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Cher(e) ami(e),

Joan a 60 ans quand elle apprend qu’elle a un cancer du sein[1]

Cela peut surprendre, mais son médecin lui prescrit aussitôt 2 mg d’iode par jour. 

Il lui recommande aussi un régime riche en minéraux et en vitamines. 

Pas de chance : Joan a aussi une hypothyroïdie

Elle doit aussi prendre des hormones thyroïdiennes. 

Pendant 15 ans, elle se sent bien et continue même à enseigner l’anglais. 

En 2005, tout bascule : son cancer a progressé. 

Elle a désormais des métastases, et perd beaucoup de poids. 

« J’avais l’impression d’être en train de mourir » raconte-t-elle. 

Elle consulte alors un autre médecin, expert de cette molécule. 

Il n’y va pas par quatre chemins : de 2 mg d’iode par jour, il passe à 50 mg/jour ! 

Après 6 semaines d’iode à hautes doses, elle passe un TEP-Scan : les métastases se sont littéralement désintégrées !

Joan ne s’est pas tirée d’affaires par hasard : 

« Je suis très reconnaissante d’avoir eu accès à cette information car elle m’a sûrement sauvé la vie ». 

Mais ce n’est pas le cas pour toutes les femmes ! 

Combien souffrent de ne pas connaître toutes les solutions à leur disposition ?

Prenez-vous soin de vos seins en faisant ceci ?

Ce que personne ne vous a jamais dit, c’est que vos seins sont l’un des principaux sites de stockage de votre iode. 

Eh oui, l’iode ne sert pas uniquement au fonctionnement de votre thyroïde, comme on le croit souvent ! 

Pour avoir des seins en bonne santé, vous devez avoir des réserves d’iode suffisantes

Car si vous en avez trop peu dans le corps, votre thyroïde va ‘’pomper’’ l’iode stockée dans vos seins…

Votre thyroïde et votre tissu mammaire vont donc se faire concurrence ! 

Et voilà pourquoi vous risquez de développer des pathologies de la thyroïde mais AUSSI des seins ! La preuve avec Joan… 

Thyroïde et seins, liaisons dangereuses (ou heureuses) 

À tel point que de nombreuses études révèlent que : 

  • si vous avez un cancer du sein, votre thyroïde est certainement plus grosse que celles des autres femmes[2] (signe d’une carence en iode) ; 
  • vous avez aussi un taux d’iode bien plus bas[3] [4] (autre signe d’une déficience en iode) ;
  • à l’inverse, si vous avez des problèmes de thyroïde, vous risquez d’avoir plus de pathologies mammaires[5] [6](cancer, mastopathie fibrokystique…). 

Mais alors si une carence en iode est capable de provoquer de tels dégâts… 

… logiquement, supplémenter les malades devrait les aider, voire les soigner.

Eh bien, c’est presque aussi simple que cela : 

L’iode, un anticancéreux oublié, négligé… détesté ? 

Prenez des rates avec des tumeurs au sein. 

Donnez-leur de l’iode par voie orale. 

Que constatez-vous ? 

Eh bien, les tumeurs arrêtent de croître[7] !

Le Dr Brownstein, grand spécialiste de l’iode, est catégorique : 

« On ne peut pas provoquer le cancer du sein chez des rates qui ont suffisamment d’iode[8] ». 

Bien sûr, ce sont des animaux… 

Mais si c’était pareil chez les femmes ? 

Prenez ensuite des femmes avec des mastopathies fibrokystiques – une pathologie précancéreuse

Badigeonnez les kystes avec une solution iodée ou donnez-leur de l’iode par voie orale. 

Résultats : leurs kystes diminuent, voire disparaissent, et les douleurs aussi[9]

Comment expliquer ce mécanisme ? 

L’iode a au moins 3 actions : hormonalebiochimique et génétique[10]

Non seulement l’iode protège le tissu de vos seins contre un excès d’oestrogènes

Mais elle serait aussi capable de modifier l’expression de plusieurs gènes[11] et d’entraîner la mort des cellules cancéreuses.

Une bonne nouvelle quand on sait que trop d’oestrogènes est un puissant facteur de risque du cancer du sein[12]

Une récente étude enfonce même le clou : avoir des taux d’iode et de sélénium élevés dans le sang réduit même votre risque de cancer du sein de 25 %[13] !

De la carence au cancer… pourquoi vous êtes victime d’un scandale 

Le pire, c’est que ce lien entre une carence en iode et le cancer du sein est décrite depuis 1896 ! 

Il suffit de regarder les pays où la population est carencée en iode… avec le taux de cancer du sein : 

🇯🇵 Japon >> consommation d’iode très élevée >> cancer du sein : 16 pour 100 000 femmes[14]

🇺🇲 États-Unis, 🇫🇷France >> consommation d’iode faible >> cancer du sein : 110 cas pour 100 000 = soit 7 fois plus élevé !

Voilà comment une question toute simple prend une tournure dramatique : 

Aviez-vous déjà entendu parler de l’iode comme protecteur du cancer du sein ? 

Jamais, j’imagine… même en plein Octobre Rose ! 

Une « ignorance considérable[15] » selon ce chercheur japonais, qui nuit aux 5,6 millions de Françaises dont vous faites peut-être partie ! 

Et encore, je ne vous parle ici que du cancer du sein, mais l’iode pourrait aussi protéger contre : 

  • les autres cancers hormono-dépendants, comme des ovaires, de l’utérus ou de la thyroïde… 
  • le cancer de la prostate (-30 % chez les personnes avec un bon taux d’iode[16]) ; 
  • le cancer de l’estomac notamment en inhibant Helicobacter pylori[17]
  • et potentiellement, contre le mélanome ou encore le glioblastome… 

Je ne crie bien sûr pas au complot.

Mais ce que je constate une fois de plus, c’est que vous n’avez pas accès aux bonnes informations pour prendre soin de votre santé. 

J’ai d’ailleurs moi-même été surprise de l’importance de cet oligo-élément absolument essentiel. 

Et vous, le saviez-vous ? 

Vous êtes-vous déjà supplémenté en iode ? 

Je lirai avec attention tous vos témoignages ! 

Bonne santé 

Catherine Lesage

Sources :

[1] : D. Brownstein, Natural Way to Health, vol. 7, no 3, 2014.
[2] : P. Smyth, D. Smith, J. Murray, A direct relationship between thyroid enlargement and breast cancer, National Library of Medicine, mars 1996
[3] [4] : Mateusz Winder, Zofia Kosztyla, A. Boral, P. Kocela, J. Chudek, The impact of Iodine Disorders on Health and Cancer, National Library of Medicine, mai 2022
[5] [6] : B.A. Eskin, « Different tissue responses for iodine and iodide in rat thyroid and mammary glands », Biological Trace Element Research, 1995.
[7] : H. Funahashi, T. Imai, Y. Tanaka, Suppressive effect of iodine on DMBA-induced breast tumor growth in the rat, National Library of Medicine, mars 1996.
[8] : D. Brownstein, Natural Way to Health, vol. 7, no 3, 2014.
[9] : Jack H. Kessler, The effect of supra physiologic levels of iodine on patients with cyclic mastalgia, National Library of Medicine, juillet 2004.
[10] :  Lynn Farrow, La Crise de l’iode, p.235
[11] : D. Brownstein, Natural Way to Health, vol. 7, no 3, 2014.
[12] : Facteurs de risque du cancer du sein, Société canadienne du cancer.
[13] : J. Manger, M. Sandsveden, S. Borgquist, Serum Iodine and Breast Cancer Risk, AACR Journals, juillet 2020.
[14] : Epidémiologie, InfoCancer, septembre 2023
[15] : Keisuke S. Iwamoto, The Mechanistic Role of Iodine in Breast Carcinogenesis, octobre 2005.
[16] : S.A. Hoption Cann, Z. Qiu, C. van Nett, « Une étude prospective du statut en iode, de la fonction thyroïdienne et du risque de cancer de la prostate : suivi de la première enquête nationale sur la santé et la nutrition », Nutrition and Cancer, 2007.
[17] : F. Ma, et al., « Inhibition de l’activité de la toxine de vacuolisation de Helicobacter pylori par l’iode, le nitrite et la potentialisation par le chlorure de sodium, la stérigmatocystine et le fluorure », Toxicology In Vitro, 2002.
[18] : Dr Vincent Reliquet, Les pouvoirs de l’iode, mars 2024.

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