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Peut-être êtes-vous fatigué, comme moi, d’être confronté à ce triste préjugé.

Les traitements naturels seraient des médecines « douces », bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ». Bref, des « remèdes de bonne femme », comme le disent certains de façon si méprisante.

La réalité est tout autre : c’est au contraire sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.

Prenez la terrible maladie de Parkinson.

Vous avez sans doute en mémoire les images de la dégradation progressive de l’état du pape Jean-Paul II, jusqu’à sa mort en 2005.

C’est le même scénario, implacable, que vivent toutes les victimes de Parkinson. Cela commence par de légers tremblements, des muscles un peu trop rigides, de petits soucis d’équilibre… pour finir des années plus tard en fauteuil roulant.

A ce jour, aucun remède validé n’est capable de stopper cette dégénérescence.

Mais il est possible de la ralentir fortement, et de vivre de longues et belles années… surtout si l’on s’appuie sur les traitements naturels contre Parkinson, validés scientifiquement !

Et vous allez voir : certaines de ces solutions sont des habitudes et des pratiques que tout le monde gagnerait à suivre, non seulement pour éviter de contracter Parkinson, mais aussi pour vivre mieux… et plus heureux !

Le traitement médical de référence contre Parkinson est une substance naturelle !

La L-dopa est le médicament de référence contre Parkinson depuis pas moins de 45 ans.

Mais ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que la L-Dopa est en réalité une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.

C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913. A l’époque, un jeune chimiste suisse, Markus Guggenheim avait même décidé d’expérimenter la L-dopa sur lui-même, pour essayer d’en comprendre les effets. Comme il n’avait pas Parkinson, il n’a rien ressenti… si ce n’est une terrible nausée qui l’obligea à se faire vomir (la nausée est, encore aujourd’hui, un des principaux effets secondaires de la L-Dopa).

Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.

Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde ! Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1] . Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse dont on a découvert au siècle dernier qu’elle était incroyablement dosée en L-dopa !

Il se pourrait même que cette plante soit plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement

la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante ! [2]

Un traitement contre Parkinson efficace oui, mais pas éternellement

La L-dopa est un remède unique, car c’est la seule substance au monde capable d’augmenter dans le cerveau la production de « dopamine », une molécule indispensable au contrôle des mouvements du corps.

Or la principale caractéristique de la maladie de Parkinson est précisément une carence en dopamine, qui cause les tremblements que l’on connaît.

La cause de cette carence est bien connue : elle est liée à la destruction lente et progressive des neurones spécialisés dans la production de dopamine, qui sont concentrés dans une petite zone du cerveau (locus niger).

En revanche, personne ne sait pourquoi ni comment ces neurones sont détruits. Tout ce que l’on sait sur les causes de cette maladie, c’est que les pesticides ont une lourde responsabilité dans son apparition – à tel point que les autorités françaises reconnaissent le statut de « maladie professionnelle » aux agriculteurs qui en sont frappés.

Cela donne une bonne indication pour l’éviter – manger bio. Mais ces maigres connaissances de la maladie ne nous disent rien des moyens pour l’arrêter, une fois qu’elle est déclarée. C’est pourquoi les malades n’ont pas d’autre solution que de combattre les symptômes, en essayant de compenser leur manque de dopamine.

Et c’est en cela que la L-dopa est si précieuse. Au départ, son effet est même tout simplement miraculeux. Vous retrouvez votre équilibre, le contrôle de vos membres et la souplesse de vos muscles.

Malheureusement, au bout de quelques années, elle devient de moins en moins efficace. Pire : vous êtes pris régulièrement de mouvements involontaires (dyskinésies), et de blocages musculaires de plus en plus problématiques.

C’est pour cela qu’une autre génération de médicaments a été développée dans les années 1980-1990, avec de vrais bienfaits… mais aussi de redoutables effets secondaires.

Les médicaments qui transforment en obsédé du jeu et du sexe

Pour contourner l’impossibilité (hors L-dopa) d’augmenter la dopamine dans le cerveau, les scientifiques ont eu l’idée de stimuler directement les récepteurs de la dopamine.

L’effet est indirect : la dopamine n’est pas augmentée, mais les récepteurs se comportent comme s’ils venaient de recevoir une dose de dopamine.

Et cela fonctionne. Pas aussi bien que la L-Dopa, mais suffisamment pour que ces médicaments puissent être utilisés comme un soutien utile. Ils sont généralement donnés au début de la maladie, à la place de la L-dopa – l’objectif étant de retarder au maximum le moment où les patients devront prendre la L-dopa, puisque l’on sait que ses effets finiront par s’estomper.

Le « petit » problème est que ces nouveaux médicaments ne conviennent pas à tout le monde, loin de là. Ils ont même la particularité de transformer de nombreux patients… en obsédés des jeux d’argent et du sexe !

C’est ce qui est arrivé à Didier J., dont la vie a basculé quand il a commencé à prendre l’un de ces médicaments, le Requip (ropinirole) , en 2004. [3]

Ce père de famille rangé est soudainement devenu accroc aux jeux sur Internet. Au départ, il ne misait (et perdait) que quelques centaines d’euros par mois. Puis c’est devenu plus sérieux : il passait ses nuits à jouer sur Internet, et a commencé à perdre des dizaines de milliers d’euros. Lui qui n’a jamais eu de dettes de sa vie s’est mis à emprunter autour de lui pour satisfaire cette furieuse addiction.

Concernant la sexualité, c’est un sujet qui fait volontiers sourire. On imagine qu’il est simplement plus amusant et excitant d’avoir plus de libido.

Comme pour le jeu, c’est vrai à petite dose. Mais pas quand tout se dérègle dans votre vie, et que vous commencez à nuire à votre entourage et à vous détruire vous-même.

Ce fut le cas de Didier, qui fut aussi frappé par une libido permanente et insatiable – ce que les médecins appellent « hypersexualité ». Il sortait presque tous les soirs et ne rentrait pas tant qu’il n’avait pas réussi à séduire une personne, femme ou homme, quel que soit son état d’hygiène, de santé, son âge.

Ce n’est que lorsqu’il a arrêté ces médicaments qu’il s’est libéré de cette emprise. Mais entre-temps, il avait aussi largement ruiné sa vie conjugale construite sur des décennies.

Didier a gagné en 2012 son procès contre GSK, la multinationale qui produisait le Requip. Car ce laboratoire pharmaceutique s’était bien gardé de mentionner ces « effets indésirables » dans la notice de son médicament… alors qu’il les connaissait mieux que personne.

En effet, lors des essais cliniques, deux patients sous Requip étaient allés jusqu’à faire de l’exhibitionnisme en pleine rue ! Mais GSK s’était contenté de préciser que son médicament « augmentait la libido », ce qui est tout de même plus « vendeur ».

Les effets ravageurs de cette gamme de médicaments ont depuis été largement documentés. Le plus prestigieux hôpital américain, la Mayo Clinic, estime qu’ils peuvent frapper jusqu’à 18 % des patients. [4]

C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses. Elles améliorent la qualité de vie des patients sans le moindre effet secondaire, et peuvent même retarder la prise de L-dopa… ce qui ajoute des années de vie en bonne forme !

Vitamines et épices des traitements naturels contre Parkinson mieux que des médicaments ?

Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?

Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.

La vitamine D, un traitement naturel efficace contre Parkinson

Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens étaient généralement carencés en vitamine D. C’était déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.

Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet de ralentir sa progression ! [5]

Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.

D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour) et thé vert. [6]

La cannelle de Ceylan, l’épice porteuse d’espoir contre Parkinson

Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.

Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris , et doit maintenant être testé sur l’homme, sans garantie de résultat pour l’instant. [7]

Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.

L’activité physique, traitement naturel contre Parkinson :

Les nutriments sont précieux mais l’approche la plus efficace pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.

Mais alors quel est le meilleurs sport ?

Les exercices que les médecins recommandent généralement à leurs patients sont utiles : endurance, équilibre ou souplesse. Mais leur efficacité contre Parkinson est loin d’atteindre celle de la simple musculation.

En fait, cela fait une dizaine d’années que l’on commence à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques. Car les efforts aigus de la musculation stimulent fortement le système nerveux central, contrairement aux exercices moins intenses, comme l’endurance.

Deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets spectaculaires – contre Parkinson. Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes. [8]

Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards. Le seul bémol est que la musculation n’est évidemment pas accessible aux patients les plus atteints. Elle demande par ailleurs de la prudence, comme l’accompagnement d’un coach pour éviter les blessures.

Il en est une autre activité, en revanche, qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :

Un Tango contre Parkinson

Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !

Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.

Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels ! [9]

Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard ! [10]

Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson. [11]

Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.

A vous la parole : dites-moi ce que vous en pensez !

Au total, ne trouvez-vous pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles contre Parkinson, même pour une maladie incurable ?

Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment. Pas seulement sur Parkinson, mais sur toutes les maladies qui existent.

Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.

Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.

Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.

Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?

il en existe encore d’autres solutions naturelles contre Parkinson, que je n’ai pas mentionnées.

Par exemple, l’acupuncture et le Tai Chi ont montré de très bons résultats contre Parkinson. Un régime expérimental, le « régime cétogène », semble aussi prometteur. J’aurais pu mentionner des solutions complémentaires intéressantes comme le glutathion… voir même le simple « don du sang », indispensable si votre organisme est surchargé en fer, une particularité que l’on retrouve chez beaucoup de Parkinsoniens. [12] [13]

Etes-vous d’accord avec moi qu’il ne faut JAMAIS désespérer ?

Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.

Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.

Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.

Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?

Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages.

Sources :

[1] The Magic Velvet Bean of Mucuna pruriens, Lucia Raffaella Lampariello et al. J Tradit Complement Med. 2012 Oct

[2] Mucuna pruriens in Parkinson’s disease: a double blind clinical and pharmacological study, R Katzenschlager et al. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 2004 Dec

[3] Voir l’excellent livre Effets secondaires : le scandale français de Jean-Christophe Brisard et Antoine Béguin (Editions First, 2016).

[4] Frequency of New-Onset Pathologic Compulsive Gambling or Hypersexuality After Drug Treatment of Idiopathic Parkinson Disease, J. Michael Bostwick et al. Mayo Clinic

[5] Randomized, double-blind, placebo-controlled trial of vitamin D supplementation in Parkinson disease, Suzuki M et al., Am J Clin Nutr. 2013 May

[6] Caffeine for treatment of Parkinson disease: a randomized controlled trial,  Postuma RB, Neurology. 2012 Aug

[7] Cinnamon treatment upregulates neuroprotective proteins Parkin and DJ-1 and protects dopaminergic neurons in a mouse model of Parkinson’s disease, Khasnavis S, Pahan K, J Neuroimmune Pharmacol, 2014 Sep

[8] Intensive rehabilitation treatment in early Parkinson’s disease: a randomized pilot study with a 2-year follow-up, Frazzitta G et al. Neurorehabil Neural Repair, 2015 Feb and  The impact of high intensity physical training on motor and non-motor symptoms in patients with Parkinson’s disease (PIP): a preliminary study, Morberg BM, NeuroRehabilitation. 2014 Jan

[9] A comparison of Irish set dancing and exercises for people with Parkinson’s disease: a phase II feasibility study, Volpe D, BMC Geriatr. 2013 Jun

[10] Tango for treatment of motor and non-motor manifestations in Parkinson’s disease: A randomized control study, Silvia Rios Romenets, Complementary Therapies in Medicine

[11] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[12] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[13] Treatment of Parkinson disease with diet-induced hyperketonemia: a feasibility study, Vanitallie TB et al., Neurology, 2005 Feb

530 commentaires

  • Gilbert GENDRE dit :

    Je suis un homme de 90 ans. Je serais MORT depuis longtemps si je
    n’avais trouvé la méthode miracle qui m’a sauvé.
    Suite à la malnutrition que j’ai subie pendant la guerre je soufrais de
    constipation/diarrhée.
    J’ai fait un séjour à l’hôpital, il a 20 ans, il été constaté que j’avais des diverticules. Aucun traitement ou remède …Retour au domicile.
    J’ai supprimé complètement les diarrhées, mon état général est
    revenu au beau fixe en prenant 10 grammes de chocolat NOIR au
    cours de tous les repas. Même mes cheveux ont repoussés BRUNS !!!

  • Wenez dit :

    Bonjour
    Merci de partager ces informations très intéressantes . Je ne suis pas confrontée à une maladie particulière si ce n’est que mon fils est né il y a 15 ans avec une maladie orpheline et je suis persuadée que cet accident génétique est dû à l’alimentation et l’environnement …. Je recherche quotidiennement des solutions naturelles à des maux divers pour ma famille (maux de tête , migraines, nausées, adhérences , douleurs musculaires , maux de dos, troubles de la concentration , fatigue, moral en berne ….). La dernière affection à traiter pour moi fut une infection urinaire. J’ai pris des huiles essentielles mais ce n’est pas passé j’ai dû me résoudre à aller voir le médecin et prendre des antibiotiques. Je crois au pouvoir des méthodes naturelles mais on est surchargé de livres et d’informations plus ou moins contradictoires sur internet et il est difficile de faire le tri pour trouver le meilleur remède . Merci à vous de nous faire partager le fruit de vos recherches.

  • Francis dit :

    Voici le témoignage d’une personne que j’ai accompagnée :
    Atteinte de la maladie de Parkinson

    A bientôt soixante-dix ans et atteinte de la maladie de Parkinson, P. habitait une maison isolée qu’elle partageait avec son fils. Elle m’appela pour savoir si j’accepterais de me déplacer pour l’accompagner en Massage Sensitif®. Dès lors qu’elle était sous suivi médical, je n’y voyais aucun inconvénient. Lorsqu’en effet j’accompagne des patients atteints de pathologies importantes et dans l’éventualité de la survenue d’un problème, je m’assure que la personne est suivie par la médecine conventionnelle.
    P. me dit que son fils n’était pas au courant qu’elle avait fait appel à moi. Sa main droite étant entièrement crispée, elle ne pouvait plus se nourrir seule, et cette perte d’autonomie l’affectait physiquement, mais aussi psychologiquement. Imaginez un peu, son monde était à l’envers. Dans la vie « normale », la mère aide son enfant à se nourrir. Le contraire était pour elle « humiliant », et elle ne voulait pas imposer cette situation plus longtemps à son fils.
    Au cours de la première séance, je concentrai mon Massage Sensitif® sur sa main paralysée. À l’issue la quatrième séance, P. pouvait à nouveau manger seule. J’avais effectué un travail conséquent au niveau de sa main droite, mais pas seulement. Parce que d’abord et avant tout une personne c’est un tout, à savoir un corps de la tête aux pieds, je travaillai également sur la zone de l’épaule. Les crispations de la main de ma patiente avaient pour origine ses épaules et ses omoplates.

    A aujourd’hui, je regarderais aussi les glandes endocrines et notamment la thyroïde car celle-ci a un rôle très important sur notre possibilité de retenir les choses. En plus je vérifierais le système immunitaire afin de lui permettre de retrouver son rôle de protecteur du corps.

    Cordialement
    Francis

    • Francis dit :

      Bonjour Wenez.
      Et si c’était votre intestin! Depuis ma naissance j’ai des problèmes divers et variés. Mais avec l’age les symptômes se sont agavés et ce n’est qu’à 59 ans que j’ai trouvé. Ma mère souffrant de problèmes digestifs nous a transmis, mon frère et moi, lors de l’accouchement au travers de sa flore vaginale son acidose. Il faut savoir que l’enfant « contaminé » en souffrira bien plus que sa mère. Ainsi nous avons débuté notre vie sans le savoir avec cet handicap. Mon frère souffrit toute sa vie de problèmes digestifs et d’un certain rachitisme. Pour ma part je ressentais le besoin de dormir beaucoup (j’ai appris depuis que c’était cela ou bien l’hyperactivité), mais aussi de constipation et d’otites chroniques (et oui, liées à l’intestin). Tout cela s’aggrava peu à peu pour nous deux. J’ai découvert que lorsque notre micro-biote était perturbé le moindre stress, antibiotiques, produits chimiques, alimentation industrielles, vaccins, ondes électromagnétiques…. allaient aggraver le phénomène. La bonne flore sera remplacé par des levures qui vont coloniser peu à peu notre intestin, provoquant des intolérances alimentaires qui vont se multiplier et aggraver notre état. J’ai eu de nombreux symptômes de plus en plus handicapants: nausées, otites, eczéma sur tout le corps, sueur abondante et douleurs nocturnes dans les jambes, démangeaisons anales, perte de la vue quelques secondes, perte de toutes motricités durant de longues minutes, vertiges, pertes de mémoire, d’initiative et de concentration, glaires dans la gorge, champignons sur la poitrine, diarrhée, sifflement dans les bronches, insomnie, brûlures très fortes dans la gorge et une fatigue chronique très handicapante, douleurs au foie…. mais pas une seule douleur au ventre! Et pourtant le responsable s’y cachait. Tout commença avec un médecin chinois (généralistes et spécialistes d’une incompétence à toutes épreuves) qui me décela une intolérance au gluten et produits laitiers, mais ne put progresser. L’arrêt de ces aliments me fit un bien fou, mais peu à peu des symptômes revinrent. Sachant que désormais le problème était dans ma nourriture et mon intestin, et que je ne devais pas compter sur notre médecine, je décida de trouver par moi-même. De toutes manières, je n’avais pas le choix. Je fit une hydrothérapie, durant 3 semaines je me suis senti en grande forme et puis rapidement je perdis tout cela. Je m’acharna à retrouver ce bien-être et en fit 3 autres et le résultat fût catastrophique. La « mode » aidant, on me parla des bienfaits des pro et prébiotiques, tout l’été dernier fût gâché par cette tentative. Je les ai pris durant deux mois et demi. Je tomba peu à peu en dépression, le grand trou noir. Alors que je n’avais jamais connu cela, je ne pouvais plu marcher et un immense mal-être m’avait envahi. Heureusement que je ne suis pas allé chez le généraliste!!! Évitant ainsi une chimie autrement plus destructrice. Je contacta le médecin chinois, qui me conseilla de regarder de plus près ma nourriture; heureusement je pensa aux probiotiques et dix jours plus tard les nuages noirs se dissipèrent. Je vous conseille les commentaires d’un spécialiste de l’intestin: le docteur Donatini qui explique cela. Lorsque cette médication arrive dans l’intestin-grêle infecté, il n’y trouve pas sa place et reste dans l’estomac. Et, sans aucune douleur celui-ci gonfle et va comprimer l’intestin et le nerf qui le relie au cerveau. Après divers autres tentatives, je me suis orienté vers un labo (Berthet) qui analysa mes selles, diagnostiqua une invasion de levures, et découvrit que mes aliments n’étaient presque pas assimilés par l’intestin, me conseilla un régime à l’encontre de tout ce que j’ai pu voir. Pas de petit déjeuner, midi et soir un de peu de protéine animale, de légumes peu cuits avec des p de t ou du riz peu cuit en quantité et des fruits peu cuit. Privilégier la qualité mais aussi les viandes et les poissons salés(lacto-fermenté), pas d’huile d’olive mais de la MG animales et boire pendant le repas autant d’eau que de nourriture. Maintenant je doute sur l’efficacité de certains régimes, nous sommes tous différent, il est préférable qu’il soit personnalisé. J’ai découvert que l’acidose détruisait tout les sels minéraux et la vitamine D, ce qui est à l’origine de beaucoup de symptômes. Il semblerait que la moitié de la population serait touché, ce qui expliquerait le manque de vit. D pour un grand nombre. Pour finir ces levures étaient passées dans ma lymphe qui ne marchait presque plu, foie et vésicule, estomac et poumon. Mon frère étant décédé d’un cancer de l’estomac qui ne survient qu’après une colonisation par les levures. 3 mois après ce régime je commence à me sentir mieux mais j’ai conscience que se sera long, vue l’ancienneté du problème, il faut tout reconstruire. Pardon j’étais long, mais si je peux aider des personnes à ne pas aller chez le médecin en allant mieux, j’en serai ravi. Et prenez-vous en charge.
      Merci à Santé Corps et Esprit.

    • Nina dit :

      Je voudrais d’abord vous remercier Santé corps et Esprit, Et, remercier FRANCIS pour son témoignage, ça me rassure je croyais que j’étais unique. Je pense qu’on n’a pas fini d’en apprendre sur les bienfaits des remèdes naturels et pour ma part, je n’ai pas fini de m’y intéresser, et qu’on ne finira jamais d’apprendre à connaitre son corps et l’écouter.
      Mon cas est un peu semblable au vôtre en quelques points, dès l’âge de vingt ans, mal de tête, vertige, sueurs abondantes, manque de sommeil, baisse de vue temporaire, glaires dans la gorge, toux dans la nuit, sifflement dans les bronches, fatigue chronique, je n’ai aussi aucune douleur dans mes intestins mais ils gonflent beaucoup et vont comprimer le gros intestin et sans constipation, on dirait qu’il n’y a plus de mécanisme,… j’ai fait beaucoup d’examens, sans résultat, de généraliste en spécialistes pendant 30 ans mais en vain. J’ai commencé à faire le lien entre l’intestin bloqué et le glaires dans la gorge. Les médecins ne comprenaient et surtout ne me croyaient pas Jusqu’au jour où ma tension artérielle est montée en flèche, j’ai décidé de laisser tomber tous les médicaments et j’ai annulé tous mes rdv chez les spécialistes qui n’arrivent même pas à mettre un nom sur mes douleurs., et commencent à me suggérer d’aller voir un psychologue. J’ai commencer à chercher des remèdes naturels par ci, par là, les recettes de grand-mère auxquelles je croyais pas.. J’ai commencé par réduire mes parts à chaque repas, je prend un fruit avant chaque repas (jamais après) je consomme beaucoup de tisanes, du poisson tous les jours, des légumes croquants, pas de riz, pas de pâte, que du pain complet et du son de blé, mais la protéine animale obligatoire 1 fois par jour en petite quantité bien sur , la vita D tous les 15 jours, Oméga 3, 6, 9, des épices : curcuma dans tous mes repas, l’ail, du gingembre, de la cannelle.. et d’autres épices. Je me porte beaucoup mieux, mon seul soucis actuel est la tension oculaire.. je n’ai pas encore trouvé de remède.

  • Norma dit :

    De même que Guillermine (n° 98) j’ai la maladie de Charcot-Marie-Toth
    J’ai découvert que la maladie fait partie de ma lignée familiale. Je me demande comment la médecine naturelle peut m’aider, sauf pour participer au bon état générale. Selon les neurologues il n’y a pas de traitement sauf la rééducation. L’apparition de la maladie a été tardive mais mon second souci est que les muscles fondent sans espoir mais je grossis là où j’aimerais aimé rester mince, mais cela n’est pas un problème pour le médecin que devant des malades en vraie souffrance grossir n’a pas grand importance. Pour le reste je supprimé le blé en raison d’ incompatibilité, le lait de vache et ses dérivés et la viande rouge. Depuis toujours j’ai eu une excellente santé, le CMT a été un coup autant physique que psychologique.

  • RUBIN CHANTAL dit :

    bravo pour tout cet investissement ; à la suite d’une erreur médicale je me suis faite aidée par une personne qui pratiquait le shiatsu et qui m’ a formé cela fait 15ans que j’aide des personnes on met en harmonie toutes les énergies de notre corps j’ai pu résoudre ainsi beaucoup de problèmes de santé non résolu par la médecine ou faire sérieusement diminué la prise de médicaments ; il me reste malgré tout cela une tumeur dans une surrénale dont j’ai beaucoup de peine a supplantés les effets pour moi même; hypertension; prise de poids malgré une diététique ; déclenchement de diabète; j’ai tout essayé en méthode naturelle et plantes je me fais traiter tous les 15j en shiatsu si vous avez une solution je suis à l’écoute

  • Isabel Delaet dit :

    Merveilleux, ces solutions vont tout à fait dans le sens qui m’intéresse.
    Je suis admirative de votre ténacité et de l’étendue de votre documentation. Surtout ne baissez pas les bras, vous nous êtes indispensable.
    Avez vous une idée pour soulager la POLYNÉVRITE, maladie orpheline dont souffre gravement ma mère et dont j’ai moi même les premiers symptômes à la suite de diverses Siguatera et d’une Chigungunia.
    J’ai vu que vous avez de milliers de courrier, aurez vous le temps de me repondre? En tous cas je vous remercie d’avance.
    Très cordialement isabel

  • Sylvie Gonce dit :

    Bonjour,

    Je suis très intéressée par cette médecine.
    Pouvoir être soigné sans risquer qu’un autre organe que celui qui est malade ne soit endommagé ou que le risque d’effets indésirables soit écarté est une bonne nouvelle ! Et combien de médicament allons-nous pouvoir laisser chez les pharmaciens et être en meilleure santé ! Voilà ce qu’on peut attendre de cette médecine ! C’est prometteur !

  • PASSICOS marie dit :

    Merciiii de ce beau partage que je ferai ciruler autour de moi,
    Je suis Kine Ostéopathe et biokinergiste et je suis bien placée pour faire le lien,je crois beaucoup aux remèdes naturels et médecines douces
    Mais toujours envie d’apprendre plus pour aider mes chers patients.
    Je vous suivrais de près pour faire suivre cette belle chaîne
    C’est dur de faire changer les habitudes de chacun mais je garde l’espoir et de m’appuyer sur vos recherches m’aidera
    Alors merci

  • René COTTYN dit :

    Bravo et merci pour toutes ces informations essentielles pour vivre mieux et plus longtemps comme pour ralentir la maladie ou tout simplement mieux vieillir. Bien sûr les laboratoires ne sont pas nos alliés dans la recherche sur les produits naturels car cela ne rapporte pas autant que les molécules chimiques. Pour ce qui est de l’état, il ne joue plus son rôle et laisse les grands groupes industriels dicter leur loi et nous abreuver de produits coûteux et souvent dangereux. Encore merci à vous et surtout…..continuez.

  • Flober dit :

    Oui, vous êtes sur la bonne voie. Tout, sauf l’anéantissement par des remèdes inappropriés.

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