Roselyne Bachelot se moque de nous

J’ai failli tomber de ma chaise en entendant Roselyne Bachelot sur Europe 1.

Voici ce qu’a déclaré notre docteur en pharmacie et ancienne Ministre de la Santé :

« Presque tous les scandales sanitaires de ces 20 dernières années ont été liés au mésusage des médicaments.

Je suis le Ministre de la Santé qui a fait interdire le Mediator après des dizaines d’années de mésusage.

Je sais qu’un médicament est toujours un poison. »

Je n’en ai pas cru mes oreilles !

Magnifique ! J’ai commencé à rêver :

  • Roselyne Bachelot aurait-elle rejoint les médecins indépendants des labos, comme le Pr Philippe Even, qui osent dire que 75 % des médicaments sont inutiles ou dangereux?
  • Enfin ! Une Ministre de la Santé serait-elle en train de dénoncer le scandale des prescriptions abusives de médicaments antidépresseurs, anti-inflammatoires (ibuprofène), anti-acides (IPP), ou anti-cholestérol (statines) consommés tous les jours pendant des années par des millions de Français ?
  • Formidable ! Peut-être va-t-elle expliquer aux Français que le paracétamol est un médicament à éviter absolument en cas de Covid-19, car il pourrait aggraver la maladie[1]?

Eh bien non, pas du tout !

Patatras : elle parlait de l’hydroxychloroquine, contre le Covid-19 !!

Roselyne Bachelot était en train de dire qu’il ne fallait pas laisser les médecins généralistes prescrire le traitement du Pr Raoult aux malades du Covid-19.

Comme je vous l’ai expliqué dans ma dernière lettre, je pense au contraire qu’il faut laisser les médecins prescrire la chloroquine, car le jeu en vaut largement la chandelle.

Je rappelle que les cas confirmés de Covid-19 qui ont plus de 60 ans avec une ou deux pathologies chroniques ont 10 à 30 % de risque de mourir, ce qui est gigantesque – c’est du niveau de la roulette russe : imaginez-vous un pistolet à 6 coups et 1 balle sur votre tempe…

A l’inverse, le risque de mourir du traitement du Pr Raoult est de 0 % sous surveillance médicale attentive.

Donc, même si on n’est pas sûr à 100 % que ça marche, il est clair pour moi que le « bénéfice-risque » du traitement est largement favorable.

C’est pourquoi je vous ai invité à signer la pétition du Dr Ménat (déjà plus de 300 000 signatures, continuez à la partagez autour de vous !).

Donc, je pense que Roselyne Bachelot se trompe lourdement.

Mais ce n’est pas cela qui me pose problème : elle a parfaitement le droit d’avoir son opinion.

Le problème est qu’elle a DIT ET FAIT exactement le contraire en 2009 avec les vaccins et le Tamiflu !!!

Retour sur l’ARNAQUE du Tamiflu contre la grippe H1N1

Aujourd’hui, tout le monde félicite Roselyne Bachelot pour avoir prévu des milliards de masques en 2009.

Mais c’est une erreur, car elle n’y est pour rien !

En réalité, les stocks stratégiques de masques ont été décidés en 2005 et 2006, avant que Roselyne Bachelot ne devienne ministre de la santé en 2007.

Et début 2009, avant le début de la pandémie H1N1, ce stock stratégique contenait déjà[2] :

  • 700 millions de masques FFP2 (les plus efficaces) ;
  • et 1 milliard de masques chirurgicaux !

Bref, ce n’est pas à Roselyne Bachelot qu’on doit la réserve de masques.

Tout ce qu’elle a fait, c’est acheter des tonnes de vaccins et recommander le médicament Tamiflu.

Et vous allez voir que cela pose un « petit » problème.

Vous vous souvenez du Tamiflu ?

C’est un médicament anti-viral breveté par Gilead en 1996.

(Gilead, c’est le laboratoire qui pousse en ce moment son nouvel anti-viral hors de prix contre le Covid-19, le remdésivir…

…et c’est ce même laboratoire qui rémunère grassement les experts officiels qui se méfient de la chloroquine : Karine Lacombe, François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah).

Donc, Gilead a inventé le Tamiflu, puis a vendu la licence à Roche, un Big Pharma suisse.

Mais ce fameux Tamiflu était-il réellement intéressant contre la grippe ?

Pour tous les experts indépendants de l’industrie pharmaceutique, la réponse était « non », dès le départ.

Certes, ce médicament a une légère efficacité quand il est pris immédiatement après avoir contracté une infection grippale.

Mais en pratique, cela n’arrive jamais : le temps de se rendre compte qu’on a été contaminé et de voir son médecin, c’est déjà trop tard.

Résultat : dès le début des années 2000, la commission de transparence de la Haute Autorité de Santé a estimé que le Tamiflu ne méritait pas d’être remboursé par la Sécurité Sociale.

En 2005, la revue Prescrire précise que le Tamiflu n’a aucun effet tangible sur les complications de la grippe. Donc, que ce médicament ne peut pas sauver la moindre vie.

Et le problème est qu’il peut être toxique.

Au Japon, des adolescents prenant ce médicament se sont jetés par la fenêtre, ce qui a conduit ce pays à suspendre sa prescription pour les enfants et adolescents.

En France, le Vidal, la « bible » des médecins, précise que ce médicament peut causer des troubles neurologiques : « agitation, comportement anormal, anxiété, confusion, délire, hallucinations, cauchemars »[3] .

En décembre 2009, le Pr Philippe Even résume bien la situation :

« Le Tamiflu ou son équivalent le Relenza sont des médicaments efficaces s’ils sont pris dans les 18 premières heures de la contamination (pas des symptômes). Or ce n’est jamais le cas.

Au-delà, l’efficacité est nulle.

Et le médicament est d’une haute toxicité s’il est pris plus de 3 jours[4] »

Donc, on a tous les ingrédients du « poison » dénoncé ce week-end par Roselyne Bachelot.

Et pourtant…

En 2009, Roselyne Bachelot demandait aux médecins à prescrire le Tamiflu à tout le monde !

C’est bien la même Roselyne Bachelot qui déclarait ceci, en mai 2009 :

« Il y a des stocks d’anti-viraux (Tamiflu et Relenza) pour traiter les Français, 33 millions de traitements. Donc, même si nous avions une épidémie massive dans notre pays, nous avons assez de traitements valides pour traiter les Français »[5].

Tiens tiens…

Comme c’est bizarre : Roselyne Bachelot savait que ce médicament ne sauve pas de vie… et qu’il comporte des effets indésirables sérieux.

Mais à l’époque, cela ne lui pose aucun problème de le prescrire à 33 millions de Français.

Et elle a fait encore pire.

Au mois de décembre 2009, on sait déjà que l’épidémie H1N1 ne sera qu’une « grippette », sans danger particulier.

Et pourtant, c’est le moment que choisit Roselyne Bachelot pour prendre une décision hallucinante.

Tenez-vous bien : elle décide de recommander la prescription de Tamiflu à tous les patients ayant une grippe, sans exception.

Sur le coup, des médecins s’en indignent : « Selon les données dont nous disposons, la balance bénéfice-risque du Tamiflu® est défavorable », s’est ému le Dr Vincent Renard, Vice-Président du Collège des médecins généralistes (CGNE)[6].

Et en plus, cette décision de Roselyne Bachelot arrive en même temps que la publication, par le British Medical Journal (BMJ), d’un rapport dévastateur pour le Tamiflu.

Ce grand journal médical britannique accuse le laboratoire Roche d’avoir abusé les médecins et les autorités de santé sur l’intérêt du Tamiflu.

Il révèle que le laboratoire Roche a financé 10 études sur le Tamiflu… et n’en a publié que 2, signe d’une manipulation massive de ses résultats !

Et en effet : plus tard, en 2015, quand les chercheurs du BMJ auront enfin pu éplucher la totalité des études, ils concluront que le Tamiflu n’a aucune efficacité contre les complications de la grippe, aucune efficacité en prévention de la grippe, et de sérieux risques d’effets indésirables[7].

Mais dès le mois de décembre 2009, la tentative de fraude apparaît évidente.

A l’époque, la Dr Fiona Goodlee, rédactrice en chef du British Medical Journal était scandalisée : « Les gouvernements mondiaux ont dépensé des milliards pour un médicament que la communauté scientifique est aujourd’hui incapable d’évaluer »[8].

Et pourtant, je répète que c’est le moment choisi par Roselyne Bachelot pour recommander à tous les médecins de prescrire du Tamiflu au moindre début de grippe !!!

Pourquoi ?

C’est le Dr Dupagne qui l’explique le mieux[9]. L’objectif, à ce moment-là, est vraisemblablement de :

  • liquider les stocks de Tamiflu bientôt inutilisables car périmés ;
  • et surfer sur la vague descendante des cas graves pour s’en approprier l’évolution favorable.

Bref, vous voyez que Mme Bachelot n’avait aucune réticence pour ordonner en 2009 aux médecins la prescription d’un « poison » totalement inutile.

Alors pourquoi tant de prudence sur la chloroquine, aujourd’hui en 2020, en pleine épidémie meurtrière ?

Pourquoi ces déclarations, quand on sait qu’elle a fait encore pire avec les vaccins ?

Roselyne Bachelot commande 90 millions de doses d’un vaccin NON TESTÉ !

Roselyne Bachelot nous explique aujourd’hui qu’il faut être prudent vis à vis de la chloroquine, dont on n’est pas sûr de l’efficacité, et qui pourrait, en théorie, faire plus de mal que de bien.

C’est surprenant quand on sait qu’on a des dizaines d’années de recul sur les risques et effets secondaires de la chloroquine.

Et c’est encore plus surprenant quand on découvre qu’on n’avait aucun recul en 2009 sur les tous nouveaux vaccins anti-grippe H1N1.

Ces vaccins n’ont pas été testés en double aveugle contre placebo.

Ils ont été créés à la hâte contre l’épidémie.

Ils n’ont même pas reçu d’autorisation officielle de mise sur le marché (AMM) – c’est celle d’un autre vaccin (celui contre la grippe H5N1), qui a été utilisée.

Mais cela n’a pas empêché Madame Bachelot de vouloir vacciner tous les Français, avec l’achat de 94 millions de doses de vaccin, le tiers des réserves mondiales !!

Dans sa grandeur d’âme, Mme Bachelot a même exonéré d’avance les laboratoires de leur responsabilité en cas d’accident lié à ces vaccins.

Alors qu’il y avait des risques objectifs que ces vaccins fassent « plus de mal que de bien ».

Et c’est ce qui s’est passé, au moins pour l’un d’eux : le Pandemrix, injecté à 4 millions de Français (sur 6 millions au total).

Ce vaccin présentait un adjuvant à risque : le AS03, contenant du squalène.

Et aujourd’hui on sait qu’il a causé en France des dizaines de cas de narcolepsie, une maladie grave et incurable, notamment chez des adolescents qui n’avaient rien à craindre de la grippe[10].

Au total, selon le British Medical Journal, par rapport aux autres vaccins anti-grippe, Pandemrix a eu huit fois plus d’événements indésirables graves rapportés spontanément[11].

Dès le départ, il y avait de bonnes raisons de se méfier de l’adjuvant AS03.

En Allemagne, le grand journal Der Spiegel a révélé que les hommes politiques et haut-fonctionnaires allemands devaient recevoir le vaccin sans adjuvant (Celvapan) plutôt que le Pandemrix et son adjuvant dangereux[12] !

Entre parenthèses, on aimerait bien savoir quel vaccin avait reçu Roselyne, à l’époque :

Bref, vous voyez l’incroyable double discours de Madame Bachelot !

Aujourd’hui, au moment où des centaines de patients meurent chaque jour du Covid-19, elle réclame des précautions démesurées vis à vis de l’hydroxychloroquine, un médicament ancien et aux effets indésirables parfaitement maîtrisés…

…alors qu’en 2009, au moment de la « grippette » H1N1, elle a recommandé à tous les Français :

  • de se faire injecter un vaccin non testé contenant un adjuvant dangereux;
  • et d’avaler, au moindre signe de grippe, un médicament antiviral inefficace et risqué.

Serait-ce parce qu’elle a été pendant 12 ans lobbyiste pour l’industrie pharmaceutique[13] ?

Je ne sais pas.

Mais ce que je sais, c’est qu’il y a vraiment quelque chose de « pourri » dans notre système de santé.

Je vous l’ai déjà dit et répété, mais la crise du Covid-19 nous le prouve chaque jour un peu plus.

Et il est vital d’ouvrir les yeux aux Français.

Alors transférez ce message autour de vous.

Signez et partagez la pétition du Dr Ménat, soutenue par plus de 1 000 médecins de terrain : https://www.petition-chloroquine.fr/

Il y a urgence.

PS : vous vous demandez peut-être si le laboratoire Roche, qui a fraudé ses études sur le Tamiflu, a remboursé les États pour les milliards d’euros qu’ils ont dépensés inutilement.

Réponse éclairante de l’expert médical Jean-Dominique Michel :

« Roche ne remboursa évidemment pas un kopeck, et les États ne mirent pas d’empressement particulier à se voir indemnisés de l’escroquerie massive qu’ils avaient subie. Ça se passe comme ça chez Big Pharma et Mme Démocratie »[14].

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  1. Je suis un lecteur de Santé Corps Esprit de la première heure et y ai trouvé beaucoup de choses intéressantes.
    Toutefois, je ne vois pas l’intérêt qu’il y a à dénigrer et vilipender la terre entière.
    Je commence à être fatigué que l’essentiel de chaque mail consiste à démolir plutôt qu’à construire !!!!

    1. Tant qu’il y a des énormités décrétées dans les médias par des gens à qui l’on octroie des responsabilités évidentes, il est juste de s’insurger! Le but n’est pas de vilipender mais de les réveiller à être plus conscients de leurs faits et gestes et d’avoir une vue plus générale de la situation.

      1. Hélas, je ne pense plus qu’ils aient besoin d’être  » réveillés ». Les constats multiples, répétés au fil des années – et décennies, sont les preuves accablantes de leur mauvaise volonté patente à mal servir leurs concitoyens. Ils ont cessé de nous respecter : voyez comme les personnes âgées sont perfidement et monstrueusement abandonnées par les élites, lisez les témoignages poignants des infirmières en EHPAD, c’est bouleversant.

    2. L’ennui c’est que si les critiques pleuvent, c’est que nous pataugeons dans la mare de boue des mensonges mortifères de ceux censés nous gouverner avec empathie et clairvoyance… Or force est de constater qu’ils ont tourné casaque et sont non seulement coupables de non-assistance à populations en danger, mais que leurs décisions et leurs recommandations nous poussent vers la porte de sortie… Nous nous sentons à juste titre TRAHIS !

  2. Merci
    Continuez de nous tenir informé, en tant que professionnel de la santé vous êtes le (les) plus à même d’alerter le grand public, vous mettez vos connaissances scientifiques à notre service et nous nous devons de vous écouter, nous vivons un monde de profiteurs alors, je pense moi qu’un peu humilié et beaucoup honnêteté pourrait servir l’humanité, j’espère de tout coeur ❤ que la société s’en sortira grandie, prenez soin de vous, merci merci

  3. oui je vient de lire cette lettre, et je ne suis pas surpris de ce que dit madame BACHELOT, elle a toujours été a côté de la plaque ,et l’on la mise ministre de la SANTE ??bravo le gouvernement , cela
    ne me surprend pas du tout, et pourtant elle parade
    a la télé, les français on la mémoire courte , quand vont il se réveillés ,et ce gouvernement qui veut nous faire croire que les vessies sont des lanternes.

  4. Je me souviens très bien de ce scandale de Roseline Bachelot. Le pire, elle a vendu le reste de vaccin au rabais en Afrique avec un semblant d’un geste altruisme « de sauver ces pauvres africains qui n’ont pas de vaccins », était proche de la fin de date de limite, mais le media n’a même pas informé un seul mot sur cette histoire de scandale au grand public.

    Grand merci de nous éclairer ce côté caché et bravo à vous et à toute l’équipe!

  5. Je suis in lecteur assidu de santé corps et esprit

    Langage politique, plein de contradiction
    La logique mathématique n’existe pas chez elle.
    Elle a oublié le serment d’hypocrate.

    L’honnêteté est le critaire prédominant pour sauver des vies.

    Prière mettre en ligne la vidéo de la 2 ième conférence en date du mardi 7 avril 2020

  6. Pour ma part, j’ai été choquée d’entendre Mme Bachelot, lundi soir je crois sur « C à Vous » de France 5, se scandalisant que des particuliers « non-compétents » se prononcent en faveur de l’utilisation de la chloroquine face au Covid 19. Elle parlait de cette molécule comme s’il s’agissait d’une substance encore méconnue, prétextant les précautions d’usage avant d’accorder une AMM….. on croit rêver !!! Alors qu’il s’agit d’un médicament utilisé depuis au moins 50 ans et que nous avons été des milliers à prendre, parfois pendant des mois, lors de voyages en Afrique par ex., sans effets secondaires. Et que nous ne faisons que soutenir des pétitions lancées par des médecins confirmés et compétents. Quelle anguille se cache sous cette mauvaise foi et ces mensonges ? Ou bien Mme B. a-t-elle complètement perdu la tête ?

  7. Bonjour,je ne comprends que l’on puisse laisser encore une fois parler des personnes comme cette dame . Est ils possible que nous soyons des bœufs ?. On n’est manipulable à souhait pour ces beaux parleurs qui savent joués sur notre corde sensible (notre vulnérabilité à avoir confiance à nos élite ou intellectuel )

    1. ces gens qui sont aux commandes ont-elles une conscience? Sont-elles capables de dormir sans somnifère?

  8. oui je suis en accord avec ce qui a été dit ! Mais comment faire bouger les lignes ! Signer la pétition ! L’influence et la pression des lobbies est forte et présente, pour beaucoup la confiance n’existe pas ou plus ! Il ne reste que le bon sens !!!

  9. je me refuse d’entré dans ces polémique Pierre a raison Paul a tort etc etc .Selon moi l’heure n’est pas a la polémique;l’heure est a l’action et tous ensemble .Voila mon avis
    .En France on parles plus que l’on agit .

    1. Moi non plus je ne rentre pas dans ces polémiques car ce raisonnement est complètement incohérent quand vous voulez que la chloroquine soit administrée et qu’en même temps vous faites le procès pour des médicaments qui ont été donné alors qu’ils se sont avérés dangereux après utilisation à grande échelle. Demander à des personnes qui n’y connaissent rien ni en pharmacie, ni en médecine, ni en virologie de signer une pétition mais on vit dans quel pays pour demander aux français de signer une pétition de ce genre. En ce moment c’est la chloroquine qui est à l’ordre du jour et pas Mme Bachelot. Tout le monde voudrait que ce traitement marche mais avec des précautions à prendre comme fait le Dc Raoult, avec électro avant et pendant le traitement en milieu hospitalier. Est-ce que vous voulez que ce soit comme pour d’autres médicaments, que l’on fasse des procès au laboratoire pour avoir fabriqué des médicaments dangereux!!! Laissons faire les chercheurs et ceux qui sont de la partie au lieu de polémiquer

  10. Bonjour Monsieur Bazin,
    J’ai signé la pétition du Docteur Eric Ménat, il y a déjà plusieurs jours car je ne comprends pas pourquoi le gouvernement s’est entêté à empêcher les médecins de ville à prescrire le protocole du Professeur Raoult dès les premiers symptômes.
    Même, si ce n’est pas le traitement « miracle », bien entendu, c’est mieux que ne rien faire, car si on peut sauver des vies, il ne faut jamais, jamais hésiter.
    Monsieur Bazin, on parle maintenant d’un nouveau traitement, qui serait peut-être plus prometteur que la chloroquine, il s’agit de l’IVERMECTINE.
    Qu’en pensez-vous ? Comme nous sommes en état de guerre et que notre gouvernement veut sauver la vie de son peuple, ce médicament va probablement, cette fois-ci, être prescrit dès demain matin, puisque qu’apparemment, d’après ce que l’on peut lire, on ne risque pas grand chose d’en prendre, pas plus que de prendre du doliprane (mais bon, je précise que je ne suis pas médecin).
    Voici un lien qui en parle :
    https://www.medisite.fr/coronavirus-livermectine-nouvelle-chloroquine.5562870..html?xtor=EPR-55-%5BMedisite_Alerte_Infos%5D-20200409-%5BtestA%5D&tgu=5lpZ7M  

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