sur la mémoire : parmi deux groupes de volontaires, ceux qui ont été placés dans une salle avec un diffuseur d’huile essentielle de romarin ont nettement mieux réussi des exercices mémoire que l’autre. Une supériorité de 70 % !! [6]
D’autres recherches ont montré que la diffusion d’huile essentielle de lavande vraie supprime l’anxiété et vous rend serein. Cela a été testé scientifiquement… dans la salle d’attente d’un dentiste, où l’inquiétude est à son comble ! [7]
Au total, il est clair que la diffusion d’huile essentielle est un atout précieux pour soigner les maux de l’esprit, comme l’anxiété, les traumatismes émotionnels, ou la dépression.
C’est simple, économique et sans effet secondaire.
Alors qu’attendons-nous pour en faire profiter nos aînés ?
Car non seulement les huiles essentielles sont efficaces, non seulement elles sont agréables à sentir…
…mais, cerise sur le gâteau, elles pourraient aussi enrayer les épidémies de grippe !
Et en plus, c’est le meilleur moyen d’éviter les épidémies !
Vous vous souvenez peut-être de ce qui s’est passé dans la maison de retraite Korian Berthelot à Lyon, début 2017.
L’épidémie de grippe a touché plus des deux tiers des 102 personnes âgées qui y étaient hébergées… et 13 d’entre elles sont décédées, emportées par la maladie.
Le vaccin contre la grippe n’a rien fait pour les protéger : parmi les 13 morts, 6 avaient été vaccinés un mois plus tôt.
Mais on aurait pu éviter ce drame par une mesure très simple : la diffusion d’huiles essentielles.
On sait depuis longtemps que les huiles essentielles ont un puissant pouvoir antibactérien et antiviral.
Mais tout récemment, on a eu la preuve de leur pouvoir extraordinaire : il suffit de diffuser de l’huile essentielle de Tea Tree pendant 30 minutes pour que la concentration du virus de la grippe diminue de 99 % ! [8]
N’est-ce pas ce qu’on appelle allier l’utile à l’agréable ?
Et si l’odeur du Tea Tree finit par lasser, sachez que l’huile essentielle d’Eucalyptus globulus est parvenue au même résultat !
Sauvons nos aînés, faites passer le message !
Personnellement, je sais ce qui me reste à faire : offrir un petit diffuseur à ma grande tante, pour sa chambre, et essayer de convaincre la directrice de sa maison de retraite de diffuser des molécules aromatiques dans tout l’établissement.
Mais j’aimerais aussi toucher les 700 000 personnes aujourd’hui hébergées en maison de retraite.
Et pour cela, j’ai besoin de votre aide : aidez-moi à diffuser ce message partout autour de vous. Transférez cette lettre à vos amis, diffusez-la sur Facebook !
Nous devons lancer un grand mouvement : « des diffuseurs pour nos aînés » !
C’est un moyen simple, peu coûteux et rudement efficace d’améliorer leur santé, leur moral… leur vie, tout simplement !
Il suffit de s’y connaître un peu. Les huiles essentielles sont totalement inoffensives si elles sont bien utilisées, mais attention à ne pas vous lancer sans vous être bien informé au préalable !
Par exemple, si vous voulez les utilisez en diffusion, il faut bien savoir les choisir :
- Si l’objectif est d’assainir une pièce (en cas d’épidémie, par exemple), mieux vaut choisir un diffuseur électrique. Les huiles doivent être sélectionnées avec soin et le temps de diffusion doit être limité : 10 minutes toutes les deux heures, pour une pièce de 20 mètres carrés environ.
- Si l’objectif est de profiter des odeurs et des fragrances (dans la pièce à vivre par exemple), privilégiez le diffuseur à ultrasons, qui forme une petite brume d’eau et maintient les molécules aromatiques en suspension ;
Pour une chambre, il y a un troisième choix, le ventilateur d’huiles essentielles, qui parfume délicatement votre intérieur.
Et bien sûr, les bienfaits des diffuseurs ne sont pas réservés aux anciens ! Tout le monde peut en profiter, quel que soit son âge !
Après 8 mois d’hospitalisation (lésions cérébrales inflammatoire dont ils ne trouvaient pas la cause, d’où erreur t diagnostic et surdité) + cancer du sein , chirurgie etc … Je fais une overdose de chimie . Pour la 2ieme bronchite en 4 mois ( les rayons ont manifestement fragilisé mon système respiratoire) j’ai refusé tous médocs et pris des HE : fièvre tombée en 12h, infection jugulee en 3 jours. Maintenant je vais m’attaquer à l’oedème post chirurgical que je traîne depuis un an.
Je ne peux malheureusement souscrire à votre revue, une fois l’ Epadh payé ainsi que qq compléments alimentaires destinés à m’aider à remonter la pente, il ne me reste rien. Ce que vous proposez sera profitable à beaucoup. Merci.