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C’est un remède d’un genre nouveau.

Son efficacité pour guérir contre de nombreuses maladies est impressionnante. Il n’a aucun effet secondaire… à part vous rendre plus heureux.

Et pourtant, il faudra des années, probablement des décennies avant de le voir prescrit par la médecine officielle et noté noir sur blanc sur une ordonnance.

Car il a un énorme défaut : il ne rapporte rien à personne !

Ce remède simple et gratuit consiste simplement à… dire merci.

Vous ne me croyez pas ? La science, elle, est formelle :

D’innombrables études scientifiques prouvent l’efficacité de la gratitude

Tout a commencé en Californie, à la fin des années 1990, quand le Professeur Emmons annonça qu’il se lançait dans l’étude de la gratitude et de son impact sur la santé.

Evidemment, ses collègues le regardèrent avec des yeux ronds. Comment une simple émotion pourrait-elle guérir ? Et comment diable pourrait-on l’étudier scientifiquement ?

Robert Emmons a tenu bon, car il croyait à son idée. Mais il ne pouvait pas se douter de l’incroyable vague planétaire qu’il allait déclencher en à peine 15 ans.

Aujourd’hui, il ne se passe plus un mois sans que des équipes de chercheurs des quatre coins du monde ne publient une étude sur le sujet, avec des résultats des plus étonnants.
Rien que sur l’année 2015 :

– Des psychologues londoniens ont montré que les personnes à qui ils avaient demandé d’éprouver chaque jour un peu reconnaissance avaient, au bout de deux semaines, un meilleur sommeil et une tension artérielle abaissée par rapport à un groupe comparable; [1]

– Des médecins de l’hopital de Boston ont constaté (à leur grande surprise !) que des patients suicidaires à qui ils avaient donné des exercices psychologiques conduisant à ressentir de la gratitude voyaient leur désespoir disparaître dans 90 % des cas ! [2]

– Une équipe irlandaise a montré qu’en seulement trois semaines, un groupe qui devait noter chaque jour 5 choses dont ils se sentaient reconnaissants voyaient leur niveau de stress et de dépression chuter jusqu’à 27 % (aucun effet n’a été noté dans un groupe comparable qui devait simplement noter 5 choses qui leur étaient arrivées dans la journée); [3]

– Les mêmes résultats ont été trouvés par des chercheurs de Hong-Kong auprès de professionnels de santé par nature particulièrement exposés au stress et à la déprime; [4] Ces conclusions sont fiables car elles proviennent d’essais cliniques solides, tous réalisés contre « placebo ». La gratitude est en train de devenir l’un des médicaments les plus efficaces qui puisse exister !
C’est une avancée d’autant plus extraordinaire que, au départ, c’est son impact sur le bonheur qui avait le plus intrigué les chercheurs.

Tout a commencé avec le bonheur

Certes, il n’est pas nécessaire de faire des études en blouse blanche pour sentir que la gratitude est un merveilleux sentiment, digne d’être cultivé.

Ce ne peut pas être un hasard si toutes les traditions morales et spirituelles encouragent les hommes à être reconnaissants les uns envers les autres et à remercier la destinée, Dieu ou la nature des bienfaits qu’ils reçoivent de la vie.

Et il suffit d’observer autour de soi pour constater que les personnes reconnaissantes sont généralement plus épanouies que les ingrats.

Mais ce qu’on ne savait pas, c’était s’il était possible de vivre mieux simplement en se « forçant » à éprouver régulièrement de la gratitude.

Pour en avoir le cœur net, le Professeur Emmons a sélectionné, au début des années 2000, plusieurs centaines de personnes et les a réparties en trois groupes avec les consignes suivantes :

1. Le premier groupe devait noter chaque semaine au moins cinq évènements positifs qu’ils avaient vécus et dont ils pouvaient être reconnaissants. Les réponses allaient du simple fait de se « réveiller le matin », à celui « d’avoir des parents merveilleux » (un participant a noté : « les Rolling Stones »).

2. Le second groupe devait faire la liste des « irritants » de la vie quotidienne, des évènements qui tendent à les tracasser (« difficile de trouver une place de parking », « compte bancaire à découvert », etc.)

3. Le troisième groupe devait simplement noter les évènements notables de la semaine, ceux qui avaient eu un impact sur leur existence.

Au bout de 3 mois, les membres du premier groupe (« gratitude ») présentaient l’état général le plus enthousiaste, positif et optimiste sur l’avenir.

Plus étonnant : ils avaient moins de souci de santé et s’étaient mis à faire davantage d’activité physique (une heure et demi de plus par semaine !).

Pour confirmer ces résultats inédits, le Professeur Emmons fit le même test avec des personnes affectées de maladies neuro-musculaires graves et dégénérescentes.

Il pensait qu’il serait bien difficile de ressentir de la gratitude dans un état de souffrance quotidien, privé d’espoir d’amélioration.

Et pourtant, les résultats ont été éclatants : les membres du groupe « gratitude » n’avaient pas seulement un sentiment global de bien-être plus élevé que les autres. La quantité et la qualité de leur sommeil s’était améliorée. Même leurs conjoints ou proches ont témoigné avoir constaté un changement positif, voyant qu’ils avaient davantage goût à la vie.

La preuve était faite que la gratitude n’était pas un sentiment comme les autres.

Amélioration des relations conjugales, de la productivité au bureau

Mais la gratitude ne se contente pas d’améliorer notre moral.

Des études ont montré qu’elle améliore aussi nos relations avec les autres – et tout particulièrement les relations de couple . Exprimer sa reconnaissance à son conjoint, y compris pour les petites choses du quotidien (« il m’a préparé mon café »), est un moyen simple d’enrichir le lien qui lie deux êtres qui s’aiment. [5]

Un manager qui dit « merci » peut voir la motivation de ses troupes monter en flèche. C’est le résultat étonnant d’une étude de l’Université de Pennsylvannie.

Dans la semaine qui a suivi un discours « motivant » du chef, soulignant sa reconnaissance pour les efforts de ses collaborateurs, leur productivité a augmenté de 50 % par rapport à ceux qui n’avaient pas eu le discours. [6]

Mais c’est sur la santé que l’impact de la gratitude reste le plus spectaculaire.

La gratitude soigne aussi les maladies cardiaques

J’ai mentionné ses effets sur le sommeil, l’anxiété ou la dépression. La gratitude va jusqu’à soigner votre cœur !

Une étude récente (encore une !) portait sur 186 hommes et femmes souffrant d’une maladie cardiaque. Une fois encore, les chercheurs ont observé que les participants qui déclaraient ressentir le plus de gratitude dans leur vie quotidienne étaient également en meilleure santé.

Plus intéressant : les chercheurs ont demandé à une partie de ces patients de tenir un journal des événements dont ils pouvaient être reconnaissants. Au bout de seulement deux mois, leur niveau d’inflammation avait reculé et leur rythme cardiaque s’était amélioré. Au total, leur risque cardiaque était devenu inférieur à ceux qui n’avaient pas tenu de journal. [7]

Je pourrais encore continuer la liste des bienfaits de la gratitude, dont beaucoup restent d’ailleurs à découvrir. Sachez simplement qu’elle stimule le système immunitaire, aide à tenir ses bonnes résolutions (faire du sport, quitter ses addictions, manger moins gras) et pourrait même freiner la dégénérescence du cerveau liée à l’âge. [8]

Je vous donne un peu plus loin les conseils pratiques simples pour profiter vous aussi de ce « remède miracle ».

Mais prenons ensemble une seconde pour réfléchir à ce qu’est, réellement, la gratitude.

Qu’est-ce que la gratitude ?

Si vous ouvrez un dictionnaire, vous lirez que la gratitude est l’émotion que nous ressentons lorsque quelqu’un nous rend service ou nous apporte un bienfait.

Mais remarquez bien que la gratitude est à géométrie variable. Nous sommes d’autant plus reconnaissants que ce bienfait sort de l’ordinaire. Qu’il n’était pas prévu par un contrat, une habitude ou la convention sociale. Nous sommes plus reconnaissants à un étranger qui nous donne l’heure dans la rue qu’à notre ami ou collègue de bureau.

Tout se passe comme si cette émotion avait pour fonction de souder la communauté, renforcer les liens entre les êtres humains.

Elle nous pousse à la bienveillance envers celui qui nous a apporté un bienfait. Et le simple fait de lui dire « merci » approfondit la qualité de la relation : heureux de voir son geste reconnu, le bienfaiteur sera encouragé à continuer à prodiguer des bienfaits !

Mais la gratitude ne se contente pas de nous lier aux autres. De façon plus mystérieuse, les hommes ressentent cette émotion envers un Tout qui les dépasse.

Beaucoup expriment leur reconnaissance envers « le destin », la « bonne fortune », ou bien sûr des puissances supérieures. Les croyants de la plupart des religions en font un thème central de leur prière.

Quel secret ces sagesses et traditions avaient-elles découvert ?

La gratitude soigne parce qu’elle nous grandit

La gratitude est précieuse car elle nous conduit à reconnaître (au sens de constater, d’admettre) qu’il y a du bien dans son existence. La vie n’est jamais parfaite et est parfois cruelle. Mais elle comporte toujours des joies, des moments dignes d’être vécus.

La gratitude nous invite à célébrer ces moments, à reconnaître ce qui va bien dans notre vie plutôt que de ruminer ce qui va mal, à se concentrer sur le positif plutôt que le négatif.

Ce n’est pas de la simple « pensée positive ». Il ne s’agit pas de se voiler la face et d’ignorer les difficultés ou les défis de la vie quotidienne. Il s’agit de réaliser que même les épreuves peuvent nous apporter quelque chose, et que c’est sur cela qu’il faut se concentrer.

La gratitude permet aussi de bloquer net les émotions toxiques comme l’envie et l’amertume. Plutôt que de jalouser celui qui a plus, la gratitude nous fait apprécier ce que nous avons. Elle nous invite à nous réjouir en pensant à ceux qui souffrent davantage, bloquant ainsi notre tendance naturelle à lorgner sur ce que le voisin a en plus.

Plus profondément, la reconnaissance nous détourne de nous-même pour nous ouvrir à autrui. Nous reconnaissons que nous devons à autrui au moins une partie des bienfaits qui nous arrivent.

L’ingrat est arrogant, narcissique. Tout lui est dû. Pourquoi, dès lors, devrait-il se montrer reconnaissant envers ceux qui lui rendent service ?

Etre reconnaissant, au contraire, c’est ne plus considérer comme acquis les bienfaits que les autres nous apportent. Plutôt que d’être froid et sec, notre lien à autrui n’en devient que plus chaleureux.

Et plus nous lui exprimons notre gratitude, plus notre entourage se réjouit de nous faire du bien. Et plus il le fait, plus nous avons de raisons de lui être reconnaissant… C’est un cercle vertueux sans fin !

Mais ce n’est pas si facile.

Pourquoi il est si difficile d’être reconnaissant

Certains sont naturellement doués pour la gratitude. Ils peuvent atteindre des sommets : Mère Térésa disait à quel point elle était reconnaissante envers les déshérités qu’elle aidait, parce qu’ils lui permettaient d’approfondir sa propre spiritualité.

Mais tout le monde n’est pas Mère Térésa. Pour vous et moi, au quotidien, c’est plus compliqué et cela demande de la pratique.

Car le plus grand ennemi de la gratitude, c’est notre fâcheuse tendance à nous habituer. On sait aujourd’hui que les gagnants du loto, après un an d’euphorie, reviennent à leur niveau de bonheur d’avant leur gain. Ils se sont habitués à leur nouvelle vie, leur belle maison, les restaurants trois étoiles.

Rapidement, ils prennent pour acquis tous ces bienfaits. Leur nouvelle vie leur paraît « normale ». Ils ne se sentent plus particulièrement reconnaissants de la chance qu’ils ont eue.

Ce glissement nous affecte tous, tous les jours : l’eau courante, le chauffage, la possibilité de se nourrir trois fois par jour, tout cela représente un confort extraordinaire par rapport à ce que l’humanité a vécu pendant des millénaires.

C’est peut-être la raison pour laquelle il semble plus difficile pour les habitants des pays développés de ressentir la gratitude.

Pierre Rabhi a cette phrase magnifique sur la petite communauté algérienne dans laquelle il a vécu son enfance :

« Ici, l’existence s’éprouve d’une manière tangible. La moindre gorgée d’eau, la moindre bouchée de nourriture donne à la vie sur fond de patience toujours renouvelée, une réelle saveur. On est prompt à la satisfaction et à la gratitude dès lors que l’essentiel est assuré, comme si un jour vécu était déjà un privilège, un sursis. »

La sécurité et le confort ne facilitent pas la gratitude. Pensez à ces enfants rois qui reçoivent toutes les attentions.

Et c’est un vrai travail que de se placer dans une posture d’humilité puis remercier la vie pour tout ce qu’elle nous apporte. De se mettre dans une attitude de réceptivité aux beautés et aux joie simples de l’existence.

Pour la plupart d’entre nous, il est impossible d’y parvenir du jour au lendemain. Mais il existe des astuces simples pour cultiver ce précieux sentiment.

N’attendez plus !

Voici ce que je vous propose.

Pendant une semaine, prenez cinq minutes pour faire un petit journal de bord.

C’est la pratique la plus efficace : les études que j’ai citées montrent qu’elle peut faire une grande différence pour votre moral, votre sommeil, votre sérénité et votre état de santé en général.

Il vous suffit de prendre quelques minutes chaque jour pour noter 3 à 5 bienfaits dont vous vous sentez reconnaissants. Ne restez pas dans le vague, décrivez précisément le bienfait en question et la sensation que vous avez ressentie (ou que vous auriez pu ressentir si vous y aviez prêté plus attention !).

Si vous traversez des difficultés, demandez-vous en quoi ces épreuves pourraient ultimement vous rendre service (par exemple, devoir affronter une personnalité difficile au bureau peut nous aider à améliorer notre patience et notre compréhension des autres).

Allez-y, n’attendez pas pour faire l’essai !

Et si vous voulez bien, faites-moi part de ce que vous en retirez, en écrivant un commentaire ci-dessous.

Ressentez-vous les mêmes effets étonnants trouvés dans les études scientifiques ? Si oui, dites-le moi ; si non, dites-le moi aussi !

Il est si facile de dire « merci » !

Je commence : merci d’avoir lu ma lettre jusqu’au bout. Je sais que vous recevez des dizaines de messages chaque jour et que votre temps est précieux.

Je vous suis infiniment reconnaissant de votre attention.

Sources :

[1] The impact of a brief gratitude intervention on subjective well-being, biology and sleep, Marta Jackowska, Department of Psychology, Whitelands College, University of Roehampton, UK

[2] Feasibility and utility of positive psychology exercises for suicidal inpatients, Huffman JC, Department of Psychiatry, Massachusetts General Hospital, Boston, MA, USA et al.

[3] The effects of two novel gratitude and mindfulness interventions on well-being, O’Leary K. and Dockray S., school of Applied Psychology, University College Cork, Cork, Ireland.

[4] Improving mental health in health care practitioners : randomized controlled trial of a gratitude intervention, Cheng ST, Tsui PK and Lam JH, Department of Psychological Studies and Department of Health and Physical Education, Hong Kong Institute of Education

[5] Lambert NM, et al. “Expressing Gratitude to a Partner Leads to More Relationship Maintenance Behavior,” Emotion (Feb. 2011): Vol. 11, No. 1, pp. 52–60.

[6] Article In Praise Of Gratitude, Harvard Health Publications

[7] Etude à paraître, voir article Gratitude is good for the soul and helps the heart, sur le site www.npr.org

[8] Voir la synthèse réalisée par l’Université Davis, Gratitude is good medicine, nov. 2015

2 481 commentaires

  • Palmira Minana dit :

    Un GROS MERCI pour votre generosite a nous donner de si bons conseils. Mille et mille merci d’une grande mère de l’Espagne.

  • Bénédicte dit :

    Quelle surprise! Je viens de m’abonner à cette lettre par l’intermédiaire d’Annick. Et c’est en accord avec ce que je vis depuis plusieurs mois. Marie Louise Piquemal (http://terresdanecdotes.com/Ateliers) m’a appris à me servir des filines, trois boites, quasi magiques, et l’une d’elle est la boite à bonheur!
    Tous les soirs je la remplis de bonheurs du jour. C’est incroyable car plus j’en mets en évidence plus j’en éprouve et elle se remplit de plus en plus vite. Merci d’avoir écrit cet article pour que le maximum de personnes puissent en prendre conscience.

  • Odile P. dit :

    Je n’ai vu que ce soir votre lettre.. Elle m’interpelle ..
    Dans mon quotidien, le merci s’adresse quasi toujours aux autres.. Jamais à moi-même. Votre lettre me bouscule et « m’oblige »… Cela me donne l’espoir de pouvoir changer mon propre regard sur moi-même.. chaque jour un peu plus.. Alors je viens d’écrire mes 5 1ères reconnaissances de la journée sur un cahier. Et je me sens bizarre… je sourie, bêtement, mais je sourie !! Je vais continuer…
    Et je me remercie d’avoir entamée une démarche et de vous l’avoir transmise.
    Merci à vous.

  • Odette dit :

    Grand merci pour votre lettre. Je suis toujours reconnaissante pour les bonnes choses de la vie. Je souris et je parle aux gens que je ne connais pas, que ce soit à l’épicerie our sur la rue. Parfois c’est mal perçu, mais habituellement cela rend les gens heureux et moi cela fait ma journée.
    C’est un beau sujet à aborder.

  • Maria Odete dit :

    Bonjour Dr. Bazin,

    Je suis une personne que dit facilement merci je n’ai jamais pensé à la gratitude mais si à la reconnaissance . Dans le fond veut dire la même chose.

    Je ne vous connais pas depuis long temps mais je peux vous dire que je vous admire beaucoup tant que le Prof Joyeux. Vous avez choisi une très bonne compagnie. FELICITATIONS.

    Bien à vous

    Maria Odete

  • Régine dit :

    Bonjour,
    Je pratique la gratitude depuis quelques années et cela a changé ma vie : je suis beaucoup plus heureuse !, cela m’a permis aussi de traverser plus sereinement certaines épreuves. C’est bien d’avoir fait un article sur ce sujet. Merci.

  • Maguy dit :

    bonjour et MERCI Monsieur Bazin
    Chaque matin, dans mon lit, encore dans un état entre le sommeil et la Vie, je me dis » merci pour cette nuit passée, pour la journée à venir et chaque matin, depuis quelques mois après la mort de mon mari, je me dis: j’ai décidé d’être heureuse car c’est bon pour ma santé ». Chaque soir, je m’endors avec les images de 3 belles choses qui me sont arrivées dans la journée. Frédéric Lenoir, parle de la puissance de la joie et je pense que cette énergie est très forte, je n’ai aucun doute là-dessus. Et cette Force est redispensée aux autres autour de nous et peut leur faire comprendre que eux aussi peuvent le faire. Rien de difficile n’est-ce-pas, mais être régulier dans sa pratique.
    MERCI encore et belle journée dans votre cœur à tous.

  • mireille dit :

    bonjour,
    merci, merci, MERCI… voilà un des premiers mots que j’ai appris à ma fille et mes petits enfants, dès qu’ils ont pu parler …. MERCI et je t’aime ….
    et je suis fière quand je les entends résonner autour de moi et j’espère que mes petits enfants sauront les transmettre, maintenant qu’ils sont parents !

  • jean pierre dit :

    je commence ici : 1000 fois « merci « 

  • Danielle de Nouvelle Calédonie dit :

    Bonjour à tous,
    Pour apporter mon humble pierre à l’édifice, j’ai lu tous les témoignages de toutes les lettres, et noté tous ceux qui ont eu un soulagement quelconque de quelque inconfort qu’il soit.
    Donc : classés en ordre alphabétique des « mots » (maux) énoncés par les personnes elles-mêmes, en évitant les doublons (sauf s
    i la personne ne donne pas le même nom à ce qu’il a, alors on retrouve la même technique pour la même chose nommée différemment). Chaque point correspond à un témoignage différent. Ce n’est qu’un résumé quelques fois la personne a donné des précisions mais souvent non ; cela devra être complété par une recherche sur le « remède » proposé. Cela ne tient pas compte de tout ce que fait d’autre la personne psychiquement ou spirituellement pour s’en sortir (au choix de chacun). La constante qui est donnée dans tous les témoignages est un changement d’alimentation (avec ou sans précision). Si ce changement n’est pas spécifiquement cité comme faisant partie de la technique de soulagement, je ne l’ai pas noté spécifiquement (bien qu’il existe dans chaque témoignage).
    Ce message étant déjà assez long c’est dans les commentaires de la toute première lettre que vous trouverez tous les messages concernant vos :
    Maux (avec vos mots) – vos solutions trouvées pour vous soulager
    Bon courage,
    fraternellement,
    Danielle

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