Dans ma lettre sur Parkinson, j’ai essayé de vous montrer à quel point les remèdes naturels pouvaient être efficaces, même contre cette terrible maladie. Vous pouvez lire ou relire cette lettre sur ce lien.
Ne trouvez-vous donc pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles, même pour une maladie incurable ?
Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment.
Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.
Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.
Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.
Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?
Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.
Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.
Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.
Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?
Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages,
Merci cher Monsieur, d ouvrir la voie pour une médecine plus naturelle et humaine. C est un soutien inestimable pour nous patients à la recherche de solutions à nos maux.
D origine allemande, vivant depuis 20 ans en France, je me suis trouvée – des deux côtés du Rhin – confrontée à des médecins (surtout chez les « spécialistes) qui ne prenaient pas la médecine alternative au sérieux, même outragés de leur demander une sottise pareille.
Je me suis faite virer par un orthopède qui me prédisait une vie dans un fauteuil roulant dès 40 ans, j en ai maintenant 72, de bon pied grace à la reflexologie ….Je cherche désespérement une solution pour mon hypertension très difficilement « réglable », après 25 ans de traitements « classiques », ça va droit dans le mur si je continue ainsi. Les différents cardiologues et médecins me nomment n cas qui ne « répond pas bien », qui est trop « émotive » avec un sourire narquois….oui, je sais, je suis à fleur de peau, et j ai plus de peine à gérer mon stress que d autres, mais ce n est pas une raison de me faire traiter de haut.
En Allemagne, les lobbies sont toutes aussi agressives qu en France et c est le bouche à oreille qui vous aide à trouver un docteur « ouvert » qui brave les railleries de leurs homologues bornés. Mais comme la population fait pression pour les médecines alternatives et les cabinets se vident chez les « classiques », c est tout de même un peu plus facile de se faire soigner naturellement.
Merci de vous investir dans ce combat de survie!!!
Votre lectrice fidèle
il n’est pas « grand temps de communiquer autour de nous » mais c’est un impératif ! En ce qui me concerne, je pratique des soins énergétiques en milieu hospitalier au Sénégal, au sein d’une équipe médicale très ouverte et participative, et j’ai en charge non seulement leurs patients mais aussi le personnel hospitalier ce dont je suis fière, toute modestie mise à part!
Je travaille aussi avec des tradipraticiens locaux, reconnus par le Ministère de la Santé sénégalais. Je souhaite à tout le monde l’épanouissement que ça m’apporte me permettant d’être bien dans ce que je fais et ce que je suis. Si j’utilise bien sûr, des produits naturels locaux accessibles à tous, je ne me prive pas pour autant des huiles essentielles, d’homéopathie, argile, charbon et bien entendu de conseils nutritionnels adaptés au terrain.
Bonjour monsieur Bazin,
Votre enthousiasme m’épate. Vous savez que ce qui ne rapporte pas beaucoup d’argent est jeté à la poubelle. La chimie engrange des bénéfices colossaux bien que les effets pervers sur la santé humaine et même sur la nature entière sont connus. Il est important que la médecine naturelle soit connue et reconnue. Le plus tôt serait le mieux. Avec tous mes encouragements.
Simon Pierre basgué
Bonjour,
je rejoins évidemment certains commentaires. En premier, grand respect pour toutes ces informations que vous donnez. Comprenez aussi que longueurs des lettres, répétitions si nous sommes abonnés à plusieurs revues, vidéos et webinaires… je pense que la personne qui peut suivre est très forte et qu’on arrive hélas à un point limite. Je sais, il faut montrer un fort caractère pour trier et ne s’occuper que de ce qui nous intéresse, mais la masse d’informations est impressionnante et intéressante et il faudrait des journées de « 32 heures » pour étudier tout cela sérieusement.
Et pour les hypocondriaques (ce que je ne suis pas), cela doit être encore plus galère avec tous les sujets traités. Je fais à titre privé quelques soins en Dien Chan et je suis comme vous, assez critique sur les médicaments, mais vous en parlez bien mieux que moi. Il faut aussi souffler un peu, parler d’autres choses et vie de famille, vie professionnelle, vie sportive et vie sociale font aussi partie de notre bien être et de notre équilibre pour une santé optimale. Alors grand merci pour tout ce travail, mais si je désire ralentir, c’est pour moi et pas contre ce que vous faites, je ne suis évidemment pas seul au monde ! Salutations.
Bonjour,
Je suis comme vous, je reste persuadée que l’on peut se guérir et améliorer notre santé par les plantes plutôt que toutes ces cochonneries de médicaments.
J’ai eu mes premiers symptômes d’arthrose vers 20 ans et depuis ça empire jusqu’à 5 opérations du genou et 1 de la hanche. Depuis l’année dernière, ce sont les coudes et les épaules sans parler des formations des doigts.
Les médicaments n’ont plus aucun effet, je vais donc suivre vos conseils : plus de lait de vache, plus de gluten et passer aux plantes.
Je vous remercie vivement de votre dossier sur l’arthrose. Je reviendrai vers vous pour donner les résultats.
Cordialement
Je voulais simplement dire que j’avais lu le message du Dr Benoît Dauriac ce matin, qui correspond complètement à ce que j’avais et que je n’ai plus : En effet, vers l’âge de 40-45 ans, j’ai commencé et ça s’est amplifié à avoir des teintes bleues sur les jambes, filaments qui formaient ensuite des taches bleues… A ce moment, je ne savais pas beaucoup faire ma cuisine : huile de tournesol, pdt, pâtes, petits pois et choses de ce genre. Depuis, j’ai adopté un genre de régime crétois : huile de colza, d’olive (maintenant, en plus, de noix) et j’ai ajouté à mes repas une douzaines de plats différents, mange bio le plus possible. Actuellement, je regarde mes mollets : plus la moindre trace de ce genre de pathologie de couleur… Merci de tous vos conseils utiles et bonne continuation, F.P., REIMS.
Je viens de découvrir vos conseils pour appliquer les méthodes de la médecine que vous préconisez.
Votre conviction pour cette méthode m’a donné l’envie de la pratiquer. C’est pour cela que je me suis inscrit à « Santé Corps Esprit » car je suis persuadé que j’en tirerais les biens faits.
Je suis particulièrement attiré par les Huiles essentielles et je vais en étudier les effets.
En tous cas, merci de vos admirables conseils.
Bonjour,
En vous lisant , j’ai trouvé un remède miracle pour irradier mes sinusites chroniques, l’huile essentielle d’eucalyptus Globulus, merci beaucoup pour tous vos conseils, qui sont précieux et qui me servent beaucoup,
La médecine naturelle a de beaux jours devant elle. Merci.
Cher Monsieur Bazin,
Depuis quelques semaines déjà, j’ai eu la chance de pouvoir bénéficier de votre sagesse diffusée au compte-goutte quasi quotidien. Je ne me jette pas dessus avec avidité car ma préférence serait à ne pas avoir à m’occuper de ma santé comme ça a été le cas pendant les cinquante premières années de ma vie d’adulte. Durant cette longue période, j’ai pu ne pas avoir affaire aux médecins, ce qui était une grande chance car j’ai vécu et travaillé dans de nombreux pays où j’aurais eu de la difficulté à me faire soigner.
Mon premier contact sérieux avec la médecine a été il y a cinq ans quand j’ai été pris d’un mal de la langue qui s’est progressivement étendu à l’ensemble de la bouche entrainant une baisse considérable de poids alors que je n’avais vraiment pas de kilos à perdre. Pendant trois ans j’ai consulté une dizaine de médecins, y compris français et ayurvédiques. Les nombreux médicaments qu’on m’a fait ingérer n’ont eu aucun effet positif et probablement pas mal de conséquences non désirables. Finalement mon épouse qui n’a aucune formation médicale mais une très forte intuition a pris les choses en main et en consultant l’internet a pu découvrir que mon problème était une déficience en vitamine B12. De fait après qu’elle m’ait fait trois piqures de cette vitamine, tout était rentré dans l’ordre.
Cependant ma vraie rencontre avec la maladie a été à l’été 2017 alors que j’étais en vacances en France avec ma famille. Des analyses de sang de routine ont débouché sur la mise en évidence d’un PSA de 546, ceci assorti de métastases osseuses distribuées sur différentes parties du corps. L’urologue consulté a été odieux, dramatisant immédiatement sans me laisser aucune chance de m’en tirer dans un délai qui permette de voir venir. J’ai assez bien tenu le coup mais ça a été dévastateur pour mon épouse encore jeune et pour notre fille de 12 ans.
J’ai accepté une partie du traitement d’hormonothérapie prescrit sous la forme d’injection de LHRH agoniste mais différant la prise d’autres composants chimiques après qu’il me soit apparu qu’ils pouvaient avoir des effets secondaires redoutables. De plus j’ai radicalement changé mon régime alimentaire. Au Kazakhstan où je vis, la diète est largement à base de viande. M’en éloigner ne m’a pas couté car depuis mon enfance je me sens nettement végétarien. De plus sur les conseils toujours avisés de mon épouse, j’ai ajouté la prise quotidienne de vitamine B17 obtenue à partir de noyaux d’abricot, un fruit très répandu et apprécié en Asie Centrale.
Par chance le résultat a été, pourrait-on dire, dramatique. Du niveau stratosphérique de 546, le PSA avait baissé à 8 en moins de deux mois et ensuite à 0.26 en huit mois. Dans cette chute spectaculaire, il est difficile de dire ce qui est dû au composé chimique et ce qui est dû au régime alimentaire ou aux noyaux d’abricots. Ce qui est sûr est que le PSA était remonté à près de 20 après cessation de l’activité du composant injecté mais ceci pourrait être du à un traitement que j’ai dû subir pour contrer les effets d’une chute. Ce qui est moins sujet à doute est que le PSA est redescendu autour de 2 après une nouvelle injection de LHRH agoniste et s’est maintenu à ce niveau durant les six mois qui sont la durée supposée d’activité du médicament.
Heureusement les prédictions funestes de l’urologue semblent avoir été déjouées et je commence à voir l’avenir avec un optimisme que je ne désespère pas de faire partager à ma famille. La prostate elle-même semble être revenue à peu près à son volume normal et ne me gêne pas pour uriner. Les métastases par chance ne génèrent aucune douleur. Pourtant elles continuent à être ma préoccupation constante car je redoute qu’elles puissent dégénérer au point que ça me rendrait dépendant des autres et de ma famille en particulier. J’en suis à décider comme continuer la lutte et envisage divers possibilités :
Un grand espoir m’a été donné quand j’ai lu récemment qu’on avait prouvé pour la première fois qu’il était possible de faire disparaitre les métastases osseuses par un traitement combiné d’hormonothérapie et de radiothérapie, traitement qui n’est malheureusement pas simple à mettre en œuvre.
L’immunothérapie offre des possibilités séduisantes mais son usage sous la forme standard ne semble pas praticable dans une majorité de cas. L’immunothérapie sur mesure à un demi-million de dollars n’est pas la solution sur laquelle on se jette en premier.
La chimiothérapie est la solution repoussoir qu’on voudrait éviter à tout prix vu les effets secondaires redoutables au moins sous sa forme occidentale. La version chinoise est beaucoup plus acceptable et je maintiens à ce sujet des contacts avec la Chine qui n’est qu’à 300 km d’où j’habite.
Je ne sais pas quoi penser de la cure suggérée par Santé Corps Esprit consistant à prendre 4,000 unités de Vitamine D par jour. Comme j’ai la chance de ne souvent pas manquer de soleil, je n’avais pas éprouvé le besoin de compléments de vitamine D mais il est peut-être temps d’y penser.
Un très grand merci en tout cas pour être de ceux qui ne cessent de ranimer la flamme de l’espoir.
Bien cordialement.
Paul Pezant
Intéressant et utile.J’ai eu une grosse Rhino avec bronchite et j’ai tout soigné a l’aide des H E.pas de médication destructive et,tout va bien maintenant,sans les effets secondaires hélas trop souvent constatés.
Merci pour ce dossier.