Coronavirus : une honte médicale

Il y a une chose que je n’avais pas vu venir, avec ce coronavirus.

C’est qu’il risque de mettre nos hôpitaux en déroute.

La raison est simple : beaucoup de malades ont besoin d’assistance respiratoire.

Oui : jusqu’à 10 % des malades de ce virus ont besoin d’un masque à oxygène.

Je rappelle que le coronavirus vous donne une infection respiratoire.

Et quand vous respirez mal, votre cœur souffre, car il n’est plus assez alimenté en oxygène.

C’est pourquoi ce coronavirus se montre réellement dangereux dans deux cas :

  • Si vous avez des problèmes respiratoires, car le virus peut les aggraver brutalement ;
  • Si vous avez des problèmes cardiaques, car votre cœur résistera moins à un manque d’oxygène.

Logiquement, les moins de 20 ans ne meurent pas du coronavirus : ils ont des poumons et un cœur en excellente santé.

Et bien sûr, les jeunes ont un excellent système immunitaire, qui leur permet d’éviter que l’infection ne fasse de réels dégâts.

Au contraire, ceux qui meurent du coronavirus sont presque toujours :

  • Des personnes de plus de 70-80 ans, dont le système immunitaire est affaibli ;
  • Et des personnes qui ont en plus des problèmes respiratoires et/ou cardiaques – avec une double peine pour les fumeurs, car la cigarette est aussi nocive pour le cœur ET les poumons.

La bonne nouvelle est que l’assistance respiratoire et les soins intensifs sauvent des vies.

Mais le problème est que cela demande un grand nombre de lits d’hôpitaux disponibles !

Or la plupart des hôpitaux sont souvent remplis à pleine capacité, en temps normal.

Si des milliers de personnes de plus doivent soudainement se rendre à l’hôpital, le système risque d’être débordé[1]… surtout si les personnels soignants attrapent le virus et sont contraints de rester chez eux.

C’est ce qui s’est passé à Wuhan, en Chine, malgré la construction d’un hôpital en quelques jours.

C’est ce qui est en train de se passer dans le Nord de l’Italie.

« En 42 ans de métier, il ne m’est jamais arrivé de devoir affronter quelque chose qui nous a contraints à occuper un nombre extrêmement élevé de lits en soins intensifs », a déclaré le professeur Massimo Galli, de l’hôpital Sacco à Milan[2].

Et c’est ce qui risque d’arriver en France, très rapidement.

Voilà pourquoi le coronavirus ne peut pas être traité comme une simple « grippe » : 

  • Pas tellement parce qu’il serait beaucoup plus dangereux (son taux de mortalité reste faible) ;
  • Mais surtout parce qu’il cause de nombreuses pneumonies, qui peuvent submerger les capacités de nos hôpitaux.

Voilà pourquoi les autorités ont raison de prendre des mesures fortes, comme la fermeture d’écoles ou la mise en quarantaine obligatoire.

L’objectif n’est pas de supprimer l’épidémie, mais plutôt de l’étaler dans le temps, pour que les hôpitaux ne soient pas surchargés.

C’est ce que montre l’image ci-dessous :

  • L’idée est d’éviter le scénario « rouge » : un pic brutal d’infections, qui dépasse la capacité des hôpitaux (en pointillés)
  • et d’obtenir un scénario « bleu » : une épidémie étalée dans le temps, pour permettre aux hôpitaux de faire face :

Donc, de ce point de vue, ce que font les autorités est compréhensible.

Mais il y a quand même DEUX ÉNORMES PROBLÈMES avec la façon dont on combat ce virus en ce moment, en Occident.

Pour moi, l’épidémie du coronavirus est le révélateur de la face sombre de notre système médical.

Voici pourquoi :

Pour éviter les infections hivernales, ils ont TOUT misé sur le vaccin

Le premier « péché capital » de notre système de santé, c’est qu’il mise absolument tout sur les vaccins, face aux virus de l’hiver.

A chaque début de l’automne, on vous dit qu’il faut vous faire vacciner contre la grippe.

C’est le seul et unique message que les autorités vous communiquent.

Et c’est tout simplement irresponsable.

Pas seulement parce que ce vaccin est très peu efficace contre la grippe[3].

Mais surtout parce que, dans le meilleur des cas, le vaccin ne vous protège QUE de la grippe…

…et pas du tout des autres infections hivernales, qui peuvent être tout aussi dangereuses pour les personnes fragiles !

Résultat : nos autorités sont en panique face à n’importe quel nouveau virus !

Nous n’en serions pas là si nos autorités communiquaient depuis des années sur les gestes efficaces pour prévenir les infections, comme :

  • Une bonne alimentation (le sucre et les excès de table plombent vos défenses immunitaires) ;
  • La prise d’un multivitamines, pour ne pas manquer de zinc et des vitamines C, D et E : c’est capital pour renforcer vos défenses immunitaires ;
  • Des tisanes régulières de thym ou romarin, ainsi qu’une cure éventuelle de propolis, un anti-viral remarquable ;
  • Sans oublier les huiles essentielles, et d’autres méthode naturelles efficace de prévention des infections virales.

Si la majorité des Français connaissaient ces simples gestes, nous aurions beaucoup moins d’infections hivernales…. et aussi beaucoup moins de victimes du coronavirus !

Il n’y aurait pas de panique, car chacun aurait en tête la formule de Béchamp : « le virus n’est rien, le terrain est tout »…

… et chacun prendrait soin de ses défenses immunitaires, de façon autonome et responsable.

Mais dans notre système de santé où on ne vous parle que de « vaccin »… eh bien c’est la panique généralisée dès qu’un nouveau virus apparaît.

Comme les autorités n’ont jamais parlé de prévention, les Français s’affolent et se croient désarmés (à tort !) face au coronavirus.

Et ce n’est pas tout :

On refuse des thérapies PROMETTEUSES pour des raisons de gros sous !!!

Face au coronavirus, le premier réflexe des autorités de santé est de tester des médicaments anti-viraux récents, hors de prix, et risqués.

De façon choquante, nos autorités refusent d’essayer des substances plus prometteuses…

…comme la chloroquine.

Je vous en ai parlé dans ma dernière lettre sur le « protocole naturel anti-coronavirus » :parmi les médicaments existants, la chloroquine est clairement la molécule chimique la plus intéressante contre le coronavirus.

Certes, comme tous les médicaments, elle a des effets indésirables, mais ce n’est généralement pas ce qui arrête nos autorités.

Non, la vraie raison du « dédain » des grands professeurs de médecine vis-à-vis de la chloroquine, c’est que c’est un vieux médicament, qui ne coûte rien…

…et ne rapporte rien aux grands labos pharmaceutiques.

Ce mépris du corps médical est encore plus grave s’agissant des remèdes naturels.

Au moment où je vous écris, plusieurs traitements naturels sont objectivement les plus prometteurs pour soigner les personnes gravement atteintes du coronavirus.

C’est le cas, en particulier, des injections de vitamine C à haute dose.

Les Chinois les utilisent contre le coronavirus, en ce moment même[4].

Et ils ont d’excellentes raisons pour le faire :

  • Les injections de vitamine C sont sans le moindre danger ;
  • De grands médecins les ont utilisées avec succès contre des infections virales comme des pneumonies[5] ;
  • D’après les études scientifiques, elles sont efficaces contre les infections respiratoires[6] et  pourraient même sauver la vie de patients victimes de septicémie[7][8].

Donc, dans un système médical normal, tous les patients admis en soins intensifs pour le coronavirus devraient recevoir immédiatement des injections de vitamine C.

Cela pourrait sauver des vies, accélérer les guérisons et libérer des lits… à peu de frais et sans le moindre risque pour les patients !

Et pourtant, nos autorités ne le font pas, parce qu’elles sont remplies de préjugés vis à vis des solutions naturelles.

Les Chinois, eux, sont plus ouverts d’esprit et moins inféodés à Big Pharma… alors ils testent, eux, les injections de vitamine C contre le coronavirus.

Et c’est la même chose pour un autre traitement naturel efficace et sans danger : la quercétine.

Ce micro-nutriment a montré son efficacité contre les virus Ebola et Zika… et contre des maladies des poumons[9].

Un des plus grands virologues de la planète, le Dr Michel Chrétien, croit en son efficacité probable contre le coronavirus[10].

Là encore, ce remède précieux devrait être donné, sans se poser de question, à tous les patients atteints de coronavirus.

Mais ce n’est pas le cas.

Seuls les Chinois ont lancé une vaste étude clinique pour confirmer son efficacité contre le coronavirus.

Chez nous… rien… et c’est une honte.

Et que dire des huiles essentielles ?

En prévention, c’est une des substances les plus intéressantes pour limiter la diffusion du virus dans les hôpitaux et auprès des personnels de santé.

Et pourtant : avez-vous déjà vu un médecin se mettre de l’huile essentiel de ravintsara sur les poignets, pour réduire son risque d’être infecté ?

Avez-vous déjà vu des diffuseurs d’huiles essentielles dans les hôpitaux, pour assainir l’air ?

Non, c’est rarissime.

Encore plus choquant : on n’essaie même pas les huiles essentielles pour traiter les malades du coronavirus !

Je vous rappelle ce qu’a déclaré Pierre Franchomme, un des plus grands spécialistes au monde des huiles essentielles :

« Les propriétés anti-virales de l’huile essentielle de laurier noble ont fait l’objet de recherches bien documentées. 

C’est le cas d’une étude dirigée par Monica R. Loizzo, de la faculté de Pharmacie de Calabre. Elle a montré l’activité in vitro de l’huile essentielle de laurier noble sur le virus SARS-CoV responsable de l’épidémie de SRAS de 2003[11] »

Si l’huile essentielle de Laurier Noble est efficace contre le SRAS, il y a de bonne chance qu’elle puisse l’être contre le coronavirus chinois !

Alors pourquoi ce traitement simple et sans danger n’est-il pas testé dans nos hôpitaux ?

Pourquoi ne vous en parle-t-on jamais dans les médias ?

Réponse : parce qu’il y a quelque chose de « pourri » dans notre système médical et médiatique.

Je suis désolé, c’est un mot fort, mais je n’en vois pas d’autre.

Je suis révolté de voir qu’on refuse, en ce moment même, de recourir à des solutions qui pourraient sauver des vies.

Et je ne vois pas d’autre explication possible que la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur notre système de santé.

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    1. Il faut laver les oignons et ne pas les éplucher .
      La quercétine se trouve surtout dans les premières peau , celles qui protègent les oignons .
      Le plus gros « fournisseur de quércétine » ce sont les capres.
      Bonne santé

  1. Je suis entièrement d’accord. Que pense le dr. Hervé Bazin du vinaigre des 4 voleurs ? j’avais pensé en mettre à l’intérieur de mon masque si besoin était ?

  2. Je suis complètement d’accord avec vous. C’est une honte pour nos autorités qui sont à la merci de tous ces grands groupes pharmaceutiques qui ne pensent qu’au FRIC.
    Il faut lancer une pétition nationale pour influencer les autorités sanitaires et gouvernementales à changer de méthodes et tester comme la Chine des traitements naturels.
    Merci pour ce que vous faîtes

  3. Tout a fait d’accord ,c’est encore une affaire de gros sous.
    merci pour vos conseils ,pour ma part j’utilise beaucoup ravinstara , laurier noble et vitamine C ,mais personne connait la quercitine ! (pharmacie et parapharmacie)

  4. Merci et encore merci de nous informer aussi précisément sur les je dis bien LES moyens de lutter contre ce virus,nous les citoyens ordinaires.

  5. Grande adepte des huiles essentielles je suis 100% d’accord avec vous, mais à l’heure actuelle le Ravinstara et la Quercetine sont victimes de leur succès et sont comme « les masques » introuvables

  6. C’est toujours très intéressant vos envois … MAIS très longs ; ne pouvez-vous pas synthétiser davantage…
    MERCI

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