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C’est une bombe.

Et celle qui l’a lancée, une héroïne des temps modernes.

Je veux parler du livre Huiles essentielles et cancer. [1]

À peine le livre refermé, j’ai immédiatement contacté son auteur, le Dr Anne-Marie Giraud.

Pour lui exprimer mon admiration, et la soutenir dans son combat pour les malades du cancer… et pour la vérité.

Car j’en suis convaincu aujourd’hui : les huiles essentielles pourraient être une des pistes les plus prometteuses depuis 40 ans pour combattre le cancer.

Depuis plusieurs années, je lis avec passion les études scientifiques qui démontrent que certaines huiles essentielles sont capables de tuer les cellules cancéreuses (cytotoxique) et de les empêcher de progresser (antiprolifératif).

Le problème, c’est que ce qui est prometteur dans une éprouvette n’est pas toujours efficace dans la « vraie vie », loin de là.

Et c’est justement pour ça que l’expérience personnelle du Dr Giraud est riche d’enseignements, elle qui a suivi 5 000 malades du cancer depuis près de 20 ans !

Accompagnement ou aide à la guérison ?

Attention, le Dr Giraud ne vous dira jamais qu’elle contribue à « soigner » le cancer, et encore moins à le guérir.

Ce que fait le Dr Giraud, c’est accompagner les patients cancéreux, pour améliorer leur qualité de vie et limiter les lourds effets secondaires des traitements officiels.

Tant mieux, si, au passage, cela améliore leurs chances de survie, mais il est interdit de le dire.

Dans notre système de santé, la « guérison » appartient uniquement aux oncologues et à leurs traitements : chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie, etc.

Entre vous et moi, je n’ai jamais totalement compris la barrière rigide placée entre « accompagner » et « aider à guérir ».

Si le patient cancéreux dort mieux, souffre moins, est moins fatigué, a un meilleur moral et un meilleur système immunitaire, ne pensez-vous pas que cela devrait améliorer ses chances de survie ?

Ce que craignent probablement nos autorités, c’est que les malades se jettent dans les bras de thérapies alternatives douteuses et renoncent totalement à leurs traitements médicaux.

Si c’est cela, je peux les comprendre : dans la plupart des cas, renoncer aux traitements conventionnels est extrêmement dangereux, car aucune alternative naturelle crédible n’a (encore) été validée scientifiquement.

Mais cela n’empêche pas d’utiliser les huiles essentielles en complément, bien au contraire !

Qu’elles aident à guérir ou non, une chose est sûre : leurs effets pour améliorer la qualité de vie des malades sont tout simplement spectaculaires.

Un succès évident sur les brûlures en cas de radiothérapie

Prenez la radiothérapie (les rayons), qui peuvent causer de graves brûlures.

Eh bien la capacité de l’huile essentielle de Niaouli à protéger votre peau est de plus en plus reconnue.

Toujours en avance sur son temps, le Professeur Joyeux, cancérologue, l’a recommandé publiquement, dès 2011 :

« L’huile essentielle de Niaouli et bien d’autres huiles végétales prescrites par mon excellente collègue le Dr Anne-Marie Giraud à Aix-en-Provence est d’une extrême efficacité pendant la radiothérapie. » [2]

De fait, les patients du Dr Giraud n’ont que des témoignages positifs à partager. C’est par exemple le cas d’Agnès, victime d’un cancer du sein à 33 ans :

« J’ai utilisé une préparation d’huiles essentielles pour pallier les effets cuisants des rayons.

Comme cela n’était pas toléré par le centre qui me faisait la radiothérapie, j’appliquais la préparation aux huiles essentielles juste après les rayons, dans les toilettes de l’hôpital.

Je n’ai présenté aucune brûlure au niveau de la zone d’irradiation, même pas la moindre rougeur. La peau est toujours restée très souple.

Aucune trace, aucune marque ne laisse supposer que j’ai eu droit à une série de trente séances de radiothérapie ! Chaque fois que je vais faire ma mammographie, j’ai droit à la même exclamation : « on ne pourrait jamais croire que vous avez eu des rayons ! ».

Quinze ans après, je ne me sépare plus de ma trousse d’huiles essentielles. J’ai appris à faire confiance à ces grandes dames que la nature nous offre. »

Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres : les huiles essentielles ont bien d’autres bienfaits en cas de cancer !

Efficace contre les nausées, les infections, et en cas d’opération

Plusieurs études scientifiques récentes ont donné raison aux grands pionniers de l’aromathérapie : les huiles essentielles sont redoutablement efficaces contre les nausées, les infections de la bouche, et pour aider à la cicatrisation des plaies. [3]

Or ce sont des problèmes de santé qui frappent souvent les malades du cancer, à cause des traitements.

Il n’est donc pas surprenant que le Dr Giraud observe d’excellents résultats sur ses patients :

  • La chimiothérapie est connue pour causer nausées et vomissements – mais ces désagréments sont très bien combattus par l’huile essentielle de Citron;
  • Lorsque vous passez sur le billard, vous risquez d’avoir des hématomes… et la cicatrisation peut-être plus ou moins longue. Dans ces deux cas, l’huile essentielle d’Hélichryse italienne fait des merveilles pour les malades ;
  • Autre effet fréquent des médicaments contre le cancer : les inflammations de la bouche, avec son cortège d’effets désagréables (aphtes, mycoses, etc.). Pour limiter les risques, un simple mélange de trois huiles essentielles (Lemongrass, Tea tree et Niaouli) a de très bons résultats.

Voilà pour la protection de votre corps. Mais la maladie et les traitements malmènent aussi votre esprit.

Elles regonflent votre énergie et votre moral !

Dès l’annonce de la maladie, vous êtes plongé dans la peur et l’angoisse.

Puis, la lourdeur des traitements provoque souvent de la fatigue, de la dépression et des troubles du sommeil.

Pour le Dr Giraud, c’est le moment ou jamais de profiter du soutien psycho-émotionnel des huiles essentielles.

Et en effet, là encore, les études scientifiques sont formelles :

  • L’huile essentielle de lavande vraie supprime l’anxiété et vous rend serein. Cela a été testé avec succès… dans la salle d’attente d’un dentiste, où l’inquiétude est à son comble ! [4]
  • Et elle ne fait pas que réduire l’anxiété : en nettoyant vos angoisses, elle améliore nettement la qualité du sommeil [5] ;
  • L’huile essentielle de menthe poivrée, elle, n’a plus à faire ses preuves pour réduire la douleur : elle a notamment prouvé son efficacité sur les migraines [6], les maux de tête[7] et le côlon irritable [8].

Pour le Dr Giraud, il ne fait aucun doute que les huiles essentielles aident les patients à conserver leur « énergie vitale » dans l’épreuve :

« Combien de personnes m’ont témoigné qu’après une semaine ou seulement quelques jours de prise d’huiles essentielles, elles retrouvaient une vitalité même au décours d’une chimiothérapie. »

C’est déjà un résultat inespéré. Mais le Dr Giraud va encore plus loin, en vantant l’effet des huiles essentielles sur le système immunitaire.

Comment la chimio affaiblit votre système immunitaire 

Car le système immunitaire est un allié essentiel pour combattre le cancer.

Nous avons tous en permanence des cellules cancéreuses ou pré-cancéreuses, qui sont détruites par les « patrouilles » de notre corps.

Il y a par exemple les « lymphocytes T8 » et les cellules NK (Naturals Killers), qui sont des globules blancs, bien connus pour être capables de tuer les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la chimiothérapie fait généralement baisser le nombre de nos globules blancs.

Car pour le moment, ces traitements ne permettent pas de distinguer une cellule « saine » d’une cellule « cancéreuse ». Tout ce que la chimiothérapie sait faire, c’est tuer en priorité les cellules à renouvellement rapide.

C’est le cas des cellules cancéreuses, qui sont donc détruites par la chimio. Mais c’est le cas aussi de nos globules blancs !

Résultat : non seulement les globules blancs ne peuvent plus combattre aussi efficacement les cellules cancéreuses, mais en plus, la chute du système immunitaire rend l’organisme plus vulnérable aux microbes : voilà pourquoi les patients ont très souvent des infections.

Autant dire qu’il est capital de soutenir votre système immunitaire en cas de cancer, et a fortiori en cas de chimiothérapie… et c’est ce que semblent faire très bien les huiles essentielles.

Comment les huiles essentielles vous protègent

D’après le Dr Giraud, l’Huile essentielle de Ravintsara a d’excellents résultats pour diminuer la toxicité de la chimiothérapie sur le système immunitaire.

Ses confrères cancérologues sont souvent surpris de constater que les globules blancs de ses patients se maintiennent à un bon niveau, malgré la lourdeur des traitements.

Écoutez plutôt le témoignage de Bénédicte, qui a bénéficié de l’accompagnement du Dr Giraud :

« En avril 2012, à l’âge de 53 ans, on me découvre une tumeur cancéreuse du sein. Mastectomie (ablation du sein), puis chimiothérapie. J’ai souffert pendant les trois semaines suivantes d’une immense fatigue, avec un épisode de fièvre, des nausées et une chute globale des globules blancs encore persistante juste avant la deuxième cure.

Compte tenu de mon état général, on a failli reporter la seconde cure et j’étais particulièrement inquiète à l’idée de revivre et d’amplifier cet état déjà dégradé. Toutefois, à partir de la seconde cure, un traitement à base d’huiles essentielles m’a été prescrit. J’ai alors supporté les 3 cures restantes avec une fatigue beaucoup moins prononcée et une récupération vraiment spectaculaire. Habitant près de Grenoble, j’ai pu reprendre sans peine, entre chaque cure, mon activité favorite, la randonnée en montagne, avec des dénivelés de 800 m au moins.

Mes résultats sanguins sont restés excellents et je me souviendrais longtemps de l’étonnement que j’ai vu sur le visage de la cancérologue devant mes résultats d’analyses !

Aujourd’hui en 2016, je continue à prendre ces huiles essentielles à doses plus faibles. Elles m’ont apporté une aide immense, elles continuent à me soutenir. »

Francis aussi a tenu à témoigner à quel point les huiles essentielles ont pu l’aider :

« J’ai eu, à l’âge de soixante-deux ans, un cancer colorectal en 2012, avec une chirurgie et une chimiothérapie assez lourdes. Le traitement aux huiles essentielles m’a permis de suivre ma chimio en ayant des résultats sanguins excellents (vu le contexte) et des effets secondaires très supportables.

Tant les infirmières du centre de chimiothérapie ainsi que les médecins qui me suivent ont été étonnés par mon état général peu dégradé au regard de la chirurgie lourde et du traitement de chimiothérapie.

Aujourd’hui en juin 2016 je vais mieux et je continue les huiles essentielles qui contribuent à me garder en forme. »

Bien entendu, ce ne sont « que » des témoignages, et il faudrait d’urgence lancer des études de grande ampleur pour confirmer tout cela.

Mais mon intuition me dit qu’il y a là une source d’espoir gigantesque.

Pas seulement pour mieux supporter les traitements médicaux. Mais aussi, j’ose le mot, pour aider à guérir du cancer.

Et si les huiles essentielles aidaient à guérir ?

Cela n’aurait rien de « mystérieux ».

Si les huiles essentielles stimulent votre système immunitaire, il serait logique qu’elles l’aident à combattre et détruire les cellules cancéreuses. Mais elles pourraient aussi agir par d’autres voies qui restent à découvrir.

Une chose est sûre : les patients du Dr Giraud ont une survie nettement supérieure à la moyenne.

Je précise que tous ses patients ont reçu un traitement combiné, c’est-à-dire associant le traitement conventionnel du cancer à un traitement d’huiles essentielles.

Je précise aussi que les statistiques que je vais vous présenter ne sont pas une preuve scientifique.

En effet comme le précise bien le Dr Giraud dans son livre : « les résultats présentés ne démontrent en aucun cas que le traitement par les huiles essentielles est responsable des éventuelles différences de durée de survie par rapport aux données de la littérature médicale. En effet, les différences pourraient être liées au mode de vie des patients, à leur environnement,…à leur combativité contre la maladie…»

Mais même en gardant cela en tête, les chiffres que le Dr Giraud présente dans son livre restent impressionnants.

Dans le cas du cancer du sein de stade IV, elle rapporte que la survie moyenne de ses 302 patientes était de 46,6 %, 5 ans après le diagnostic.

C’est assez remarquable, quand on sait que la moyenne « générale » de survie n’est que de 24,5 %.

Mêmes résultats étonnants pour d’autres cancers, comme celui du côlon, stade IV : elle rapporte que la survie moyenne de ses 141 patients est de 42 % de survie à 5 ans contre 11 % en moyenne.

Encore une fois, ce ne sont pas des preuves scientifiques.

Mais cela mériterait de lancer dès que possible des essais cliniques comparant les groupes de patients traités uniquement par les traitements conventionnels et ceux traités par les traitements conventionnels associés aux traitements d’huiles essentielles.

Et en attendant, pourquoi ne pas en faire profiter les malades ?

Car l’immense avantage des huiles essentielles est qu’elles ne réduisent pas l’efficacité des traitements classiques.

Le Dr Giraud mentionne une étude en recherche fondamentale qui montre que les huiles essentielles augmenteraient l’efficacité de la chimiothérapie, tout en diminuant sa toxicité sur les cellules saines.

Mais attention. Cela va sans dire, mais je préfère le préciser : il est très important d’être accompagné par un médecin ou thérapeute confirmé.

Je ne parle pas ici d’un accompagnement via un programme Internet, aussi remarquable soit-il.

Contre cette maladie, je vous recommande absolument un accompagnement en face à face chez un spécialiste de l’aromathérapie en plus de votre traitement.

Sources :

[1] Anne-Marie Giraud, Huiles essentielles et cancer, Editions Quintessence, 2016.

[2] Pr Henri Joyeux, Stress et cancer du sein, Editions du Rocher, 2011.

[3] Sur les nausées se reporter à Aromatherapy as treatment for postoperative nausea: a randomized trial. Hunt R. et all. Anesth Analg 2013 Sep.

[4] Dental patient anxiety: Possible deal with Lavender fragrance. Zabirunnisa M. et all. J Res Pharm Pract 2014 Jul

[5] An orally administred lavandula oil preparation (Silexan) for anxiety disorder and related conditions: an evidence based review. Kasper S. Int J Psychiatry Pract 2013 Nov

[6] Essential plant oils and headache mechanisms. Göbel H. et all. Phytomedicine 1995 Oct.

[7][Effectiveness of Oleum menthae piperitae and paracetamol in therapy of headache of tension type] Göbel H. et all Nervenarzt 1996 Aug

[8] Enteric-coated, pH-dependent peppermint oil capsules for the treatment of irritable bowel syndrome in children. Kline RM et all. J Pediatr 2001 Jan

93 commentaires

  • Petra Wardenaar dit :

    Bonjour,

    J’ai eu un cancer du seinen 2014. Mon professeur oncologue m’a fait un biopsie, et 2 mois plus tard j’ai été opérée. J’ai été choquée que personne m’a conseillé de voir un psy pour commencer, et encore plus de la nourriture qu’on vous donne; biscotte, confiture, plats surgelés. J’avais l’impression qu’il se prenait pour dieu: il allait me guérir sans le moindre effort de ma part. Tout en me nourrissant avec les copains du tumeurs.
    J’ai trouvé un oncologue mis dehors par l’ordre des médecins qui m’a suivi par prise de sang très complet et soigné avec la phytothérapie. Au contrôle à l’oncopole on m’a annoncé qu’il n’avait pas tout retiré. On voulait encore me retirer un petit bout de mon sain.
    J’ai dit que je ne voulais pas, je leur ai demandé de faire un mastectomie, je ne voulais pas faire les traitements lourds, et esthétiquement mon sein était foutu de toute façon. Je m’étais fait la violence de développé le tumeur, je ne voulais pas encore plus de violence.
    À l’oncopole je n’ai pas eu le droit de prendre la phytothérapie, il y a carrément eu un docteur qui m’a dit que la phytothérapie est dangereux pour le cancer.
    Je me suis sentie harcelée, ridiculisée et on a tout fait pour me faire croire que j’étais irresponsable.
    J’ai rencontré plusieurs professionnels de l’oncologie qui, eux-mêmes atteint d’un cancer, ont fait le même choix que moi.
    Le sécu m’aurait payé des milliers pour me ‘bombarder’, mais les centaines que j’ai eu besoin pour me soigner, je les ai tout sorti de ma poche.
    Pour moi c’est un maffia. Très fort pour les opérations, mais nulle pour les soins. Si j’avais eu de l’argent je serai parti en Inde ou en Chine pour me faire soigner ou on n’essaye pas de ‘tuer’ la maladie et un paquet d’autres choses, mais de trouver l’origine et de bouster l’organisme de se défendre.
    Et ma fois, si je dois mourir, je vais mourir…avec ou sans traitements lourds…le nombre de gens qui meurent après les traitements dévaste est assez élevé. Je préfère la qualité que la quantité.
    Grâce aux gens comme vous je n’ai pas été complètement délaissée, je vous en remercie!

    • regnier eliane dit :

      bonjour,
      je suis dans le même cas que vous, mais j’ai eu la chance de rencontrer ANNE MARIE GIRAUD et cela m’a beaucoup aidé, j’ai été opérée une première fois et trois semaines après on me disait qu’il restait des éléments et qu’il fallait me faire une mastectomie.. je l’ai fait ma chirurgienne en a profité pour me faire une restauration à l’aide de mon grand dorsal, ce qui m’a permis d’être esthétiquement bien avec moi même.
      je ne voulais pas de chimio, pas de radiothérapie, les opérations étaient déjà bien suffisantes.
      j’ai continué à prendre des huiles essentielles et des produits naturels. j’ai eu des chirurgiennes SUPER à l’hôpital NORD de MARSEILLE.
      j’ai 72 ans pour le moment je peux dire que je vais bien
      je vous souhaite une excellent santé.
      cordialement
      Eliane

  • Blanco dit :

    Mon mari qui a le cancer du péritoine a été suivi par le Dr AM Giraud et je confirme que cela l a beaucoup aidé pour supporter sa chimiothérapie.

  • Moisan Maria-Luisa dit :

    Merci Xavier
    Je viens de lire votre article et je m’apprête à le diffuser auprès des femmes qui ont, ou ont eu 1 cancer du sein. Nous faisons partie de l’association Solution Riposte Bretagne, combattre le cancer par l’escrime et bcp d’entre nous sont en traitement. Votre article tombe à pic. Traitement + HE +escrime « cancer » tiens toi à distance de nos sabres ?. Je vous renouvelle « nos » remerciements j’admire votre dévouement et je salue votre grandeur d’Ame. Toujours à vous lire.

  • alain dit :

    Bonjour je pratique l’aromathérapie depuis 1964, soit l’âge du Dr Giraud que je connais bien. Inventeur de la lunette olfactive Médaille d’Or salon des inventeurs à Genève et de la cigarette olfactive. Titulaire de plusieurs brevets, je m’occupe depuis 2 ans de la maladie de Lyme avec des protocoles complémentaires à l’antibiothérapie avec plusieurs médecins qui s’intéressent à cette terrible maladie. Ces protocoles se retrouvent dans différents pays, alors pourquoi pas en France, les champs magnétiques pulsés, les aimants, l’infrathérapie, l’aromathérapie ont faits leurs preuves depuis des décennies et des millénaires.

  • Saint-Louboué dit :

    même question que celle de LAURENCE LE MOIZAN , mais pour PAU (64)
    Merci . Recevez mes plus vives félicitations pour ce travail remarquable.

  • Kopp Audrey dit :

    Bonjour
    Je suis dans le Bas-Rhin et souhaiterai que vous me conseillez un praticien en aromathérapie confirmé…. pour un accompagnement contre le cancer justement ….
    je suis à 100% convaincue dû bienfaits de ces trésors de la nature et ai moi-même enclenché depuis près de 2 ans maintenant ce système de soins pour les maladies bénignes du quotidien avec ma famille et ça marche vraiment !
    Merci beaucoup pour votre réponse

  • Rigolleau Nicole dit :

    Cher Docteur,
    C’est avec beaucoup d’intérêt que je dévore la revue santé corps esprit.
    Depuis 5 ans j’utilise les huiles essentielles qui m’ont été conseillées par ma pharmacienne ainsi que les compléments alimentaires.
    La novice que je suis les utilise avec prudence pour les petits « bobos ».
    Il serait très utile de nous indiquer une liste de thérapeutes confirmés que nous pourrions consulter en cas de pathologies plus sérieuses afin d’appliquer tous vos bons conseils en toute sécurité.
    Merci d’avance. Nicole

  • Anne Legendre dit :

    Bonjour Monsieur
    Votre article est très intéressant. Pouvez-vous m’indiquer des adresses de praticiens en aromathérapie à Paris et banlieues et Nantes et sa région.
    Merci de votre réponse.
    Cordialement.
    A L

  • gisele bost dit :

    Bonjour
    Perso je préfère l’homéopathie et je me sers du livre Cancer et homéopathie du Dr Lionel Bagot
    Ouvrage très très détaillé.

  • LAURENCE LE MOIZAN dit :

    Bonjour
    Je suis dans le Morbihan,je recherche un praticien en huiles essentielles.pouvez vous m’en indiquer un.
    Sinon,est ce que le docteur giraud reçoit e cabinet??
    Merci
    Laurence Le Moizan

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