Important : avez-vous eu la rougeole ?

Emmanuel Macron a donc osé : l’année prochaine, 8 nouveaux vaccins seront obligatoires pour les nouveau-nés, en plus des 3 existants.

C’est son Premier Ministre lui-même qui l’a annoncé en grande pompe, le 4 juillet, lors de son discours de politique générale à l’Assemblée nationale !

Il donne raison à la précédente Ministre de la Santé, Marisol Touraine, qui avait déclaré haut et fort « la vaccination, ça ne se discute pas ».

Le problème c’est qu’en matière de santé, TOUT doit se discuter, scientifiquement.

Pensez aux antibiotiques : ils ont beau avoir sauvé des centaines de millions de vie, heureusement qu’on s’est permis de les discuter !

Car on est passé du « tout antibiotique » (dans les années 1970-1980) au bien connu « c’est pas automatique ! ».

Pourquoi c’est pas « automatique » ? Parce qu’on s’est aperçu (un peu tard) que ce médicament miracle avait aussi sa part d’ombre.

Chez le jeune enfant, les antibiotiques en excès ravagent la flore intestinale… et finissent par le rendre encore plus vulnérable aux infections – d’où les otites à répétition, par exemple.

Les adultes ne sont pas en reste : on sait aujourd’hui que la prise d’antibiotiques provoque une année entière d’effets secondaires [1], via la perturbation du microbiote.

Et puis il y a les cas graves, rarissimes, mais qui existent.

Il suffit d’une réaction allergique grave à un antibiotique pour que le patient meurt… à cause du traitement censé le guérir[2].

Mais le pire, ce sont les risques « collectifs » de l’abus d’antibiotiques.

A force de les utiliser à tort et à travers, on a fait naître des super bactéries multi-résistantes, qui pourraient tuer jusqu’à 10 millions de personnes par an en 2050 ! [3]

Quand vous dîtes tout cela, aujourd’hui en 2017, personne ne vous accuse d’être « anti-antibiotique ».

Mais bizarrement, quand vous pointez certains risques des vaccins, on vous catégorise immédiatement comme « anti-vaccin » !

Pensez que le Professeur de médecine Henri Joyeux, qui n’a rien contre les vaccins en soi, a été radié de l’Ordre des Médecins en juillet 2016, simplement parce qu’il a pointé les dangers potentiels du vaccin contre l’hépatite B, ainsi que les risques des adjuvants comme l’aluminium !

La vaccination est-elle devenue une religion intouchable ??

Mais dites-moi : par quel miracle la vaccination serait-elle le seul acte médical au monde qui n’aurait que des bienfaits, et aucun effet secondaire ?

Pourquoi la critique des vaccins relève-t-elle du sacrilège, plutôt que de la discussion scientifique raisonnable et apaisée ?

N’en déplaise à Marisol Touraine et à Emmanuel Macron, je compte bien discuter de la vaccination avec vous, amis lecteurs.

Le moment venu, je vous appellerai aussi à vous mobiliser contre l’obligation vaccinale généralisée qu’on nous prépare.

Mais d’abord, je tiens à partager avec vous des faits dont on ne parle jamais.

Comme les antibiotiques, les vaccins peuvent susciter des problèmes individuels (lot défectueux, effets indésirables, réactions allergiques, etc.), mais aussi des problèmes collectifs.

Je vous parlerai plus tard des effets secondaires individuels des vaccins, gravement sous-évalués.

Aujourd’hui, je tiens à vous parler d’un problème « collectif » trop souvent passé sous silence, qui concerne le vaccin contre la rougeole.

Et figurez-vous que c’est un problème qui avait été anticipé depuis belle lurette !

Il y a 67 ans, la prophétie de l’OMS

Ecoutez-bien l’avertissement solennel de l’Organisation mondiale de la santé, en 1950 (il y a 67 ans !) :

« [Si un vaccin contre la rougeole était mis au point], son emploi devrait être limité, à moins qu’il ne soit prouvé qu’il confère une immunité pour toute la vie au prix de risques très restreints.

Une méthode assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l’apparition de la maladie (alors que c’est pendant la seconde enfance qu’elle présente le moins d’inconvénients et de dangers) jusqu’à l’âge adulte, où elle a un caractère plus sérieux. » [4]

Derrière un langage un peu compliqué, il y a un avertissement lumineux.

La rougeole est une maladie bénigne chez le jeune enfant, mais parfois grave chez l’adulte : elle peut causer des pneumonies sévères ou, pire encore, des infections du cerveau (« encéphalites »).

L’avantage d’avoir la rougeole étant enfant, c’est que vous ne pouvez plus l’attraper à l’âge adulte : vous êtes définitivement immunisé.

Ce que nous dit ici l’OMS, c’est qu’il serait dangereux de diffuser un vaccin contre la rougeole s’il ne protégeait pas 100 % de la population, à vie.

En échappant à la rougeole pendant l’enfance grâce au vaccin… le risque est qu’on l’attrape à l’âge adulte, au moment où elle peut faire de réels dégâts.

Eh bien c’est peut-être ce qu’on est en train de vivre en ce moment !!

Car nos autorités n’ont tenu aucun compte de cet avertissement de l’OMS !

Un vaccin qui n’est pas efficace à 100 %

On sait pourtant qu’aucun vaccin ne peut être efficace à 100 %, pas plus celui contre la rougeole qu’un autre.

S’agissant du vaccin contre la rougeole, voici ce qu’a déclaré le Dr Poland lui-même, pourtant président de la Société internationale des Vaccins et ayant des liens notoires avec le laboratoire pharmaceutique Merck :

« Plusieurs études ont démontré que 2 à 10 % des personnes immunisées avec deux doses du vaccin contre la rougeole n’arrivent pas à développer des niveaux protecteurs d’anticorps, et que cette immunité peut diminuer au cours du temps et résulter en une infection. 

Par exemple, pendant les éruptions de rougeole aux États-Unis entre 1989 et 1991, 20 à 40 % des individus affectés avaient été immunisés avec une ou deux doses du vaccin. Pour une éruption en octobre 2011 au Canada, plus de 50 % des 98 individus avaient reçu deux doses du vaccin anti-rougeole. » [5]

Donc, selon cet éminent chercheur « pro-vaccin », 2 à 10 % des vaccinés ne sont pas suffisamment protégés contre la rougeole.

Et cela peut suffire, selon lui, à expliquer pourquoi la maladie « ressurgit » régulièrement.

De fait, en 1989, 1363 cas de rougeoles se sont déclarés à Québec, dans une population vaccinée à 99 %… Et 85 % environ de ceux qui étaient infectés avaient bel et bien été vaccinés. [6]

Conclusion du Dr Poland : « le fait que la couverture vaccinale soit incomplète n’est pas une explication valable de l’éruption de rougeole dans la ville de Québec ».

Autrement dit, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire, ce n’est pas forcément la « faute » des non vaccinés si des cas de rougeoles ré-émergent.

Mais on peut même aller plus loin.

D’une certaine manière, ce sont les non-vaccinés qui sont mis en danger par le système de vaccination généralisée.

Comme le vaccin ne pourra jamais éradiquer totalement la rougeole, il empêche les non-vaccinés de se prémunir pendant l’enfance contre cette maladie dangereuse à l’âge adulte !

Et ce n’est pas tout : la vaccination généralisée pourrait aussi empêcher les mères de transmettre leurs précieux anticorps à leur bébé !

Les mères vaccinées protègent moins bien leurs nourrissons !

La mère transmet à son bébé des anticorps de deux façons : par le placenta, pendant la grossesse, puis par l’allaitement.

Le problème c’est que la vaccination produit moins d’anticorps que la « vraie » maladie… et les mères vaccinées transmettent donc moins d’anticorps contre la rougeole à leur nouveau-né. [7]

Pourquoi c’est important ?

Eh bien parce que la vaccination contre la rougeole n’est possible et recommandée qu’à partir de l’âge de 12 mois.

Le bébé ne peut donc pas être protégé par le vaccin avant l’âge d’un an : jusqu’à cet âge, sa santé dépend donc de la protection de sa mère… qui sera moins bonne si elle n’a pas eu la rougeole, même si elle est vaccinée !

Ce n’est pas un risque théorique. Il se trouve que c’est avant l’âge d’un an qu’un enfant infecté par la rougeole a le plus de risques de développer une complication rare mais sérieuse, la « panencéphalite sclérosante subaiguë » (PESS). [8]

A moins d’une éradication totale de la rougeole, la vaccination pourrait donc provoquer davantage de cas de PESS chez les enfants de moins de 12 mois… au moment où ils sont le plus fragile !

Mais on l’a vu, faute d’un vaccin efficace à 100 %, l’éradication de la rougeole est impossible.

Au total, la vaccination contre la rougeole aurait donc l’effet (particulièrement) pervers de mettre davantage en danger :

  • Les nourrissons de moins de 12 mois ;
  • Les adultes insuffisamment immunisés par le vaccin ;
  • Et les adolescents et adultes non vaccinés.

Mais, me direz-vous, d’un point de vue purement froid et rationnel, « coût/bénéfice », peut-être que cela vaut la peine de « sacrifier » ce petit groupe, peu nombreux, pour le bien du plus grand nombre ?

Ce n’est pas impossible… mais ce n’est pas sûr du tout !

Cela en vaut-il vraiment la peine ?

Rappelons que la rougeole n’a jamais été un grave problème de santé publique.

Avant la généralisation de la vaccination au début des années 1980, on comptait une trentaine de morts par an en France.

C’est 30 morts de trop, bien sûr, mais ce n’est pas le cataclysme qu’on nous annonce régulièrement en cas d’arrêt de la vaccination.

Peut-être même que les énormes sommes d’agent dépensées pour vacciner tout le monde pourraient être utilisées pour des programmes de prévention plus efficaces !

Mais surtout, il est encore trop tôt pour faire le bilan complet.

A court terme, la vaccination a réduit à presque zéro le nombre de morts de la rougeole… mais l’impact à long terme est beaucoup plus incertain.

Comme cela été craint par l’OMS il y a plusieurs décennies, on connaît depuis 2010 une légère recrudescence du nombre de morts de la rougeole… au moment où la génération qui n’a pas eu la maladie pendant l’enfance atteint l’âge adulte !!!

Ces « nouveaux » décès touchent très majoritairement les non-vaccinés (qui n’ont pas pu attraper la rougeole « naturellement » pendant l’enfance) mais également, pour une petite partie, des patients vaccinés !

Vous voyez pourquoi ça se discute !

Sans même parler ici des effets secondaires du vaccin, on voit bien que la réalité scientifique est beaucoup plus nuancée que ce qu’on veut nous faire croire.

Oui, on pourrait parfaitement se passer de la vaccination contre la rougeole, sans le moindre cataclysme pour la santé publique.

Oui, la vaccination a des effets collectifs « pervers », avec des conséquences graves et démesurées pour les non-vaccinés et les vaccinés non-immunisés.

Non, il n’est pas « évident » que le « bénéfice / risque » pour l’ensemble de la population soit favorable au vaccin : c’est possible, mais pas certain.

Dans le doute, les médecins ne seraient-ils pas inspirés de se rappeler de leur serment d’Hippocrate ?

« D’abord, ne pas nuire. »

Dans le doute, encore, nos autorités ne devraient-elles pas respecter ce droit fondamental, écrit noir sur blanc dans la loi Kouchner ?

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

Monsieur Macron, méditez-bien ces deux phrases. Et arrêtez d’écouter la seule parole de l’industrie pharmaceutique !

PS : je tiens à saluer Pierre-Jean Arduin pour son livre remarquable Pourquoi vacciner, dont je me suis beaucoup inspiré pour écrire cette lettre.

Et j’encourage vivement tous ceux qui s’intéressent à ce sujet de la vaccination de se procurer son livre, que vous pouvez acheter via son site Internet (je ne touche bien sûr aucune commission) : http://pourquoi-vacciner.fr/livre.php

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7 réponses

  1. OUI SANS DOUTE EU LA ROUGEOLE..Mais je vois que déjà ce n’est pas la faute aux non vaccinés si il y a toujours des rougeoles..L’ efficacité des vaccins n’auraient pas suffi……..J’ai eu très peur pour mes petits enfants qui allaient en subir 3 de +….Non ils sont nés just » avant.Beaucoup de parents pourtant critiquaient ces vaccins ,ils n’ont eu aucune manifestation pour le NON….AVEC CELUI DU COVID ,pas pour les enfants ,pardon! pensons à l’avenir

  2. Tant que tout le monde laissera faire, ces médecins qui sont payés pour faire vacciner des enfants et même des bébés… nous aurons des morts pour ces bébés, à profusion… et dans l’avenir, ce sera encore pire… la vérité ne plait pas aux Politiques qui sont grassement payés pour faire vacciner les bébés, et même si ces bébés doivent mourir pour que les comptes bancaires reçoivent le prix de ces morts… Personnellement… j’en suis malade rien que d’y penser!!! à chaque vaccin, que j’ai pu avoir je suis passée à 1 demi doigt de la mort… je sais de quoi je parle…!!! Je suis écoeurée quand je vois qu’ils paient grassement les médecins complices de cette administration vaccinale… Peu importe les pauvres enfants qui meurent…!!! ce sont des assassinats en toute conscience!!!

  3. Les vaccins sur les bébés et les enfants… ne sont pas fait pour les empêcher d’attraper la maladie, mais sont faits pour que une partie d’entre eux en meurent!!! Vous n’y croyez pas??? ça n’est malheureusement qu’une triste réalité!!! Tant que le Peuple laissera ces Politiques payés pour faire vacciner et pour qu’une quantité non négligeable en meurent… rien ne changera… et l’on s’aperçoit que tout continue comme depuis que ces horribles vaccins ont été inventés… pour tuer les enfants… c’est ainsi qu’ils diminuent la population, dans le silence le plus complet!!! que ça vous plaise ou pas!!! les plus fragiles meurent, les parents pleurent et les politiques encaissent l’argent!!!

  4. J’ai eu la rougeole, la rubéole et un tas d’ordre maladie de l’enfance… à l’époque il n’y avait pas encore d’obligation vaccinale au sujet des maladies infantiles… j’ai eu beaucoup de chance, car la seule fois que j’ai été vaccinée, adulte, contre la grippe… le médecin, passait la nuit à mon chevet… inutile d’en dire plus… on a tout compris, mais comme certains ont l’habitude de prendre le Peuple pour des moins que rien….!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  5. Du coup je me dis que j’ai eu de la chance d’avoir pu attraper toutes ces maladies infantiles tranquillement, j’en garde même de bons souvenirs, ma maman était au petit soins… Par contre petite j’ai été vaccinée contre la coqueluche, et lors d’une épidémie, je l’ai attrapée, mais comme je n’avais pas de vomissements je n’ai pas été traitée pour, résultats j’ai eu une toux chronique pendant des années et j’ai avalé tout un tas de médicaments ; à la fin le médecin de famille ne savait plus que faire. En désespoir de cause il à proposé des cures thermales à la Bourboule, un mois trois années consécutives ; et là miracle, plus de toux. Par contre, mes petits camarades de classe, non-vaccines contre la coqueluche, s’en sont très bien remis. Merci pour vos articles toujours très bien documentés.

    1. Ma soeur a eu la coqueluche et a même vomi sur moi .Le médecin a dit que je ne pouvais que l’attraper .Mais je n’ai jamais rien eu de pareil .Il faut dire que j’ai eu une enfance « tousseuse » avant cela et que j’ai été soigné avant cela avec un appareil qui vaporisait sur le patient uniquement des essences : C’était le « climamax » achetable en pharmacie .

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