Tabou : plus de risques après la première dose

Début juillet, 96 médecins ont publié une tribune dans le Journal du Dimanche pour lancer un « appel à la vaccination obligatoire des soignants ».

Parmi les signataires, on retrouve l’inénarrable Karine Lacombe, dont les liens d’intérêts avec Big Pharma sont notoires.

Mais figurez-vous qu’un petit malin est allé voir les conflits d’intérêts de tous ces signataires… et le résultat est SAISISSANT[1] !

Tenez-vous bien : les 96 signataires ont reçu collectivement 8,8 millions d’euros de l’industrie pharmaceutique (seuls 14 signataires ont reçu moins de 1000 €).

Et parmi les 10 signataires les plus « récompensés » par Big Pharma, tous ont des liens d’intérêts avec les fabricants de vaccin Pfizer, Astrazeneca ou Johnson & Johnson… et parfois les trois à la fois[2] !

Il faut donc faire très attention à ce qu’on vous dit dans les médias.

Et il est temps de faire une analyse INDÉPENDANTE de ces vaccins anti-Covid.

J’ai commencé à le faire dans ma dernière lettre, en me lançant dans un essai d’évaluation du bénéfice-risque selon votre âge et vos comorbidités.

Je poursuis aujourd’hui cette analyse – c’est un peu technique, mais si cela vous ennuie, vous retrouverez à la fin de ce message ma réponse à la question « qui a intérêt à se faire vacciner ? ».

Pour savoir si on doit se faire vacciner, il faut comparer le risque de se vacciner (effets indésirables) au risque de ne pas le faire (et de souffrir d’une forme grave de la Covid).

Et pour cela, il faut évaluer 4 données clés :

  • 1) Votre risque d’être infecté par le Sars-Cov-2 à l’avenir ;
  • 2) Votre risque, en cas d’infection, d’avoir une forme grave de la Covid-19 ;
  • 3) Le « bénéfice » du vaccin, c’est-à-dire sa capacité à vous protéger de l’infection et des formes graves de la Covid-19 ;
  • 4) Et votre risque de subir des effets indésirables graves du vaccin.

Dans ma dernière lettre, je vous rappelais que le risque d’infection à l’avenir (point 1) est très difficile à évaluer ! Et qu’il ne faut pas croire ceux qui vous disent qu’une « 4ème vague » est certaine : ils n’en savent RIEN !

Quant à votre risque d’avoir une forme grave en cas d’infection (point 2), il dépend de votre âge et de votre état de santé, bien sûr, mais aussi de votre accès aux traitements précoces et préventifs très efficaces comme la vitamine D et l’ivermectine.

Maintenant, parlons du point 3 et de la capacité du vaccin à vous protéger de la Covid.

Rappel : avant de réduire votre risque, le vaccin l’AUGMENTE ! 

Le vaccin a certainement une efficacité protectrice après deux doses, mais il faut rappeler qu’il commence par augmenter votre risque d’être contaminé dans les jours qui suivent la première dose !

Une étude danoise l’a confirmé, en observant une augmentation de 40 % des infections dans la semaine qui suit l’injection du vaccin Pfizer[3]

Le Pr Raoult l’a également observé dans son IHU : « Nous avons maintenant un nombre de gens qui est significatif, on a 46 patients qui ont fait un Covid dans la semaine qui a suivi l’injection (…), c’est très frappant »[4].

La raison est vraisemblablement que la première dose du vaccin détourne le système immunitaire de sa mission principale et rend votre organisme plus vulnérable aux infections pendant quelques jours.

Cela a été observé dans quasiment tous les pays qui ont vacciné massivement : à chaque fois, la vaccination a été suivie d’un pic de contaminations et de mortalité jamais observé auparavant.

Dès la fin du mois de mars, je vous avais montré ces graphiques frappants, dans les pays les plus vaccinés à l’époque : Israël, les Émirats et la Grande-Bretagne[5] :

Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.

Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence.

Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde !

On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population : 

Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid.

Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale[6].

(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France ![7]).

Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir un effet positif sur les formes graves.

Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !

Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses !

Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin !

C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible !

Rappel : ce vaccin (comme tous les vaccins)  l’efficacité la plus faible chez les plus à risques…

L’autre raison principale de douter, c’est que les fameux « essais cliniques » qui ont conclu à 95 % d’efficacité contenaient très peu de patients de plus de 75 ans, et aucun de plus de 85 ans. 

Et même quand ils avaient 80 ans, les « cobayes » étaient des personnes plutôt en bonne santé – et n’avaient rien à voir avec les vieillards dépendants affectés de multiples comorbidités que l’on trouve hélas dans nos Ehpad.

C’est très important à signaler, car on sait de longue date que les vaccins fonctionnent nettement moins bien chez les personnes âgées en mauvaise santé.

La raison est très simple à comprendre : si votre système immunitaire est en mauvais état, vous n’allez pas créer suffisamment d’anticorps après votre vaccination.

On le voit chaque année avec le vaccin contre la grippe, dont l’efficacité est très faible chez les personnes âgées en Ehpad aux multiples comorbidités.

Donc, si vous avez un système immunitaire en mauvais état, vous avez moins de bénéfices à attendre du vaccin.

Mais en cas de système immunitaire défaillant, vous avez aussi beaucoup plus de risques d’être infecté et de faire une forme grave de la Covid-19.

Cela veut dire que le vaccin est le moins efficace chez ceux qui ont le plus de risques en cas d’infection !

C’est un problème, car on voudrait que le vaccin soit le plus efficace chez ceux qui ont le plus de risques de finir en réanimation et de mourir !

Mais c’est le contraire qui est vrai, et cela doit conduire à relativiser l’intérêt du vaccin.

C’est d’ailleurs ce qu’observe le Pr Raoult à Marseille : le vaccin évite peut-être de nombreuses infections symptomatiques, mais chez ceux qui sont testés positifs, il y a à-peu-près autant de morts chez les vaccinés que chez les non vaccinés[8] !

On le voit bien aussi en ce moment dans les Ehpad, comme celui de Nivelles en Belgique[9].

Dans cet établissement vacciné à près de 100 %, la moitié des résidents vaccinés ont été infectés… ce qui confirme que l’efficacité de 90 % contre les infections est totalement fictive, au moins pour ce public-là…

…et parmi ces vaccinés infectés, 12 sur 55 sont décédés, ce qui montre aussi à quel point le vaccin peut échouer à éviter la pire des issues, à savoir la mort.

Donc, même si le vaccin était efficace à 90 % contre les risques de formes graves chez les personnes en bonne santé (qui n’ont donc quasiment aucune chance de mourir de la Covid-19)… 

…son efficacité à éviter les formes graves et décès chez les plus vulnérables resterait limitée !

Et non seulement le vaccin est moins efficace chez les plus vulnérables… mais il provoque davantage d’effets indésirables chez ceux qui ont le moins de risques de souffrir du virus !

…et ce vaccin donne plus d’effets graves chez les personnes en bonne santé !

Là encore, c’est assez classique pour un vaccin.

Plus votre système immunitaire est vif, plus vous risquez de faire une mauvaise réaction à un vaccin, lié à une sur-réaction de votre organisme à l’injection.

À l’inverse, si votre système immunitaire est défaillant, vous avez peu de risques de faire une réaction auto-immune grave aux vaccins.

C’est pourquoi les femmes font plus de maladies auto-immunes que les hommes : c’est parce qu’elles ont un meilleur système immunitaire que les hommes qu’elles sont plus vulnérables à ces maladies dans lesquelles nos cellules immunitaires se retournent contre notre organisme.

C’est ainsi que beaucoup de vaccins provoquent (rarement) des maladies auto-immunes – et le vaccin Covid n’échappe pas à cette triste règle.

Dans les rapports de la pharmacovigilance britannique[10], plusieurs maladies auto-immunes sont signalées comme effet indésirable du vaccin anti-Covid : scléroses en plaque, maladies de Crohn ou encore syndromes de Guillain-Barré[11].

De son côté, Israël a admis que le vaccin Pfizer avait causé une maladie auto-immune gravissime chez plusieurs jeunes de 33 ans en moyenne[12], la purpura thrombotique thrombocytopénique, mortelle dans 20 % des cas.

En France, l’ANSM rapporte également des cas de syndrome de Guillain-Barré suite au vaccin Pfizer, ainsi qu’un syndrome d’activation des macrophages[13].

Ces maladies immunitaires peuvent être gravement invalidantes, à vie.

Et le problème est qu’elles se concentrent, après vaccination, chez ceux qui auraient vraisemblablement eu le plus de facilité à se débarrasser du virus sans problème, grâce à un système immunitaire performant !

Et il n’y a pas que les maladies auto-immunes : des dégâts peuvent aussi être causés par la protéine spike du vaccin[14].

Et ce risque-là est aussi plus grand chez les personnes en « bonne santé » que chez les personnes vulnérables ! 

Je rappelle que la seringue des vaccins ARN (Pfizer, Moderna) ne contient pas le virus inactivé ou une partie du virus, mais un message génétique qui conduit votre propre corps à fabriquer une partie du virus.

Avec ces vaccins, ce sont vos propres cellules qui fabriquent la protéine spike du coronavirus.

C’est pourquoi il est clair que les jeunes en bonne santé vont fabriquer davantage de ces protéines spike que les vieillards aux nombreuses cellules sénescentes.

Mais comme cette protéine spike peut causer des dégâts à elle-seule, ce risque concerne davantage les jeunes que les personnes âgées !

C’est frappant pour les myocardites et péricardites (maladies du cœur) : plus vous êtes jeune, plus vous êtes à risques de cet effet indésirable vaccinal : les autorités américaines ont relevé deux fois plus de risques à 21 qu’à 25 ans… et encore deux fois plus de risques à 17 ans qu’à 21 ans (je n’ose même pas imaginer le risque pour les enfants de 12 ans[15]) !

Donc, là encore, ces vaccins sont plus risqués pour ceux qui ont le moins de risques face au virus !

Je le précise, car c’est très important pour bien apprécier le bénéfice-risque.

Imaginons (pure hypothèse) qu’il faille vacciner 100 000 personnes pour éviter 10 morts de la Covid… mais que vacciner 100 000 personnes provoque 5 décès. Cela ferait 5 vies sauvées pour 100 000 injections au total… mais cela ne veut pas dire que le vaccin devrait être généralisé !

Car si les 10 morts évitées sont chez les plus de 70 ans et que les 5 morts causées sont chez les moins de 50 ans, il faudrait éviter à tout prix de vacciner les moins de 50 ans !

Alors, qu’en est-il vraiment ? 

Combien de morts sont attribuables aux vaccins ? Pour combien de vies sauvées ?

PS : comme promis, et avant même la fin de ma démonstration, je vous redonne ma conclusion à ce stade, sur l’intérêt des vaccins :

  • De mon point de vue, vous n’avez JAMAIS intérêt à vous vacciner, quel que soit votre âge ou votre état de santé, si vous prenez de la vitamine D et que votre médecin est prêt à vous prescrire de l’ivermectine ou le protocole Raoult dès les premiers symptômes ;
     
  • Il n’y a qu’une seule catégorie de personnes pour lesquelles le vaccin me semble avoir plus de bénéfices que de risques : les personnes vulnérables (avec comorbidités) de plus de 70 ans qui n’ont pas accès aux traitements préventifs et précoces ;
     
  • Pour les autres personnes vulnérables, comme les personnes de 50 à 70 ans avec lourdes comorbidités ou les personnes de plus de 85 ans sans comorbidité, le bénéfice-risque n’est pas clair, y compris en l’absence de traitement précoce et préventif – il me paraît alors préférable de s’abstenir de se vacciner au nom du précepte hippocratique « d’abord ne pas nuire » ;
     
  • Pour le reste de la population, le bénéfice-risque des vaccins me paraît négatif : même les personnes en bonne santé de 70 à 85 ans me paraissent prendre plus de risques à se vacciner qu’à ne pas le faire, y compris sans traitement préventif/précoce ; et c’est la même chose avec les moins de 50 ans souffrant de comorbidités ;
     
  • Et bien sûr, cela veut dire que si vous avez moins de 50 ans, que vous êtes en bonne santé et qu’en plus vous avez accès aux traitements précoces/préventifs, se vacciner revient à prendre un risque considérable, pour un bénéfice quasiment nul.

Sources

94 Commentaires

Sources

Partager

S'abonner

94 réponses

  1. Merci, je suis d’accord avec vous…Depuis le début je dis à mon entourage de renforcer ces barrières. Cela a marché et ma belle mère a eu le covid à 83 ans et dit aujourd’hui que le covid est un gros rhume, elle a été décelé par hasard en entrant à l’hôpital pour un examen de ventre! Le problème est comment faire pour ne pas devenir femme des bois avec le mesures du gouvernement. Si je ne me fais pas vacciner , mon mari l’est , on ne va plus rien pouvoir faire ensemble! Pour être tranquille le vaccin français de sanofi qui va sortir sera t’il moins dangereux? Faut t’il attendre celui là? Les chinois en ont un qui n’est pas ARN , juste classique mais pas reconnu ici. Pourquoi? Mon filleul chinois qui a été vacciné las bas devrait se refaire vacciner pour avoir le pass! Normal ou pas?

  2. J’ai reçu le vaccin Pfizer (1er dose début avril, 2ème dose début mai), j’ai 68 ans. J’étais assez mal pendant plusieurs jours : fatigue, maux de tête, douleurs articulaires, crise de « névralgie » dans le visage…. Est-ce psychologique ou un hasard mais depuis cette vaccination je ne me sens vraiment plus un forme.

  3. Merci beaucoup monsieur Bazin pour toutes ces informations que ne nous donnent pas les médias traditionnels qui sont tous pro – vaccins , pro –  » Conseil scientifique  » du gouvernement , beaucoup de médecins généralistes dont le mien ( mon médecin traitant ) le sont aussi ! Âgée de 63 ans ; fonctionnaire dans la fonction publique territoriale , je n’ ai pas envie de me faire vacciner . Tous mes collègues sont vaccinés suite aux plages de vaccination négociées par la collectivité avec l ‘ hôpital . Mes collègues se sont précipités en se disant qu ‘ ils seront ainsi épargnés du Coronavirus et pourront avoir  » une vie normale  » . Jusqu’à présent , je résiste tant qu ‘ il n ‘ y a pas une obligation de la collectivité . Je suis veuve , j ‘ ai besoin de mon travail . C’ est bien triste tout ça ??

  4. Bonjour,
    J’aimerai apporter à votre analyse un point essentiel : ce dont vous parlez n’est pas un vaccin mais une injection génique.
    Je pense que vous passez à côté d’une chose importante.
    CDT

  5. Merci beaucoup. Je lis absolument tout tellement c est intéressant et je partage tout à fait. Je peux mieux m expliquer quand on me parle et me critique.

  6. Je déplore ce système qui nous dévalorise nous infantilise et nous tient dans la désinformation j’ai 74 ans ne souffre d’aucun pb de santé et je refuse qu’on m’inocule ce virus je souhaite que tous ceux qui dse font vacciner puisse obtenir une indemnité financière de la part de celui ou celle qui injecté ce vaccin en cas de réaction négative de cette injection ce serait la moindre des choses que ces gens là se responsabilisent vis à visa du geste qu’ils font

  7. Merciii
    Pour info : j’ai 84 ans. J’ai eu un Covid sévère en décembre 2020. J’ai été traitée à domicile avec azithromycine, paracétamol,puis cortisone une semaine. J’ai été très accompagnée par ma medecin les passages infirmiers et les appels familiaux et amicaux. Je suis guérie et j’ai à ce jour 2080 anticorps IgG.

    1. BRAVO la covid se traite oui quand c’est pris dès le début malheureusement ils disaient de rester chez soi sans médecin avec du doliprane, quelle bande d’enfoirés!

  8. La caravane passe, les ayatollahs veillent, les moutons sont bien gardés ;dans notre pays certaines scènes préfigurent l’arrivée des nouveaux gardes rouges ,des collabos, des dénonciateurs…sauve qui peut…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *