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Peut-être êtes-vous fatigué, comme moi, d’être confronté à ce triste préjugé.

Les traitements naturels seraient des médecines « douces », bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ». Bref, des « remèdes de bonne femme », comme le disent certains de façon si méprisante.

La réalité est tout autre : c’est au contraire sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.

Prenez la terrible maladie de Parkinson.

Vous avez sans doute en mémoire les images de la dégradation progressive de l’état du pape Jean-Paul II, jusqu’à sa mort en 2005.

C’est le même scénario, implacable, que vivent toutes les victimes de Parkinson. Cela commence par de légers tremblements, des muscles un peu trop rigides, de petits soucis d’équilibre… pour finir des années plus tard en fauteuil roulant.

A ce jour, aucun remède validé n’est capable de stopper cette dégénérescence.

Mais il est possible de la ralentir fortement, et de vivre de longues et belles années… surtout si l’on s’appuie sur les traitements naturels contre Parkinson, validés scientifiquement !

Et vous allez voir : certaines de ces solutions sont des habitudes et des pratiques que tout le monde gagnerait à suivre, non seulement pour éviter de contracter Parkinson, mais aussi pour vivre mieux… et plus heureux !

Le traitement médical de référence contre Parkinson est une substance naturelle !

La L-dopa est le médicament de référence contre Parkinson depuis pas moins de 45 ans.

Mais ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que la L-Dopa est en réalité une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.

C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913. A l’époque, un jeune chimiste suisse, Markus Guggenheim avait même décidé d’expérimenter la L-dopa sur lui-même, pour essayer d’en comprendre les effets. Comme il n’avait pas Parkinson, il n’a rien ressenti… si ce n’est une terrible nausée qui l’obligea à se faire vomir (la nausée est, encore aujourd’hui, un des principaux effets secondaires de la L-Dopa).

Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.

Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde ! Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1] . Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse dont on a découvert au siècle dernier qu’elle était incroyablement dosée en L-dopa !

Il se pourrait même que cette plante soit plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement

la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante ! [2]

Un traitement contre Parkinson efficace oui, mais pas éternellement

La L-dopa est un remède unique, car c’est la seule substance au monde capable d’augmenter dans le cerveau la production de « dopamine », une molécule indispensable au contrôle des mouvements du corps.

Or la principale caractéristique de la maladie de Parkinson est précisément une carence en dopamine, qui cause les tremblements que l’on connaît.

La cause de cette carence est bien connue : elle est liée à la destruction lente et progressive des neurones spécialisés dans la production de dopamine, qui sont concentrés dans une petite zone du cerveau (locus niger).

En revanche, personne ne sait pourquoi ni comment ces neurones sont détruits. Tout ce que l’on sait sur les causes de cette maladie, c’est que les pesticides ont une lourde responsabilité dans son apparition – à tel point que les autorités françaises reconnaissent le statut de « maladie professionnelle » aux agriculteurs qui en sont frappés.

Cela donne une bonne indication pour l’éviter – manger bio. Mais ces maigres connaissances de la maladie ne nous disent rien des moyens pour l’arrêter, une fois qu’elle est déclarée. C’est pourquoi les malades n’ont pas d’autre solution que de combattre les symptômes, en essayant de compenser leur manque de dopamine.

Et c’est en cela que la L-dopa est si précieuse. Au départ, son effet est même tout simplement miraculeux. Vous retrouvez votre équilibre, le contrôle de vos membres et la souplesse de vos muscles.

Malheureusement, au bout de quelques années, elle devient de moins en moins efficace. Pire : vous êtes pris régulièrement de mouvements involontaires (dyskinésies), et de blocages musculaires de plus en plus problématiques.

C’est pour cela qu’une autre génération de médicaments a été développée dans les années 1980-1990, avec de vrais bienfaits… mais aussi de redoutables effets secondaires.

Les médicaments qui transforment en obsédé du jeu et du sexe

Pour contourner l’impossibilité (hors L-dopa) d’augmenter la dopamine dans le cerveau, les scientifiques ont eu l’idée de stimuler directement les récepteurs de la dopamine.

L’effet est indirect : la dopamine n’est pas augmentée, mais les récepteurs se comportent comme s’ils venaient de recevoir une dose de dopamine.

Et cela fonctionne. Pas aussi bien que la L-Dopa, mais suffisamment pour que ces médicaments puissent être utilisés comme un soutien utile. Ils sont généralement donnés au début de la maladie, à la place de la L-dopa – l’objectif étant de retarder au maximum le moment où les patients devront prendre la L-dopa, puisque l’on sait que ses effets finiront par s’estomper.

Le « petit » problème est que ces nouveaux médicaments ne conviennent pas à tout le monde, loin de là. Ils ont même la particularité de transformer de nombreux patients… en obsédés des jeux d’argent et du sexe !

C’est ce qui est arrivé à Didier J., dont la vie a basculé quand il a commencé à prendre l’un de ces médicaments, le Requip (ropinirole) , en 2004. [3]

Ce père de famille rangé est soudainement devenu accroc aux jeux sur Internet. Au départ, il ne misait (et perdait) que quelques centaines d’euros par mois. Puis c’est devenu plus sérieux : il passait ses nuits à jouer sur Internet, et a commencé à perdre des dizaines de milliers d’euros. Lui qui n’a jamais eu de dettes de sa vie s’est mis à emprunter autour de lui pour satisfaire cette furieuse addiction.

Concernant la sexualité, c’est un sujet qui fait volontiers sourire. On imagine qu’il est simplement plus amusant et excitant d’avoir plus de libido.

Comme pour le jeu, c’est vrai à petite dose. Mais pas quand tout se dérègle dans votre vie, et que vous commencez à nuire à votre entourage et à vous détruire vous-même.

Ce fut le cas de Didier, qui fut aussi frappé par une libido permanente et insatiable – ce que les médecins appellent « hypersexualité ». Il sortait presque tous les soirs et ne rentrait pas tant qu’il n’avait pas réussi à séduire une personne, femme ou homme, quel que soit son état d’hygiène, de santé, son âge.

Ce n’est que lorsqu’il a arrêté ces médicaments qu’il s’est libéré de cette emprise. Mais entre-temps, il avait aussi largement ruiné sa vie conjugale construite sur des décennies.

Didier a gagné en 2012 son procès contre GSK, la multinationale qui produisait le Requip. Car ce laboratoire pharmaceutique s’était bien gardé de mentionner ces « effets indésirables » dans la notice de son médicament… alors qu’il les connaissait mieux que personne.

En effet, lors des essais cliniques, deux patients sous Requip étaient allés jusqu’à faire de l’exhibitionnisme en pleine rue ! Mais GSK s’était contenté de préciser que son médicament « augmentait la libido », ce qui est tout de même plus « vendeur ».

Les effets ravageurs de cette gamme de médicaments ont depuis été largement documentés. Le plus prestigieux hôpital américain, la Mayo Clinic, estime qu’ils peuvent frapper jusqu’à 18 % des patients. [4]

C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses. Elles améliorent la qualité de vie des patients sans le moindre effet secondaire, et peuvent même retarder la prise de L-dopa… ce qui ajoute des années de vie en bonne forme !

Vitamines et épices des traitements naturels contre Parkinson mieux que des médicaments ?

Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?

Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.

La vitamine D, un traitement naturel efficace contre Parkinson

Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens étaient généralement carencés en vitamine D. C’était déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.

Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet de ralentir sa progression ! [5]

Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.

D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour) et thé vert. [6]

La cannelle de Ceylan, l’épice porteuse d’espoir contre Parkinson

Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.

Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris , et doit maintenant être testé sur l’homme, sans garantie de résultat pour l’instant. [7]

Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.

L’activité physique, traitement naturel contre Parkinson :

Les nutriments sont précieux mais l’approche la plus efficace pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.

Mais alors quel est le meilleurs sport ?

Les exercices que les médecins recommandent généralement à leurs patients sont utiles : endurance, équilibre ou souplesse. Mais leur efficacité contre Parkinson est loin d’atteindre celle de la simple musculation.

En fait, cela fait une dizaine d’années que l’on commence à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques. Car les efforts aigus de la musculation stimulent fortement le système nerveux central, contrairement aux exercices moins intenses, comme l’endurance.

Deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets spectaculaires – contre Parkinson. Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes. [8]

Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards. Le seul bémol est que la musculation n’est évidemment pas accessible aux patients les plus atteints. Elle demande par ailleurs de la prudence, comme l’accompagnement d’un coach pour éviter les blessures.

Il en est une autre activité, en revanche, qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :

Un Tango contre Parkinson

Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !

Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.

Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels ! [9]

Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard ! [10]

Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson. [11]

Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.

A vous la parole : dites-moi ce que vous en pensez !

Au total, ne trouvez-vous pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles contre Parkinson, même pour une maladie incurable ?

Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment. Pas seulement sur Parkinson, mais sur toutes les maladies qui existent.

Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.

Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.

Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.

Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?

il en existe encore d’autres solutions naturelles contre Parkinson, que je n’ai pas mentionnées.

Par exemple, l’acupuncture et le Tai Chi ont montré de très bons résultats contre Parkinson. Un régime expérimental, le « régime cétogène », semble aussi prometteur. J’aurais pu mentionner des solutions complémentaires intéressantes comme le glutathion… voir même le simple « don du sang », indispensable si votre organisme est surchargé en fer, une particularité que l’on retrouve chez beaucoup de Parkinsoniens. [12] [13]

Etes-vous d’accord avec moi qu’il ne faut JAMAIS désespérer ?

Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.

Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.

Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.

Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?

Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages.

Sources :

[1] The Magic Velvet Bean of Mucuna pruriens, Lucia Raffaella Lampariello et al. J Tradit Complement Med. 2012 Oct

[2] Mucuna pruriens in Parkinson’s disease: a double blind clinical and pharmacological study, R Katzenschlager et al. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 2004 Dec

[3] Voir l’excellent livre Effets secondaires : le scandale français de Jean-Christophe Brisard et Antoine Béguin (Editions First, 2016).

[4] Frequency of New-Onset Pathologic Compulsive Gambling or Hypersexuality After Drug Treatment of Idiopathic Parkinson Disease, J. Michael Bostwick et al. Mayo Clinic

[5] Randomized, double-blind, placebo-controlled trial of vitamin D supplementation in Parkinson disease, Suzuki M et al., Am J Clin Nutr. 2013 May

[6] Caffeine for treatment of Parkinson disease: a randomized controlled trial,  Postuma RB, Neurology. 2012 Aug

[7] Cinnamon treatment upregulates neuroprotective proteins Parkin and DJ-1 and protects dopaminergic neurons in a mouse model of Parkinson’s disease, Khasnavis S, Pahan K, J Neuroimmune Pharmacol, 2014 Sep

[8] Intensive rehabilitation treatment in early Parkinson’s disease: a randomized pilot study with a 2-year follow-up, Frazzitta G et al. Neurorehabil Neural Repair, 2015 Feb and  The impact of high intensity physical training on motor and non-motor symptoms in patients with Parkinson’s disease (PIP): a preliminary study, Morberg BM, NeuroRehabilitation. 2014 Jan

[9] A comparison of Irish set dancing and exercises for people with Parkinson’s disease: a phase II feasibility study, Volpe D, BMC Geriatr. 2013 Jun

[10] Tango for treatment of motor and non-motor manifestations in Parkinson’s disease: A randomized control study, Silvia Rios Romenets, Complementary Therapies in Medicine

[11] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[12] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[13] Treatment of Parkinson disease with diet-induced hyperketonemia: a feasibility study, Vanitallie TB et al., Neurology, 2005 Feb

530 commentaires

  • marie-france BANNWARTH dit :

    Les méthodes naturelles donnent des résultats encourageants. Le corps est un tout, on ne peut le découper en quartiers. Il faudrait agir globalement, avoir une vision holistique de la santé. Pour être en bonne santé, il est important d’avoir des défenses naturelles solides. C’est l’intestin qui joue le rôle primordial dans la défense de notre organisme. La vitalité est notre plus grande ressource. Hélas, nous vivons dans un monde de grandes douceurs alimentaires…avec ses conséquences. Je connais bien une autre maladie neurologique, c’est celle de la maladie de Lyme chronique. Les symptômes sont les mêmes que vous décrivez pour Parkinson. Je crois profondément aux médecines naturelles qui n’ont pas d’effets secondaires. Personnellement, je suis venue à bout de la maladie de Lyme chronique grâce à une thérapie alternative, ceci au bout de 6 longs mois. Je dois ajouter que la prise en charge de Lyme chronique en FRANCE est malheureusement défaillante.
    Comme vous, j’ai été confrontée à ce même préjugé.
    Cordialement et bon courage !
    Marie-France

    • Jullien dit :

      Bonjour Marie-France,

      pouvez-vous m’en dire plus, sur votre combat, et votre victoire sur cette saleté ?
      J’ai une amie atteinte par cette maladie.
      Merci par avance.
      Nicole

  • Sylvie dit :

    Bonjour à tous
    Je suis entièrement d’accord avec les commentaires précédents. Se soigner par des méthodes naturelles , faire attention à son alimentation et bouger,c’est s’assurer une vie plus longue et plus agréable .
    J’ai moi-même soigné un acné sévère ainsi qu’une constipation ôpiniatre en supprimant tous les laitages et le gluten de mon alimentation à l’âge de 30 ans.Beaucoup de légumes cuits à la vapeur ainsi que des jus verts , un peu de fruits , peu de viande et de poisson, quelques graines entières et germées et très peu de sucre…. Je me sens plus lègère et dynamique malgrès mes 63 ans
    J’ai transmis l’article sur le Parkinson à une amie qui malheureusement en est atteinte. J’espère qu’elle trouvera une amélioration grâce à vos conseils.
    Continuez dans cette voie, nous sommes très nombreux à la suivre.
    J’attend avec impatience vos prochaines publications ainsi que le livre de Mr Collin Bernard  » le Parkinson en liberté – vivre ses rèves » que j’offrirai à mon amie.
    Mille merci à vous
    Sylvie

  • Jean F dit :

    Bonjour,
    Depuis quelques coûtés années je me suis tourné vers le bio, le naturel, le doux, je m’en porte tellement mieux, j’ai retrouvé la joie de vivre et l’énergie associée. Un très grand merci à ceux qui conduisent cette orientation et qui luttent contre les intérêts non naturels des industries qui ne pensent qu’à leur profit. Bravo au pr Joyeux et tous mes encouragements et soutiens à vous dans votre projet. Jean.

  • cecile dit :

    la pratique la plus importante pour guérir l’esprit ou ses esprits d’abord, le corps ensuite ( les deux sont inséparables tant qu’on est en vie)
    me paraît être la méditation.
    Juste s’asseoir ; fermer les yeux , et cesser de pédaler dans son cerveau, laisser venir les intuitions .
    C’est quasiment miraculeux, ça change la vie.
    Ensuite écouter son estomac au lieu du bavardage de son cerveau , notre estomac sait quand il faut s’arrêter de le remplir, nous mangeons trop en général , et trop raffiné.
    le corps humain est une telle petite merveille que je continue de m’émerveiller de sa capacité de résilience et de guérison.
    bonne journée et bonne ascension de votre esprit
    ?

  • ledent dit :

    Bonjour,
    je suis diététicienne nutritionniste et cela fait 30 ans que je pratique ce beau métier, formation supplémentaire de phytothérapie dont la gemmo et l’aroma, pour finir par des études de géobiologie en 2009, persuadée des effets de la pollution éléctromagnétique sur la plupart de certaines maladies. J’apprécie cet article, l’importance de consommer des légumineuses régulièrement,..etc Mais ce qui me choque tant dans les articles que dans les magasins bio ou certains conseils donnés par des coach en nutrition c’est de conseiller les gens de consommer des oméga 3 d’origine végétale, Dr Kousmine l’a reconnu en fin de vie, atteinte d’un cancer, …1) Quand on dit qu’un végétal est riche en oméga 3 c’est parce qu’il est plus riche que les autres mais la plupart des végétaux sont toujours plus riche en oméga 6 que 3.
    2) Ces fruits oléagineux une fois pressés sont très sensibles à la lumière, chaleur et oxydation, ce qui provoque chimiquement une transformation en peroxydes, càd, oxydation & radicaux libres, peaux sèches, tâches brunes, vieillissement prématuré… Il faudrait les consommer directement sortis de leur coque, 1 ° pression à froid par notre mastication.
    3) L’importance pour une bonne santé est d’avoir un rapport plus important en oméga 3 que 6, par la consommation presque quotidienne de poissons gras bio ou péchés dans des zones propres. Ne vis t on pas sur la planète bleue? Les 2/3 de notre terre, la mer, qui contient tant de bonnes protéines riches en oméga 3, vitamines D 3(et oligoléléments).!
    Et n’oublions pas que notre corps est oméga 9 et que la consommation d’oméga 9 est capitale aussi, omnivores, œufs, olives, argan, noisettes, avocat,…

  • Patricia dit :

    Petite précision pour votre article en ce qui concerne la non toxicité de la cannelle .
    Celle a proscrire totalement est la cannelle cassia dit cannelier de chine ( cinnamomum cassia )et qui elle, est toxique pour le foie si elle est consommée régulièrement à haute dose dûe à sa forte concentration en coumarine ( composé hépatotoxique).
    La précision m a semblé utile . ?

  • Dominique MERCURI dit :

    Bonjour,
    Je suis attentivement vos lettres.
    je suis devenu un adepte inconditionnel du BIO.
    La médecine naturelle m’a sauvé d’un cancer de la prostate au stade terminal et inopérable.
    J’ai changé radicalement mon mode de vie concernant la nourriture.
    J’ai suivi les conseils que vous donnez dans votre livre concernant la nourriture.
    Je me soigne avec différents compléments alimentaires à base de plante.
    La nature nous donne tout ce dont nous avons besoin pour mieux vivre.
    Je vous encourage à continuer et je vous soutiendrai inconditionnellement.
    Bien à vous.
    Dominique

  • Mourad dit :

    Merci pour l’article.
    Pour moi, je suis convaincu que la solution est dans le naturel.
    Je touche ça dans mon intérieur, il suffit d’observer un petit recul de la vie moderne pour se donner le temps d’écouter son corps.
    encore mille merci.
    Mourad S.

  • Odyl dit :

    Bonjour, je vous remercie de partager vos recherches avec nous. C’est tout simplement passionnant. Je suis aussi convaincue que toutes les solutions se trouvent dans la nature, que tout est question d’équilibre. Au plaisir de vous lire, Odyl

  • Nenninger dit :

    Bonjour,
    Cela fait maintenant quelques années que je reçois les post de santé nature innovation plus quelques autres, pourquoi ne regroupez-vous pas vos forces pour que cela devienne un vrai mouvement efficace et qui compte.
    Certaines des actions du Professeur Joyeux ont d’ailleurs été relayées par ces blogs notamment pour les problèmes de vaccination.

    Ce mouvement individuel mais citoyen pour la santé doit s’amplifier et devenir incontournable au même titre que les lobbys.

    La différence est qu’il s’agit de santé individuelle et collective et non de centres d’intérêts financiers.
    La santé n’est pas à vendre et accessoirement nos organismes de santé y trouveraient une source d’efficacité et d’économie, les médicaments naturels ne coûtent pas plus cher et sont plus efficaces car adaptés à nos organismes.

    Bien cordialement,

    A.Nenninger

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