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Cela peut paraître difficile à croire, mais bien choisir votre huile de cuisine est un des gestes les plus importants que vous puissiez faire pour votre santé.

Si vous faites le bon choix, vous pouvez sans effort améliorer votre tour de taille et gagner des années de vie en bonne santé.

A l’inverse, plusieurs huiles répandues ou « à la mode » augmentent drastiquement votre risque de mourir foudroyé par un infarctus.

Ce n’est donc pas le moment de vous tromper, surtout que vous en avalez probablement tous les jours, en assaisonnement ou en cuisson.

Mais comment s’y retrouver, au milieu de tant d’informations contradictoires… et tant d’huiles différentes ?

Entre les huiles classiques – huile de tournesol, d’arachide, d’olive, de soja, de colza – les plus spécifiques – huile de lin, de pépin de raisin, de noix – et les franchement confidentielles – huile de perilla, de cameline, de son de riz ou de pépin de courge, il y a de quoi s’y perdre.

Heureusement, comme vous allez le voir, faire le bon choix est simple, moins coûteux qu’on ne le croit, et franchement délicieux.

Mais pour cela, il faut se défaire des 6 erreurs et contre-vérités qui empoisonnent nos cerveaux depuis les années 1970 :

Erreur n°1 : Se priver volontairement d’huile parce que ce serait « trop gras »

Vous auriez dû voir le visage abasourdi d’une bonne amie à moi lorsque, attablé à déjeuner, j’ai arrosé généreusement mes courgettes d’huile de colza.

« Comment fais-tu pour rester mince avec une telle habitude ?? »

Pour elle, les huiles végétales étaient très grasses, très caloriques. Et c’est incontestable :

– Les huiles sont composées à 99 % de graisses (lipides).

– Et les graisses sont très caloriques – pour être précis, un gramme de lipide est 2,25 fois plus calorique qu’un gramme de glucide (sucre) ou de protéine.

Mais cela ne veut pas dire qu’il faut éviter les graisses pour maigrir. C’est même une des erreurs nutritionnelles les plus malheureuses de ces 30 dernières années.

Car c’est le contraire qui est vrai : les graisses saines (huiles, avocats, noix, poissons gras) sont des atouts minceur car elles permettent d’arriver à satiété plus rapidement.

Vous serez « calé » plus facilement par des aliments riches en bonnes graisses que par des glucides comme le pain, les pâtes ou les pommes de terre.

Ainsi, les bonnes graisses vous permettent de manger moins de calories au total, sans que vous n’ayez besoin de vous restreindre.

On voit l’absurdité de la diabolisation du « gras » qui a eu lieu pendant des décennies. Heureusement, une prise de conscience est en train de se produire.

En 2013, la Suède a ouvert le bal. Après avoir passé en revu plus de 16 000 études scientifiques, son comité d’experts a reconnu que le meilleur régime contre l’obésité et le diabète était… un régime faible en glucides et non un régime faible en graisses. [1]

Voilà pourquoi il ne faut surtout pas lésiner sur les huiles de qualité, même si elles sont « grasses ».

Ne pas lésiner, cela signifie prendre chaque jour :

– Pour un homme : environ 4 cuillères à soupe d’huile

– Pour une femme : environ 3 cuillères à soupe d’huile

C’est la dose qui vous permet d’avoir une alimentation bien proportionnée, composé d’un peu plus de 15 % de matières grasses ajoutées. [2]

Mais attention à ne pas choisir n’importe quelle huile :

Erreur n°2 : Consommer les huiles végétales qui ruinent votre cœur – tournesol, maïs, pépin de raisin

Ces huiles sont à fuir à tout prix.

Aucun peuple sur terre n’en a fait une consommation traditionnelle. Il faut dire que leur méthode de production industrielle est tout sauf naturelle : ces huiles sont généralement extraites à haute température ou à l’aide de solvants pétro-chimiques.

Plus grave : elles regorgent d’omégas-6.

Les omégas-6 font partie, comme les omégas-3, des acides gras dits « essentiels », que notre organisme ne peut produire seul.

Ils ne sont pas mauvais en soi. Mais le problème est que notre alimentation moderne comporte beaucoup trop d’omégas-6 et insuffisamment d’omégas-3.

On estime que l’idéal santé se situe autour d’un ratio de 3 omégas-6 pour 1 oméga-3.

Mais depuis un demi-siècle, nous consommons en moyenne plus de 15 omégas-6 pour 1 seul oméga-3, soit un ratio de 15 pour 1 !

Ce déséquilibre a des conséquences désastreuses pour notre santé [3] :

– Il augmente drastiquement le risque d’infarctus : plusieurs études ont montré que la consommation d’huiles végétales riches en omégas-6 favorise les maladies cardiaques ; [4]

– Il accélère le vieillissement et favorise les maladies inflammatoires chroniques (arthrose, diabète, etc.). La raison est que l’excès d’omégas-6 dégrade les cellules de notre corps en les soumettant à un « stress oxydatif » qui les conduit à rouiller progressivement (comme un morceau de métal abandonné à l’air libre) ;

– Et comme si cela ne suffisait pas, l’excès d’omégas-6 est soupçonné de provoquer le cancer, et en particulier le cancer du sein. [5]

Voilà pourquoi vous devez veiller à respecter un bon l’équilibre entre omégas-6 et omégas-3 dans votre alimentation.

Or l’huile de tournesol a un ratio catastrophique de 71 pour 1. L’huile de maïs de 57 pour 1. L’huile de pépin de raisin, très à la mode, est l’une des pires, avec un ratio de 72 pour 1 !

Les consommer régulièrement, c’est se donner toutes les chances de se rendre malade.

Erreur n°3 : Se passer des fabuleux anti-oxydants de l’huile d’olive

L’huile d’olive est plus équilibrée, avec un ratio omégas-6 / oméga-3 de 11 pour 1.

Ce n’est pas encore l’idéal – d’autres huiles font beaucoup mieux, comme nous le verrons.

Mais il serait criminel de se priver totalement de cette huile traditionnelle, utilisée abondamment dans l’Egypte ancienne, l’antiquité romaine et bien sûr tout autour de la Méditerranée.

Car l’huile d’olive a d’impressionnants atouts santé dans sa manche.

Une étude récente réalisée sur 4 152 femmes a montré qu’un régime méditerranéen riche en huile d’olive extra-vierge diminue nettement le risque de cancer du sein par rapport à un régime pauvre en graisses. [6]

D’autres études ont montré que l’huile d’olive limite l’élévation du taux de glucose après le repas , et réduit le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) de 26 % . [7] [8]

Son secret ? Elle est particulièrement riche en polyphénols, ces substances bénéfiques que l’on trouve également dans les baies, le thé vert ou le vin rouge (tanin).

Or d’innombrables études ont montré que les polyphénols avaient des effets anti-oxydants, anti-inflammatoires et anti-cancer.

Voilà pourquoi il serait regrettable de se passer de l’huile d’olive.

Simplement, pour respecter un bon ratio oméga-6/oméga-3, l’idéal est de la mélanger avec une autre huile riche en omégas-3.

Comme la superbe huile de colza.

Erreur n°4 (la plus grave) : Se priver des incroyables omégas-3 de l’huile de colza

L’huile de colza est une huile gravement sous-utilisée en Europe.

C’est pourtant une huile traditionnelle, consommée depuis des centaines d’année en Asie. Elle fait partie du régime d’Okinawa, l’île japonaise où l’on trouve le plus grand nombre de centenaires au monde.

En France, la popularité de l’huile de colza a été tristement abîmée, au début des années 1970, lorsqu’une étude isolée (jamais confirmée depuis, bien au contraire) a rapporté des effets négatifs sur les rats.

Ironie du sort : c’est l’huile de tournesol qui est sortie gagnante de ce duel. Avec la publicité massive de l’industriel Unilever (qui fabrique également du liquide-vaisselle, de la lessive etc.), elle est même devenue l’huile la plus consommée par les Français… malgré ses effets dévastateurs pour la santé !

L’huile de colza, au contraire, a d’incroyables bienfaits pour le cœur.

La preuve la plus spectaculaire est venue d’une étude conduite par le docteur Michel de Lorgeril et publiée dans la plus prestigieuse revue médicale existante, The Lancet.

Les chercheurs ont recruté plus de 600 patients ayant déjà eu un accident cardiaque (infarctus). La moitié d’entre eux devait suivre les conseils habituellement donnés par les cardiologues à leurs patients (arrêt du tabac, exercice physique, etc…). L’autre devait adopter un régime « méditerranéen », enrichi en huile de colza.

En mars 1993, les premiers résultats sont tombés. Stupéfiants : on ne comptait pas moins de 20 décès dans le groupe « cardiologue », contre 8 seulement dans le régime « colza » ! [9]

Au total, les chercheurs estiment aujourd’hui que l’huile de colza réduit de 62 % le nombre d’accidents cardiaques et de 50 % le nombre d’infarctus du myocarde. Ce sont des résultats à peine croyables, 10 fois supérieurs au meilleur des médicaments.

Ils s’expliquent par la richesse de l’huile de colza en omégas-3.

Notez que l’huile de lin et, dans une moindre mesure, l’huile de noix et de soja comportent aussi beaucoup d’omégas-3.

Mais ces huiles sont moins bien équilibrées que l’huile de colza, qui a un ratio omégas-6 / omégas-3 parfait de 2 pour 1.

Erreur n°5 : Cuire les huiles de qualité à haute température

Toutes les huiles ne sont pas égales devant la cuisson.

Pour l’huile de lin, c’est simple : il ne faut jamais la cuire !

L’huile de colza est dans une situation intermédiaire. Contrairement à une idée reçue, elle peut être utilisée en cuisson, à température moyenne. Elle est stable au moins jusqu’à 160° (feu 6 sur une échelle de 1 à 9) mais déconseillée au-delà.

L’huile d’olive supporte mieux la chaleur. Elle est parfaitement stable jusqu’à 180 degrés (feu chaud, 7/9) mais commence à perdre ses propriétés à partir de 190 degrés. [10]

A plus haute température, c’est l’huile de coco qu’il faut privilégier : elle est quasiment inoxydable !

C’est une huile étonnante dont nous reparlerons. Utilisée traditionnellement en médecine ayurvédique, elle est de loin la meilleure huile pour la cuisson à haute température et contient des substances très prometteuses pour les malades d’Alzheimer.

Mais n’oubliez pas que les cuissons douces sont les meilleures pour la santé, l’idéal étant même celles à basses température (moins de 100°), par exemple à la vapeur ou à l’étouffée.

Erreur n°6 : Choisir des huiles raffinées et mal les conserver

En supermarché ou en boutique diététique, votre réflexe doit être simple : privilégiez les huiles vierges contre les huiles raffinées.

Les huiles raffinées sont obtenues par un procédé industriel qui supprime une partie des bons antioxydants (polyphénols, vitamine E), dégrade les omégas-3 et contribue à la formation de nouvelles molécules néfastes pour la santé.

Choisissez donc toujours des huiles extra vierges.

Elles sont fabriquées avec les procédés les plus naturels. Qui conservent toutes leurs propriétés santé… et leur saveur unique.

Certes, elles sont un peu plus chères, mais c’est un investissement de longue durée à mon avis indispensable – contracter une maladie du cœur est très coûteux…

Mais attention : parce qu’elles sont plus riches en vitamines et omégas-3, les huiles végétales non raffinées sont aussi plus fragiles.

Mises au contact de la chaleur, de l’air et de la lumière, elles ont tendance à s’oxyder, exactement comme une pomme croquée brunit à l’exposition de l’air.

C’est la raison pour laquelle il faut toujours acheter votre huile dans des bocaux opaques, et non transparents. Puis les conserver dans un placard, à l’abri de la lumière et à température ambiante (si possible ne dépassant pas 20°).

L’huile de colza étant plus fragile que l’huile d’olive, il vaut mieux la conserver au réfrigérateur après ouverture et la consommer dans les 3 mois qui suivent.

Notez que l’huile de lin est encore plus délicate et devient même toxique une fois oxydée. Elle doit donc impérativement être consommée dans les 3 semaines suivant l’ouverture (mais rassurez-vous, si elle rancit, vous le sentirez immédiatement au goût).

Mon utilisation personnelle des huiles de cuisine

Je raffole de l’huile de colza et de son petit goût de noisette.

J’en verse toujours sur mes légumes vapeur (brocolis, courgettes, fenouil, etc.) : non seulement cela leur donne un goût prodigieux, mais cela me permet de mieux absorber leurs vitamines « liposolubles » (= solubles dans la graisse).

Dans mes salades, je mélange généralement l’huile d’olive et de colza, moitié-moitié. J’obtiens ainsi une répartition quasi-idéale des acides gras essentiels (omégas 3, 6 et 9). Et cela me permet d’associer deux formes différentes de vitamine E, celle du colza et celle de l’olive.

Voilà comment j’atteins mes 4 cuillères à soupe d’huile par jour (enfin, je crois, car je ne calcule pas au millimètre).

Je n’utilise les autres huiles qu’occasionnellement. L’huile de coco pour la cuisson à haute température. Et, de temps en temps, pour diversifier l’assaisonnement : huile de lin, de noix, de noisette ou de macadamia. Chères, et pas idéalement équilibrées, ce sont des « huiles de fête » (les enfants adorent varier les plaisirs).

Quant aux autres huiles dont je n’ai pas parlé, comme l’huile de perilla, de chanvre ou de cameline, elles peuvent avoir des propriétés intéressantes mais ne valent à mon avis pas leur coût très élevé.

Privilégiez la simplicité, c’est ce qu’il y a de plus durable !

PS : n’hésitez pas à transférer ce message autour de vous : ces erreurs sont si répandues !

Et si vous en voyez d’autres, ou si vous souhaitez apporter votre commentaire ou des précisions à cette lettre, rendez-vous en dessous de cet article pour les partager !

Sources :

[1] Sweden Becomes First Western Nation to Reject Low-fat Diet Dogma in Favor of Low-carb High-fat Nutrition – Brian Shilhavy Health Impact News Editor

[2] Une personne qui dépense 2 250 calories par jour a un besoin en graisses d’environ 740 calories (un tiers). Parmi ces graisses, la moitié (370 calories) doivent provenir des matières grasses ajoutées. Or quatre cuillères à soupe d’huile d’olive représentent 40 grammes de graisse, soit 360 calories).

[3] The importance of the ratio of omega-6/omega-3 essential fatty acids, A.P Simopoulos, Science Direct

[4] Corn Oil in Treatment of Ischaemic Heart Disease, G. A. Rose, W. B. Thomson, and R. T. Williams Br Med J. 1965 Jun 12,

Effect of the Anti-Coronary Club Program on Coronary Heart Disease Risk-Factor Status, George Christakis et al. Jama,

Low Fat, Low Cholesterol Diet in Secondary Prevention of Coronary Heart Disease, J. M. Woodhill et al. Advances in Experimental Medicine and Biology).

[5] Helping women to good health: breast cancer, omega-3/omega-6 lipids, and related lifestyle factors, Michel de Lorgeril and Patricia Salen, BMC Medicine

[6] Mediterranean Diet and Invasive Breast Cancer Risk Among Women at High Cardiovascular Risk in the PREDIMED Trial, A Randomized Clinical Trial, Estefanía Toledo, MD, MPH, PhD, original Investigation, nov 2015

[7] Extra virgin olive oil use is associated with improved post-prandial blood glucose and LDL cholesterol in healthy subjects  Violi F, Loffredo L, Pignatelli P, Angelico F, Bartimoccia S, Nocella C, Cangemi R, Petruccioli A, Monticolo R, Pastori D, Carnevale R.. Nutr Diabetes. 2015 Jul 20;5:e172. doi: 10.1038/nutd.2015.23.

[8] Olive oil consumption and risk of CHD and/or stroke: a meta-analysis of case-control, cohort and intervention studies, Martínez-González MA1, Dominguez LJ2, Delgado-Rodríguez M3,. Br J Nutr. 2014 Jul;112(2):248-59. doi: 10.1017/S0007114514000713. Epub 2014 Apr 28

[9] Mediterranean alpha-linolenic acid-rich diet in secondary prevention of coronary heart disease , de Lorgeril M, Renaud S, Mamelle N, Salen P, Martin JL, Monjaud I, Guidollet J, Touboul P, Delaye J.. Lancet. 1994 Jun 11;343(8911):1454-9. Erratum in: Lancet 1995 Mar 18;345(8951):738.

[10] Effect of cooking on olive oil quality attributes, Santos C, Cruz R, Cunha S, Casal S. Food Research International. 2013.

633 Comments

  • Marie Odile Debieuvre dit :

    Que pensez vous du texte qui suit ? Partout je vois des informations qui nous disent que l’huile de canola est pur poison, qu’il faut l’éviter à tout prix. L’huile de canola n’est elle pas issue de la modification génétique du colza ?

    « Pourquoi ne pas consommer: L’huile de canola ou de colza
    En dépit de gagner un bon nom avec d’autres huiles, l’huile de canola ou colza ne devrait même pas être vendu. Toutes les huiles proviennent de plantes telles que le soja, l’arachide, le maïs, le tournesol, etc. L’huile de canola ne provient pas d’une plante, il est plutôt un acronyme canola – Canadian Oil peu acides. Il vient d’une invention canadienne qui a modifié génétiquement une plante appelée Colza, un plan de la famille des crucifères – Brassica campestris appartenant à la famille de la moutarde. (Le colza a également été utilisé lors de la 1ère guerre mondiale pour faire un gaz de moutarde gaz mortel)
    Bien que cette huile est considérée comme une huile saine, ce n’est pas parce qu’elle est très toxique et couramment utilisée dans la production de bougies, savons, peintures, lubrifiants et carburants, elle est considérée également toxique pour les êtres vivants: dans les jardins c’est un répulsif pour les insectes nuisibles .
    En essayant de créer une bonne huile mono-insaturés, riche en acide oléique et oméga 3 tels que l’huile d’olive (dont la production à grande échelle serait coûteuse), on a créé l’huile de colza, mais cette huile possède de l’acide érucique (acide très toxique et associés à des problèmes cardiaques). Ils ont donc décidé de faire le colza génétiquement modifié et l’ont appelé canola. Même si le niveau de l’acide érucique est inférieur, il reste encore suffisamment toxique. L’huile de canola commence à être associée à des problèmes de cancers, le cancer du poumon et un retard de croissance. Cependant, il y en a encore qui soutiennent l’huile de canola parce que le gouvernement du Canada et aux États-Unis disent que l’acide érucique est considéré comme à des taux sains. Personnellement, je préfère ne pas utiliser ou consommer parce que les taux considérés sains servent à peine pour que le produit soit commercialisé. »

  • Marcelle Boulanger dit :

    Merci pour ces informations. Hâte à la prochaine lettre et celle concernant la dépression. Bonne journée !

  • bernard dit :

    J’ai la chance d’habiter au coeur de la forêt d’arganiers à Essaouira et j’utilise régulièrement l’huile d’argan car ce sont mes voisines qui la produisent à un prix qui n’a rien à voir avec les tarifs du commerce, surtout en France. Dommage en effet que son prix ne permette pas un usage plus courant car c’est vraiment une huile extraordiaire dont on ne connait même pas encore tous les secrets…

    Merci pour vos informations très pertinentes.

  • BEMMER dit :

    Bonjour,
    et merci pour vos bons conseils, et que pensez vous de la délicieuse huile d’argan au bon goût de noisette, qui se serait excellent pour les diabétiques ?

  • Andree Pelletier dit :

    Merci pour ces conseil et l’information!

  • Joigny.yvette dit :

    Super instructif
    Merci

  • tamam zaher dit :

    Grand merci pour vos informations précieuses

  • Dhuygelaere dit :

    Merci pour cet article très intéressant sur les huiles.
    Pour ma part, je consomme quotidiennement 2c.àS d’huile de colza bio au déjeuner ajoutées à 2c.s de graines de lin et sésame moulues et de différents fruits coupés en petits morceaux. Un délice!
    En assaisonnement, j’utilise l’huile d’olive ou un mélange de 4 huiles ( colza, sésame, olive, pépins de courge).
    Pour la cuisson: huile de noix de coco bio.
    Merci pour votre réponse.
    Annie

  • Annie Flamme dit :

    Bonjour,

    J’ai beaucoup apprécié votre article concernant les huiles.
    Toutefois, vous n’avez pas parlé de l’huile d’arachide. Qu’en pensez-vous ? Est-elle bonne pour la santé ?
    Personnellement, je consomme en général de l’huile d’olive mais j’ai aussi de l’huile d’arachide….
    Merci pour votre commentaire.
    Cordialement,
    Annie

  • Françoise Studer dit :

    Bonjour!

    Pouvez m’en dire plus sur l’huile d’arachides. Merci de vos infos sur le thème des huiles.
    Avec mes remerciements et cordiales salutations.

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