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Je n’ai pas peur de le dire haut et fort :

La façon dont on traite les victimes de l’arthrose aujourd’hui, c’est de la non-assistance à personne en danger.

Et cela concerne un monde fou, car l’arthrose touche environ 10 millions de Français.

Plus de 75 % des retraités sont frappés… ce qui veut dire que vous avez bien peu de chances d’échapper aux souffrances de l’arthrose, si vous ne faites pas le nécessaire !

Mais voilà : sous prétexte que « l’on n’en meurt pas », les autorités de santé ne prennent pas cette maladie au sérieux.

Pire : quand vous êtes touché, non seulement on ne vous aide pas, mais il est fréquent qu’on vous enfonce dans votre maladie.

Ce n’est pas volontaire, bien sûr.

Mais les idées fausses que vous entendez encore aujourd’hui chez votre médecin ou dans les médias conduisent à accélérer la progression de la maladie… et à aggraver vos douleurs !

Voici comment :

La descente aux enfers

Cela commence, un matin, par une petite douleur au genou, au cou, ou à la hanche.

Au départ, vous n’y faites pas plus attention que cela.

Mais cela revient. Et puis, très vite, vous commencez à souffrir tous les jours.

Pour vous soulager, vous avalez un Doliprane. Puis deux, puis trois. Tous les jours.

Mais rien n’y fait, la douleur ne s’en va pas. Elle a même tendance à s’aggraver.

Vous finissez par consulter un médecin, qui vous diagnostique de l’arthrose et vous prescrit des anti-inflammatoires, pour calmer la douleur.

Au début, cela vous soulage nettement. Mais bientôt, cela ne suffit plus.

Votre arthrose est désormais bien installée :

Dès le matin, au réveil, vous êtes raide comme une momie. Impossible de vous lever… et encore moins de vous pencher pour ramasser votre téléphone.

Il vous faut plusieurs dizaines de minutes avant de retrouver un peu de mobilité… et pouvoir sortir du lit.

Quand vous êtes enfin « dérouillé(e) », votre calvaire ne fait que commencer.

Vous sortez faire des courses… et la douleur se rappelle à vous, dès que vous descendez quelques marches ou que vous remplissez votre sac à provisions.

En fin de journée, vos articulations vous font savoir vertement que vous les avez fait travailler pendant des heures et des heures.

Vous êtes alors obligé d’arrêter totalement ce que vous étiez en train de faire, et de vous caler tant bien que mal dans une position qui vous soulage.

Vous vous sentez un peu mieux… sauf si vous êtes victime d’une « poussée ».

Cela se produit au stade 3 de l’arthrose : il est fréquent que vos articulations deviennent rouges, chaudes, gonflées… et incroyablement douloureuses.

Cette fois, il est impossible d’échapper à la douleur en se contentant de ne « plus bouger ».

Et quand vos articulations ne vous empêchent pas de vous endormir… elles vous réveillent en pleine nuit, généralement vers 3 ou 4 heures du matin.

A ce stade, vous ne pouvez plus faire un pas sans votre canne. Vos articulations craquent, signe que le cartilage qui les protège a presque disparu.

Les douleurs sont à présent insupportables, et il n’y a plus que les infiltrations de cortisone qui les soulagent correctement.

Il n’y a pas que la douleur qui vous fait du mal !

Et comme si la douleur articulaire ne suffisait pas, l’arthrose vous prive également des plaisirs les plus vifs de votre existence.

« Le plus douloureux, psychologiquement, a été l’impossibilité de prendre mon petit-fils nouveau-né dans mes bras, raconte Noëlle, victime d’arthrose. Il fallait qu’on le dépose contre moi et qu’on le reprenne. J’étais désespérée de ne pas pouvoir m’en occuper, privée de la joie de tisser des liens, seule avec lui. » [1]

Fini, aussi, le jardinage, le bricolage et toutes les activités que vous aimiez dès lors qu’elles sollicitent trop brutalement vos articulations.

Du même coup, faute d’activité suffisante, vous mettez en danger votre cœur et vos poumons, et réduisez votre espérance de vie.

Mais de toute façon, vous n’avez plus qu’une peur en tête : devenir invalide, incapable de vous habiller seul, de faire votre propre toilette et de vous déplacer sans aide extérieure.

Voilà ce qui pourrait vous attendre… si vous ne vous informez pas par vous-même.

Car tout ceci n’est en aucun cas une fatalité.

Ce serait même l’exception, et non pas la règle, si tout le monde connaissait la vérité sur l’arthrose… et se débarrassait des idées criminelles que l’on entend un peu partout.

Mythe nuisible n° 1 : L’arthrose est inévitable en vieillissant

On a longtemps cru que le cartilage d’une articulation, c’était comme les semelles d’une chaussure : cela s’use avec le temps et on ne peut malheureusement rien y faire.

C’était même comme cela qu’on définissait la maladie : comme une simple « usure » du cartilage.

Vous voyez ce qu’est le cartilage : ce sont les petits capuchons blancs qui protègent le bout de vos os. Pensez à la substance blanche qui relie les deux os d’une cuisse de poulet. Eh bien vous avez la même chose aux articulations du genou, des doigts, etc.

Ce cartilage est essentiel pour absorber les chocs et permettre le glissement harmonieux des os de vos articulations.

Lorsque vous n’avez plus de cartilage, vos os se râpent, se heurtent, s’abîment et vous causent des douleurs invraisemblables. Un peu comme une voiture sans pneu, qui roulerait sur les jantes.

Vous devez donc tout faire pour éviter d’en arriver là.

Le problème, c’est qu’on a longtemps donné aux patients un conseil catastrophique !

Partant du principe que l’arthrose était de « l’usure », on recommandait aux personnes souffrant d’arthrose de ne plus faire la moindre activité physique !

Après tout, la meilleure manière de ne pas « user » une semelle, c’est encore de ne pas l’utiliser, n’est-ce pas ?

Mais c’est un conseil absolument catastrophique.

Bien sûr, les victimes de l’arthrose doivent éviter les sports intenses qui mettent les articulations à rude épreuve : football, rugby, tennis, judo, etc.

Mais il ne faut surtout pas tomber dans l’excès inverse et passer ses journées sans bouger.

L’activité physique raisonnée (marche, course modérée, vélo, natation) est au contraire essentielle pour fluidifier vos articulations et préserver votre cartilage.

La raison est simple : comme toutes les cellules de votre corps, celles de votre cartilage ont besoin de bons nutriments (vitamines, minéraux, etc.) pour se renouveler harmonieusement.

Normalement, c’est le sang qui apporte ces nutriments à l’ensemble de vos organes. Mais vos cartilages, eux, ne sont pas « vascularisés » : ils ne sont pas reliés à la circulation sanguine !

Résultat : ils absorbent les bons nutriments par un mécanisme complexe qui exige… de faire travailler votre articulation. Sans mouvement, votre cartilage n’est tout simplement pas nourri !

Ne craignez donc pas le mouvement, méfiez-vous plutôt des microtraumatismes, ces petites tensions répétées que vous faites subir à vos articulations sans vous en rendre compte.

Mais contrairement à l’usure naturelle, ils sont parfaitement évitables, pour peu que vous y fassiez attention !

Par exemple, il faut être très attentif à sa posture : pour éviter les tensions musculaires inutiles, il faut se tenir bien droit, et faire attention à son cou lorsque l’on est devant l’ordinateur.

De même, si vous ressentez des douleurs au genou ou à la hanche, il ne faut pas hésiter à consulter un podologue : il vous suffirait peut-être de mettre des semelles orthopédiques pour rééquilibrer le poids de votre corps… et vous éviter une arthrose future !

Mais les microtraumatismes les plus fréquents restent ceux causés par le surpoids. Car les articulations de vos genoux ne sont pas faites pour supporter un poids excessif, et la pression qu’elles subissent endommage votre cartilage.

Voilà pourquoi maigrir est indispensable contre l’arthrose… et cela passe bien sûr par l’alimentation, dont on vous dit pourtant qu’elle n’a rien à voir avec l’arthrose !

Mythe nuisible n° 2 : Il n’existe pas d’alimentation « anti-arthrose »

Si l’arthrose se résumait à une usure mécanique du cartilage, l’alimentation ne serait en effet pas d’une importance considérable contre l’arthrose.

Il suffirait de veiller à deux choses : ne pas grossir… et ne pas être en carence de certains nutriments, ceux dont le cartilage a besoin pour se réparer et se renouveler.

Attention, c’est déjà beaucoup :

Le zinc, en particulier, est très important. Les cellules les plus impliquées dans l’entretien du cartilage ne peuvent tout simplement pas fonctionner sans zinc ! Prudence, donc, si vous êtes végétariens, car les meilleures sources de zinc se trouvent principalement dans la viande.

En plus du zinc, il existe deux autres nutriments naturels très précieux pour votre cartilage : la chondroïtine et la glucosamine.

Et savez-vous dans quels « aliments » on les trouve ? Dans le cartilage animal !

Voilà pourquoi les habitants de l’île d’Okinawa au Japon sont particulièrement bien protégés de l’arthrose… eux qui mangent régulièrement des museaux et pieds de porc, riches en cartilage !

Et voilà pourquoi il est essentiel de faire comme nos ancêtres, et de boire des bouillons d’os réalisés à partir des carcasses ! (Mon épouse Jade adore même croquer directement le cartilage du poulet… ce dont je me suis longtemps moqué… jusqu’à ce que j’en réalise l’intérêt pour la santé !).

Mais l’importance de l’alimentation va bien au-delà de l’entretien normal du cartilage.

Si l’alimentation est aussi centrale pour vaincre l’arthrose, c’est qu’il s’agit une maladie inflammatoire.

Si votre cartilage se dégrade, ce n’est jamais par simple « usure » : c’est d’abord parce qu’il est soumis à un tsunami de cellules inflammatoires qui le détruisent et l’empêchent de se développer normalement.

Cette inflammation peut être déclenchée par des traumatismes mécaniques… mais elle est entretenue et aggravée par un « mode de vie pro-inflammatoire » : alimentation défaillante, manque de sport, stress chronique, sommeil insuffisant, etc.

Et à l’inverse, pour contrer l’inflammation et stopper la dégradation de votre cartilage, il n’y a pas plus puissant qu’une alimentation anti-inflammatoire, riche en légumes (brocolis, choux), en bonnes graisses (omega-3) et en épices (curcuma, gingembre), mais aussi pauvre en sucres et en aliments pro-inflammatoires (produits laitiers, gluten) !

Et cela, c’est criminel de ne pas le dire aux patients !

Plutôt que de leur donner la chance de stopper l’arthrose par des modifications alimentaires, on ne leur donne pas d’autre choix que d’avaler des médicaments contre la douleur… qui sont généralement aussi inutiles que dangereux !

Mythe nuisible n° 3 : Les antidouleurs sont utiles contre l’arthrose

Quand vous commencez à souffrir légèrement d’arthrose, votre médecin vous conseille généralement de prendre du paracétamol, jusqu’à 3 grammes par jour.

Et vous êtes parti(e) pour avaler quotidiennement du Doliprane, du Dafalgan ou de l’Efferalgan. Peut-être même en prendrez-vous avant de vous coucher en espérant atténuer vos raideurs au réveil.

C’est une erreur profonde.

D’abord parce qu’essayer de « supprimer » bêtement vos douleurs légères est le meilleur moyen de ne pas attaquer le mal à la racine.

Tant que les douleurs sont supportables, il vaut mieux les laisser être le phare qui vous éclaire et vous montre le chemin : essayez de mettre fin à vos mauvaises habitudes, jusqu’à ce que vous ne les ressentiez plus.

Mais surtout, il est désormais établi scientifiquement que le paracétamol n’a pas la moindre utilité contre les douleurs de l’arthrose !

C’est une revue d’étude publiée dans le prestigieux journal médical The Lancet en mars 2016 qui l’a définitivement établi [2] : le paracétamol est efficace contre l’arthrose dans moins de 4 % des cas en moyenne.

Autant dire qu’il n’a absolument aucun intérêt, en dehors d’un effet placebo.

Au contraire, c’est même un produit toxique et potentiellement dangereux !

J’ai écrit une lettre complète sur le Doliprane, que je vous invite à lire si vous ne l’avez pas déjà fait.

Je citerai simplement ici une revue d’étude publiée en 2015, intitulée « Paracétamol, moins inoffensif qu’on ne le croyait ? ». Les chercheurs ont montré que la prise de paracétamol aux doses conseillées augmente de 23 % le risque de mortalité et de 63 % si les patients ont eu plusieurs prescriptions rapprochées dans le temps. [3]

Bref, il n’y a vraiment aucune raison de prendre du paracétamol, surtout qu’il existe des produits naturels plus efficaces et sans danger pour soulager les douleurs de l’arthrose (voir plus loin).

Et il y a encore pire que les antidouleurs : ce sont les médicaments anti-inflammatoires.

Mythe nuisible n° 4 : Les anti-inflammatoires sont « obligatoires »

Comme le Doliprane ne marche pas, votre médecin vous prescrit rapidement quelque chose de « plus fort ».

Puisqu’il n’imagine pas qu’il soit possible de freiner l’arthrose, son seul souci est d’essayer de « soulager votre douleur », coûte que coûte !

Il vous prescrit donc des « anti-inflammatoires non stéroïdiens » (on les appelle comme cela parce qu’ils ne contiennent pas de cortisone, steroid en anglais) : Ibuprofène, Diclofenac (Voltarène) ou Coxibs.

Contrairement au paracétamol, ils sont réellement efficaces contre la douleur. Au début, du moins.

Mais si vous les prenez sur longue période, ils peuvent vous tuer à petit feu !

D’abord parce qu’ils causent des dégâts un peu partout dans votre corps : ils provoquent des saignements, des trous dans l’estomac (ulcère) et de graves problèmes cardiaques.

Ainsi, une revue d’études publiée dans The Lancet en 2013 a montré que la prise régulière d’anti-inflammatoires était liée à une augmentation de 30 % des accidents cardio-vasculaires (crise cardiaque, AVC). [4]

Encore plus grave, ces médicaments anti-inflammatoires sensés soulager votre arthrose… pourraient contribuer à accélérer la dégradation de votre cartilage !

Cela paraît fou… et pourtant c’est ce qu’indiquent formellement plusieurs études scientifiques.[5] [6]

Et ne me dites pas que les médecins n’ont « pas d’autre solution » pour soulager la douleur.

Plusieurs substances naturelles ont au moins les mêmes effets antidouleur… tout en freinant la dégradation du cartilage (au lieu de l’accélérer !).

C’est le cas en particulier des compléments alimentaires de chondroïtine et glucosamine. La grande étude « The Moves », présentée en juin 2014 au Congrès européen annuel de rhumatologie, en a fait la démonstration de manière spectaculaire. [7]

Mais c’est aussi le cas de nombreuses plantes et épices efficaces contre la douleur.

Je ne peux pas toutes les détailler ici, mais sachez par exemple qu’une expérience réalisée dans un hôpital thaïlandais a montré que le curcuma était aussi efficace que l’Ibuprofène contre les douleurs de l’arthrose… sans les effets secondaires ! [8]

Même chose pour la plante harpagophytum, appelée aussi « griffe du diable », aussi efficace que les médicaments anti-inflammatoires. [9]

Il n’y a donc vraiment aucune bonne raison de prendre ce type de médicaments !

(Ce qui n’est pas le cas, je tiens à le préciser, des infiltrations de cortisone, qui peuvent être incontournables lorsque la douleur est insoutenable, ce qui arrive lorsque le cartilage a quasiment disparu. Certes, les effets secondaires sont redoutables à long terme, mais à un certain stade de douleur, il n’y a pas vraiment d’autre priorité que de la soulager).

Mythe nuisible n° 5 : Il est impossible de vaincre l’arthrose, il faut s’y adapter

Vous l’avez compris : pour la plupart des médecins, une fois que vous avez de l’arthrose, c’est « foutu ».

Vous n’avez plus qu’à prier pour que votre situation ne se dégrade pas trop vite, tout en gobant des anti-inflammatoires chimiques pour calmer la douleur… en attendant la prothèse.

Eh bien, pour finir cette lettre, je voudrais vous présenter quelqu’un qui n’a pas accepté cette fatalité… pour son plus grand bonheur.

Il s’agit de Laura Azenard.

A l’âge de 40 ans, elle doit faire face à une arthrose particulièrement handicapante au niveau des genoux.

Descendre ou monter des escaliers lui est devenu quasiment impossible. Quand son rhumatologue lui conseille « d’oublier sa vie d’avant », elle pleure toutes les larmes de son corps.

Mais après cet épisode d’abattement, elle refuse de se résigner.

Après avoir essayé toutes les solutions de la médecine allopathique, en vain, elle se tourne vers la médecine naturelle.

Elle découvre la phytothérapie et les bienfaits des plantes, l’aromathérapie et le pouvoir des huiles essentielles, l’hydrothérapie et surtout, une toute nouvelle façon de s’alimenter.

Et les résultats sont inouïs.

Au bout de trois mois, le niveau de douleurs et de raideurs avait déjà diminué.

Et au bout d’un an, elle était guérie !

Elle a recommencé à courir et à dévaler les escaliers sans la moindre douleur. Elle a même participé à la SaintéLyon, une course de 72 kilomètres, avec 2 500 mètres de dénivelé !

Pour transmettre un message d’espoir, elle a même publié un livre pour raconter son histoire.

Elle le clame haut et fort, et elle a raison : « l’arthrose n’est pas une fatalité ! ».

A quelques jours de l’élection présidentielle en France, c’est le meilleur moyen de faire parler de la santé naturelle !

142 commentaires

  • Kim dit :

    Merci pour vos conseils salutaire, vous avez complètement raison…car avec une bonne alimentation et une mode de vie simple saine et appropriée, on s’en sort très bien, il y a 2 ans de cela j’avais de sérieux problème d’articulation, j’ai respecté mes heures de sommeil… Surtout concernant les pieds de veau Car je ne mange pas de porc ça fonctionne à merveille… merci encore vous faites du bon boulot. Que Dieu te bénisse

  • Lise Imbault dit :

    Tout simplement éviter de manger du gluten et des produits laitiers. Légumes, fruits, viande, poissons. Éviter les aliments transformés et le sucre raffiné. Je fais mon pain et c’est vraiment simple, comme faire un gâteau. J’ai développé ma propre recette et si vous voulez l’avoir ça va me faire plaisir de vous la donner.

  • Lise Imbault dit :

    J’ai pris des anti-inflammatoires pendant au moins dix ans, reçue des infiltrations de cortisone, entre l’âge de 50 et 60 ans j’étais plus handicapée que maintenant à 70 ans. J’ai reçu 2 prothèses de genou, mais j’ai découvert le livre de Jacqueline Lagacé entre les deux opérations. Tout ce que vous racontez c’est ma vie. En arrêtant le gluten et les produits laitiers , je me suis sauvée la vie malgré l’avis de mon médecin. Fini les migraines, les entorses lombaires, etc. J’ai pu reprendre la natation, le golf et même le travail( je travaille debout durant 6 hres) sans problème.

  • Bonjour
    Est ce que ce quevous0 propose n’a pas d’inter action avec les médicaments pour l’hypertension artérielle ?

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