Nouvelle PREUVE des dangers de l’aluminium vaccinal

Qu’est-il arrivé à ces moutons espagnols ?

Cela a commencé en 2007, dans le Nord de l’Espagne.

Cette année-là, une étrange maladie décime le troupeau de mouton d’un éleveur.

Les pauvres bêtes sont maigres, émaciées.

Dans la région, on parle de cette ferme comme « l’Auschwitz » des moutons :

Photo d’un mouton atteint de l’étrange « maladie espagnole »


Plusieurs moutons ont des « trous » dans leur laine, signe qu’ils se mordent entre eux.

Certains sont léthargiques, prostrés… d’autres agités, tremblants.

Personne ne comprend ce qui se passe.

Alors on appelle le Dr Lluís Luján, médecin vétérinaire universitaire respecté, avec 30 ans d’expérience.

Quand il commence son enquête, le Dr Lujan ne s’imagine pas tomber sur une bombe.

Il n’a jamais été opposé aux vaccins, ni émis la moindre opinion médicale « controversée ».

Mais il va bientôt être entraîné malgré lui dans une affaire qui nous concerne tous.

Car il vient de « trébucher » par hasard sur un scandale planétaire :

Il découvre la clé du mystère et…

Sur le coup, en 2007, le Dr Lujan ne trouve rien.

Ni bactérie, ni virus, ni parasite, ni toxine venant de l’eau ou de la nourriture.

Cette année-là, il s’avoue impuissant, et le troupeau est abattu.

Mais deux ans plus tard, en 2009, ça recommence.

Sauf que l’étrange maladie touche beaucoup plus d’élevages. 

Le Dr Lujan reçoit des dizaines d’appels, de tous côtés.

Et cette fois, une explication est à portée de main – évidente.

L’Union européenne venait de lancer une vaste campagne de vaccination contre le virus de la « langue bleue » chez les moutons.

L’Espagne est particulièrement concernée, car 3 sérotypes de ce virus y circulent (contre un seul dans les autres pays européens).

Du coup, les Espagnols doivent injecter 3 vaccins à leurs moutons, en moins d’un mois.

Ces trois vaccins contiennent de l’aluminium.

Et comme par hasard, c’est là que les « Auschwitz » de moutons se multiplient.

Pour le Dr Lujan, cela ne peut pas être une simple coïncidence.

Alors il enquête de façon minutieuse, et multiplie les études scientifiques.

En 2013, il montre que les moutons atteints ont une grave inflammation du cerveau – et il trouve de l’aluminium dans les tissus nerveux[1].

Il parvient aussi à recréer la maladie en leur injectant des vaccins contenant de l’aluminium.

Il établit la preuve définitive… et se fait CENSURER !

Puis, fin 2018, il publie une étude vraiment remarquable[2].

Le Dr Lujan et son équipe ont sélectionné 21 moutons, divisés en 3 groupes :

  • Un groupe a reçu une injection d’eau salée (placebo)
  • Un groupe a reçu une injection d’aluminium seul
  • Un groupe a reçu une injection de vaccin contenant de l’aluminium

Et savez-vous ce qu’il a observé ?

Certains moutons développent bien les fameux symptômes : hyper excitations, comportements agressifs, états de prostration, etc.

Et comme par hasard, ces moutons font partie des groupes qui ont reçu de l’aluminium.

Les moutons qui ont eu de l’eau salée, eux, n’ont pas eu ces étranges problèmes.

Conclusion : l’injection d’aluminium peut créer une grave inflammation du cerveau, avec des comportements plus qu’inquiétants.

D’autres chercheurs avaient déjà montré que l’aluminium injecté pouvait atteindre le cerveau de souris

…mais là, cela concerne un gros mammifère, comparable à l’homme.

Cette étude est dangereuse, et même radioactivepour tous ceux qui disent que l’aluminium des vaccins ne pose aucun danger.

Alors « ils » ont décidé de l’étouffer.

Tenez-vous bien : un « anonyme » a envoyé une lettre à l’éditeur de la revue (Pharmacological Research, du groupe Elsevier)…

…et cela a suffi pour que la revue décide de retirer cette étude !

C’est un fait unique dans toute l’histoire de la recherche scientifique.

Le Dr Lujan et son équipe n’ont commis aucune erreur dans leurs chiffres.

Leur méthodologie était sérieuse, fiable.

Mais sans la moindre raison valable, l’éditeur a décidé de retirer l’étude.

Manifestement, des pressions sont venues de très haut.

Quand des études scientifiques sont retirées après publication, c’est toujours à cause de failles ou faiblesses énormes, démontrées et expliquées à l’auteur.

Ici, rien de tout cela.

Il faut dire que cette étude était un « smoking gun » (pistolet fumant), comme disent les Américains.

C’est une preuve frappante que l’aluminium injecté dans les vaccins n’est pas forcément éliminé par l’organisme…

…et qu’il peut se rendre directement au cerveau, où il crée de graves dégâts !

« Le plus grand dogme du 21ème siècle, explique le Dr Lujan, est que les vaccins sont totalement sans danger. Qu’il ne peut jamais rien se passer de mal, jamais.

C’est pourquoi nous sommes visés. Ils veulent nous envoyer un message : ne mettez pas le nez dans nos affaires. Travaillez sur autre chose. Ils veulent que nos recherches disparaissent »[3].

Et savez-vous ce qui est le plus extraordinaire, dans cette affaire ?

Les mêmes qui ne veulent pas entendre parler de cette étude pourtant très sérieuse sur les moutons….

…eh bien les mêmes, pour affirmer que l’aluminium vaccinal ne présente aucun danger, s’appuient sur une étude absolument catastrophique sur le plan scientifique[4].

Science « poubelle » : l’histoire invraisemblable des deux lapins

Cela paraît fou, mais il n’existe qu’une seule étude « officielle » sur les effets de l’aluminium vaccinal.

Je n’exagère pas : quand les autorités de santé expliquent que l’aluminium est sans danger[5], c’est sur la base d’une seule étude…

…menée sur 4 lapins…

…observés pendant 28 jours seulement.

N’est-ce pas terriblement irresponsable, quand on sait qu’on injecte des vaccins contenant de l’aluminium à des millions de bébés dans le monde, chaque année ?

Il y a 2 ans, Madame Buzyn avait osé déclarer à la tribune de l’Assemblée nationale que l’aluminium n’est pas dangereux : « tous les rapports le montrent » avait-elle dit !

La vérité, je le répète, est qu’une seule étude officielle a été menée pour voir ce que devient l’aluminium injecté dans l’organisme (on appelle cela la pharmacocinétique).

Une étude faite sur 4 lapins.

Et (je vous jure que c’est la vérité), sur les 2 lapins qui ont reçu l’aluminium :

  • Les chercheurs ont oublié de prélever le muscle dans lequel on a injecté l’aluminium (alors qu’on sait que l’aluminium peut y rester en grande quantité) ;
  • Les os ont été « perdus » (alors que l’aluminium peut se fixer sur les os) ;
  • Et un des cerveaux de lapins a malencontreusement été détruit (pas de chance !).

Encore plus fort : la conclusion des chercheurs est l’inverse de ce que montrent les chiffres !!!

L’étude montre que 6 % seulement de l’aluminium injecté a été éliminé de l’organisme de ces lapins au bout de 28 jours !

Cela veut dire que 94 % de l’aluminium est resté dans l’organisme de ces lapins !

 « Cette étude est honteuse, et c’est la seule », explique le Pr Romain Gherardi, spécialiste mondial de l’aluminium vaccinal.

Si ce sujet vous intéresse, je vous conseille cet excellent documentaire « grand public » : « L’aluminium, les vaccins et les 2 lapins » : https://www.youtube.com/watch?v=R28CT-Sqioc

Cette affaire est terriblement révélatrice du monde dans lequel on vit désormais :

Comment la science moderne a été prise en otage

Les « experts » officiels s’appuient sur une étude désastreuse, menée sur 4 lapins pendant 28 jours pour innocenter l’aluminium…

…et à côté de ça, ils censurent une étude solide menée sur 21 moutons pendant 18 mois, qui montre les dégâts de l’aluminium !

Dans la préface de l’édition de poche de son excellent livre, Toxic Story, le Pr Gherardi cite deux témoignages qui disent TOUT de la situation actuelle :

« La profession médicale est achetée par l’industrie du médicament et des vaccins, non seulement au niveau de la pratique médicale mais également au niveau de l’enseignement et de la recherche. » (Dr Arnold Seymour Relman, ancien professeur de médecine à Harvard, ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine)

« Il n’est simplement plus possible de croire à l’essentiel de la recherche clinique qui est publiée, ou de se fier au jugement de médecins de référence ou à des directives médicales faisant autorité. Je n’ai aucun plaisir à faire ce constat, auquel je suis parvenue lentement et avec réticence au cours de deux décennies passées comme rédactrice en chef du New England Journal of Medicine » (Dr Marcia Angell, professeur de médecine à l’Université de Harvard)

On distord la science, on corrompt le savoir, on trafique les études cliniques.

Pourquoi ? A cause de l’argent.

Voici l’évolution du chiffre d’affaires mondial des vaccins :

  • En 2000 : 5 milliards de dollars 
  • En 2010 : 25 milliards de dollars
  • En 2018 : 50 milliards de dollars

L’année prochaine, en 2020, on atteindra 60 milliards de dollars[6], avec des projections à 80 milliards en 2025[7].

Les vaccins sont devenus la poule aux œufs d’or des Big Pharma.

Je vous rappelle que l’industrie pharmaceutique ne trouve plus rien, ou presque, contre le cancer, Alzheimer, le diabète, l’arthrose, l’hypertension, les problèmes digestifs, etc.

Mais fabriquer des vaccins contre tout et n’importe quoi, elle sait faire.

Manipuler la science, acheter les experts, et convaincre les politiciens, elle sait faire aussi.

C’est le monde dans lequel on vit.

Et il est urgent d’en prendre conscience.


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